Name: Rencontre avec l'éditeur Nicolas Anspach by Jean Jauniaux
Duration: 18 min 36 s
Description: Après Patrick Weber et Baudouin Deville, respectivement scénariste et dessinateur de la série de romans graphiques historiques dont vient de paraître le dernier volume, "Berlin 61", leur éditeur Nicolas Anspach évoque la genèse de cette maison d'édition au succès autant spectaculaire que mérité.

Au micro de Paul Hellyn.
Archive complète disponible sur demande. (SPAT 00298)

Constant Burniaux - entretien (extrait)

Archive complète disponible sur demande. (SPAT 00409)

Christian Dotremont - entretien à propos des origines de Cobra (extrait)

Emile Verhaeren - Le Vent - lecture par l'auteur

Henri Roanne-Rosenblatt évoque au micro de Jean Jauniaux le roman "Le cinéma de Saül Birnbaum" et son adaptation au cinéma dans une réalisation de Nicolas Steil, "Le chemin du bonheur". cet enregistrement a eu lieu dans le cadres des "Coups de midi de la bibliothèque des Riches-Claires" à Bruxelles, le 10 juin 2022.

Album de Edmond Morrel

Rencontre avec Henri Roanne-Rosenblatt

Magnifique rencontre avec un grand homme et formidable voyage dans le cinéma...

Passion littéraire_ HRRosenblatt_Le cinéma de Saül Birnbaum_MEO

C'est à chaque fois un privilège de rencontrer Didier Decoin et d'évoquer avec lui ce qu'est la "fabrique" d'un roman. Il en parle avec jubilation et gourmandise, lui qui aime par-dessus tout les romans qui racontent des histoires, inventent des personnages, créent un univers romanesque à part entière, redonnent à la fiction ses lettres de noblesse. A chacun de ses livres (depuis l'irremplaçable Abraham de Brooklyn) la démonstration est faite: le roman est l'instrument multisensoriel par excellence.
Voici le "pitch" de cette histoire telle qu'elle est présentée en quatrième de couverture sur le site des Editions Stock. Quelques lignes, comme des balises, avant de se lancer dans ce grand roman qui se lit d'une traite, comme  si les 500 pages qui le composent nous hypnotisaient. Pour vous en convaincre, il y a aussi cet entretien que nous a accordé Didier Decoin. On y parle de fauteuils de salon de coiffure de la marque "KOKEN", de Tchékhov, de réfugiés ukrainiens, de La Cerisaie et de l'écrivain défenseur des droits de l'homme  Korolenko, des locomotives Ovetchka, du trijambiste Francesco Lentini...autant de digressions qui font du livre un kaléidoscope scintillant et une véritable "esthétique" de l'Histoire, du destin de ses protagonistes et une caisse de résonance au coeur de laquelle résonne l'écho de l'actualité.
Jean Jauniaux, le 14 février 2023. pour "L'ivresse des livres" (www.edmondmorrel.be )

Sur le site de l'éditeur:
Nous sommes à Bizerte, en Tunisie, janvier 1921, sous le protectorat français. 
La vie serait presque douce pour le jeune docker du port de Bizerte, Tarik Aït Mokhtari, nageur longiligne et musculeux, s’il ne s’était heurté un matin, dans sa ligne de nage, à un obstacle infranchissable : il ne le sait pas encore, mais il s’agit d’un croiseur de bataille, survivant de la flotte impériale russe qui fuit l’irréversible et sanglante poussée des « rouges » et transporte à son bord toute une population d’exilés, de « blancs » aristocrates désormais appauvris, bousculés par le vent  de l’histoire. Mais il ignore la guerre qui divise la Russie. Il vit à Bizerte, il est beau et pauvre, il a une sœur désirable, une mère veuve.
Ce destroyer est-il «  maskoun  » ? Hanté, habité par un djinn, infréquentable pour le docker aux longs cils ? D’où vient le navire fantôme couleur d’âme grise ? Quel est son nom ? Que cherche-t-il à fuir ? Quelles horribles scènes de pogroms, de fermes incendiées quand les soviets lancent « le coq rouge », pillent, tranchent au sabre et fusillent, quelles images hantent à jamais les passagers du  Georguii Pobiedonossetz  ? Depuis le 18 décembre 1920, les Russes sont confinés à bord des bateaux de guerre en rade de Bizerte. Des prisonniers flottants.  Tarik aurait été avisé d’en rester là. Mais, comme le chant d’une sirène, le docker entend soudain la voix d’une jeune femme, une voix de théâtre, et il aperçoit, chatoyante, sa robe de mousseline blanche, gonfler sur le pont du navire.
A l’instant il en est captif.
Yelena Maksimovna Mannenkhova, fille unique d’un riche baron, personnage qu’on dirait issue de  La Cerisaie, a la beauté fragile d’une porcelaine qui va se briser. Chaperonnée par sa tante Sofia, elle fuit la même horreur que toute une classe sociale gisant sans pouvoir s’en libérer dans les coursives d’un navire qui sera leur prison, et peut-être leur destin.
Tarik parviendra-t-il à la rencontrer ? Avant que le cosaque Bissenko ne tranche la blanche gorge de notre héroïne ? Avant que la sœur du docker ne se marie ? Avant que le monde ne referme les rideaux d’un théâtre pourpre sang sur ces deux innocents ? Vivront-ils ?

Didier Decoin: une interview en forme de masterclass...

Après Patrick Weber et Baudouin Deville, respectivement scénariste et dessinateur de la série de romans graphiques historiques dont vient de paraître le dernier volume, "Berlin 61", leur éditeur Nicolas Anspach évoque la genèse de cette maison d'édition au succès autant spectaculaire que mérité.

Rencontre avec l'éditeur Nicolas Anspach

Ce dimanche 26 janvier de 14h à 17h30: Dernière occasion de voir l'exposition "Sabine Corman. La mémoire de l'arbre", mais aussi un article consacré à l'amitié qui s'était enracinée entre l'artiste Lismonde et le poète Philippe Roberts-Jones ainsi qu'une interview de ce dernier, au cours de laquelle il évoquait en 2014  Lismonde, qui fut le premier à s'inspirer du poète pour livrer "l'image visible" du premier recueil de poèmes de Philippe Jones. C'est dire, ou supposer, qu'il y eut entre ces deux sensibilités une fulgurance. A voir à la maison Lismonde à Linkebeek (près de Bruxelles) www.maison-lismonde.be

Album de Jean Jauniaux

Ecoutez Philippe Jones au micro de Jean Jauniaux Exposition Lismonde

Entretien mené par Jacques de Decker.
Archive complète disponible sur demande. (MLPI 01631)

Véra Feyder - entretien(extrait)

A propos du roman "L'affaire Ruspoli" de Serge Quoidbach aux Editions Murmures des Soirs. "Les instruments dont dispose le journaliste lorsqu'il mène son enquête sur des faits historiques ne suffisent parfois pas pour rendre compte de la complexité d'un événement, d'une époque, et, encore moins, des protagonistes qui y sont mêlés. Serge Quoidbach, rédacteur en chef adjoint d'un des quotidiens belges dont les articles font référence,  L'Echo, en a fait le constat au moment de finaliser les recherches documentaires qu'il a consacrées à ce qu'il nous raconte aujourd'hui dans un roman intitulé L'affaire Ruspoli que publient les Editions  Murmures des Soirs." Jean Jauniaux

Ecoutez Serge Quoidbach au micro de Jean Jauniaux

Archive complète disponible sur demande. (MLPI 00775)

Jacques De Decker : exposé(extrait)

Ecrivain et chroniqueur culturel et littéraire, Jean Jauniaux écrit des nouvelles, romans et scénarios  de films documentaires. Il se consacre au journalisme culturel, à l’animation d’une revue littéraire ("MARGINALES" dont il est le rédacteur en chef) et de rencontres littéraires. Il organise des ateliers d’écriture de nouvelles et de formation à l’interview radio. Il a publié cinq recueils de nouvelles et deux romans. Dernier titre en date: "BELGIQUES" chez KER Editions. Prochain recueil de nouvelles: "L'ivresse des livres" chez Zellige Editions, sortie le 23 avril 2020 ," journée mondiale de l'Unesco du livre et du droit d'auteur"

Rencontre avec l'éditeur Nicolas Anspach

Jean Jauniaux

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