Name: please don’t go by cambion
Duration: 1 min 48 s
Description: please don’t go

c'est lourd bro☝🏻On s'en fout de la baisse de streams fait ce qui te plaît ça tue

Grunt Winnterzuko

wasting shit - G minor mantra

🔔🔔🔔
Mix/Master : me
Prod : Neiren
Cover : Telertss
W/ @teby_ah

Etude De L'être + Teby (Neiren)

REGARDE MON DOS


NOUVEAU PROJET TRÈS BIENTÔT 

CLIP DISPO
https://youtu.be/bvlM2dduoxk

CALL BACK

OCTOBRE 2023

[Couplet 1]
J'me porte bien, j'mets mes yeux derrière des Italiennes
Le reflet d'mon âme, il a pris d'la valeur ajoutée
Les vingt-quatre bougies devant l'logiciel, les pommettes rougies
J'dilue plus la vo', parce que j'bois plus la vovo' bas prix
À trop avoir soif de connaissance, on va t'prendre ton œil comme Mímir
J'suis plus trop sur le radar, j'ai pris ma kich', je recover
Tout en silence, les ailes se déploient et les clowns, on déplore
C'est nous les clous dans l'décor, le reste, c'est les danseurs
Gigote pour ton cachet, gigote sous l'effet des cachetons
Gigote pour ton avance, gigote pour dépasser le plafond
2-25 j'sors un Dunhill ou bien un Simon Tissot
Un trois pièces de Savile pour plus m'sentir comme un pisseux
J'ai pas trouvé la voie, peut-être dans un x8 j'verrais mieux
Entasser des objets canés, laisser quoi après
Le souvenir d'un homme dans ses travers, qu'a marchandé sa peine
Chaque jour, j'essaie d'faire sourire l'môme, enfermé dans la geôle
Élite en sabotage, depuis l'époque où j'jette des trucs
Au fond du vide-ordures, que même Ouranos n'a pas vu
Pas l'moral, j'écoute Freeman, j'sors un douze ans Macallan
Cramer la mèche jusqu'à la canne, jusqu'à les orties sur ma tombe

[Pont]
Femtogo, Nikito, Goofy Van-
On est qui encore, j'sais même plus frère
J'sais même plus on est combien frère, là d'dans on en a-

[Couplet 2]
À la fin personne pour m'absoudre
Faut qu'maman m'apprenne à coudre, ou qu'mamie m'apprenne à coudre
Qui pourra fermer les plaies ? À part les trois femmes de ma vie, le silence est unanime
Les deux mains dans le brasier, à la recherche de l'ambroisie
Y a aucune machine qui va m'broyer, parce que j'le fais avec les boyaux
Comme si j'devais un loyer, faut qu'j'laisse des SACEM au petit
Les deux pieds dans le bayou, faut j'crève l'écran comme Joe Pesci
J'pète la forme sous endo, nique ton Féfé Enzo
Une écurie, un rancho, j'vais demander au Père Noël
Celui qu'j'voulais en Playmobil, celui qu'j'ai reçu dans mes rêves
Today la SA-SA' est bée-tom, j'ai fait un méchant smile
Même si j'veux pas prendre ça pour acquis
Et j'me dois d'te remercier toi, celui qui m'écoute
Et j'me dois d'remercier les miens, ceux-là qui m'épaulent
Makila sur les Landes au loin, marcher jusqu'à l'extase
Petit aquila dans le vent en haut, en mémoire de ses larmes
J'veux qu'les p'tits frères soient témoins qu'on a jamais baissé les armes

FEMTOGO - MACALLAN SPEECH

baby hayabusa - Blood (version entière)

please don’t go

blizzard (@seize0000)

From the 1963 album "The Freewheelin' Bob Dylan" and later re-recorded with Johnny Cash for the back to country/ acoustic/no more hippy "Nashville Skyline" album in 1969. ( Reprising the infamous 'Judas' in the other direction in 1965). We both bought Freewheelin' as teenagers, our first Dylan album, probably because of "Blowin' in the Wind" but in this track the wind is not so much the divine one in Genesis as the heavy hitting one on the Canadian border. We started rehearsing this in the summer but recorded it as the season changed not so slowly into autumn, buffeted by winds and getting rapidly colder and darker. An early love song full of lingering emotion and regret, something of a Dylan genre by the time he'd added Suzi, Joan and Sarah to whoever this tenderly evoked North country woman was. It's a beautiful poem of pathetic fallacy, the oncoming winter and lost summer beautifully evoking a cherished but passed love, as well as being a damn good sound picture of that terrain and climate. We changed the line "many times I've often prayed" slightly to remove the redundancy.


WRITTEN BY: BOB DYLAN
Well, if you’re travelin’ in the north country fair
Where the winds hit heavy on the borderline
Remember me to one who lives there
She once was a true love of mine

Well, if you go when the snowflakes storm
When the rivers freeze and summer ends
Please see if she’s wearing a coat so warm
To keep her from the howlin’ winds

Please see for me if her hair hangs long,
If it rolls and flows all down her breast.
Please see for me if her hair hangs long,
That’s the way I remember her best.

I’m a-wonderin’ if she remembers me at all
Many times I’ve watched and prayed
In the darkness of my night
In the brightness of my day

So if you’re travelin’ in the north country fair
Where the winds hit heavy on the borderline
Remember me to one who lives there
She once was a true love of mine
Copyright © 1963 by Warner Bros. Inc.; renewed 1991 by Special Rider Music

from Another Side Of The Freewheelin' Bobbed Peacock (The Peacocks Sing Dylan), https://peacocks-tale.bandcamp.com/album/another-side-of-the-freewheelin-bobbed-peacock-the-peacocks-sing-dylan Pic Maz in Peacock's Tea Emporium, Ely.

Maz - lead vocal and acoustic guitar
Gaz - bass, drums, winds, support vocals

please don’t go

cambion

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