DOPAMINA

Reviví

Villain Era

"Worth It in the End" is a raw, emotional ballad about a girl carrying the quiet weight of ambition through exhaustion, loneliness, and self-doubt. She’s buried under work, stretched thin, but refuses to let go of the dream only she can see. With soft piano and intimate vocals, the song captures that bittersweet space between breakdown and breakthrough—where hope still flickers, even in the dark. It’s a reminder to anyone barely holding on: you're not failing, you’re forming. And one day, you’ll look back and know it was all worth it.

Worth it in the end

You Make It Light

lethal love

thrive.mp3

“Stepping on the Cracks” is the debut single from Anya Irons, blending haunting melodies with raw, honest lyricism. This introspective alt-pop track explores the fragile aftermath of our own choices—turning missteps and self-doubt into a song of quiet strength and hope. For fans of Florence Welch, Phoebe Bridgers, and London Grammar.

Cracks of My Own Making

“Pretty When I Break” is a haunting dark pop anthem drenched in glamour, grit, and raw vulnerability. Blending seductive vocals with edgy synths and cinematic beats, this track explores the beauty in destruction and the power found in pain. It’s for the ones who rise from their own wreckage, wearing heartbreak like high fashion. Think broken mirrors, soft scars, and the kind of chaos you can’t look away from.

Perfect for fans of Billie Eilish, Halsey, and Banks — this is heartbreak with a spotlight, darkness with diamonds.

Pretty When I Break

(Intro)
Tu ne feras pas de moi ta Méduse,
Je ne serai pas condamnée pour tes péchés.
eya eya selah-mm-hmmm
eya eya selah-mm-hmmm

(Couplet 1)
Ma voix résonne dans une caverne,
Sur les murs, j’y ai peint des histoires.
L’une d’elles conte ce que tu m’as fait subir,
Elle raconte aussi comment tu m’as fait taire.
Et comment le monde s’est rallié à toi…
Mais n’oublie jamais que je connais la vérité,
Et que le sort finira par te frapper.
Entends ma voix crier, hurler, résonner l’honnêteté.

(Refrain)
Je suis Méduse, forte et vivante,
Tu n’as pas effacé le passé, tu as voulu le modifier.
Je suis Méduse, je viens pour te faire chavirer,
Tu ne pourras pas garder ça caché très longtemps.

(Post-Chorus)
Croise mon regard, Poséidon,
Toi qui m’as volé ma vertu…
Regarde-moi, Aphrodite,
Et aie honte de l’avoir protégé.

(Couplet 2)
J’ai été maudite, châtiée pour ce que tu as fait.
Tes proches m’ont tous blâmée, accusée.
Je n’ai pas choisi les serpents que je porte aujourd’hui,
Mais je les ai apprivoisés pour mieux te blesser.
Les hommes disent qu’il y a un envoûtement dans mes yeux,
Qu’ils se sentent pétrifiés quand je les fixe.
J’aimerais qu’ils sachent que quand toi tu m’as regardée,
C’est moi qui ai été brisée et emprisonnée.

(Refrain)
Je suis Méduse, forte et vivante,
Tu n’as pas effacé le passé, tu as voulu le modifier.
Je suis Méduse, je viens pour te faire chavirer,
Tu ne pourras pas garder ça caché très longtemps.

(Post-Chorus)
Croise mon regard, Poséidon,
Toi qui m’as volé ma vertu…
Regarde-moi, Aphrodite,
Et aie honte de l’avoir protégé.

(Bridge)
Tous vos regards pleins de jugements,
Toutes ces accusations, ces sermons…
La justice n’est point — l’État est coupable des souffrances.
Qu’on me décapite : de mon sang renaîtra un ange.
Je ne serai pas enchaînée à mes démons,
Car ils ne sont pas miens — tu as libéré les tiens en moi.
Tu trembles de peur quand je refais surface.
Tu cries de douleur quand tu repenses à cette nuit.
Et moi, je me délecte de ton châtiment sucré :
Cette nuit a été la mort soudaine de l’amour.

(Dernier Refrain)
Je suis Méduse, forte et vivante, (Croise mon regard, Poséidon)
Tu n’as pas effacé le passé, tu as voulu le modifier (Toi qui m’as volé ma vertu)
Je suis Méduse, je viens pour te faire chavirer (Regarde-moi, Aphrodite)
Tu ne pourras pas l’accepter très longtemps...
(Ton fils est un meurtrier.)

Méduse

Black Aura” is the embodiment of danger wrapped in beauty — a song that captures what it feels like to be both the poison and the cure. It’s about the kind of person whose energy can’t be contained — magnetic, mysterious, and untouchable — the type you know will break your heart, but you chase them anyway.

Built around smoky trap beats and haunting melodies, the track blends feminine power with lethal allure, painting a picture of someone who glows in darkness. Every lyric drips with duality — love and destruction, desire and danger, elegance and chaos. The hook hits like a warning label: “I’m a beautiful disaster, falling faster, call me master.”

“Black Aura” isn’t just a song — it’s an atmosphere. It’s that moment in the night when beauty feels like a threat, and confidence turns into seduction. The vocals are smooth but commanding, the rhythm is hypnotic, and the message is clear:

lethal love

KerrieField

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