" Déjà un an . Un an qu’on apprend à composer avec des bouleversements de liberté.
Un an que nous sommes en guerre. En guerre contre la vie au nom de la santé. Un an que le vrai fond de l’humanité s’est révélé. Un an de crainte, de peur, de mensonges, de restrictions..."

Déjà un an

" La propagande oppresse le peuple. Elle tire sa puissance de la peur, la panique est son premier programme. Son objectif paraît politique mais plus sûrement c’est la promotion d’une idéologie qui progressivement empêche toute possibilité de penser..."

La propagande

Avez-vous remarqué que 2022 rime avec « tous mes vœux » ?
Alors je vous souhaite de lever les yeux et de réaliser qu’on peut vivre mieux. 
On ne comprendra rien à cette époque tant qu’on reste dans un carcan de pronostics rageux braillés par les rationalistes anxieux. Tant que demeure la bulle d’angoisse qui nous divise et nous individualise, il y aura des gens malheureux. Hurler ne donne pas raison, garder le calme donne le temps à la réflexion. 
Le bruit est du côté de la peur et de la division, la paix est du côté de l’unité et du sourire. Si vous cherchez vers qui vous tourner, regardez ceux qui ne sont pas effrayés, voyez ceux qui gardent ou restaurent les liens entre les personnes, ceux qui accueillent sans accuser, ceux qui écoutent sans condamner. 
Comme le disait Gustave Thibon : « Dans l'ordre économique, les affamés cherchent la nourriture; dans l'ordre spirituel, c'est la nourriture, étalée à profusion, qui s'offre en vain aux affamés. » 
Alors je nous souhaite la liberté, et surtout la santé spirituelle. Soyons des gens courageux, c’est mon vœux pour 2022.

Avez - Vous Remarqué Que 2022 Rime Avec ' Tous Mes Vœux ' ?

🔥 A la jeunesse, extraits choisis propres à notre temps, comme ils le furent en leur temps :
" Oui, nous vivons une période difficile
où l’individualisme systématique,
le profit à n’importe quel prix,
le matérialisme,
l’emportent sur les forces de l’esprit. "
(Hélie de Saint Marc)
Pour que la France un jour renaisse à la lumière
Dans le ciel élargi d'un matin triomphant
Ces héros, ces croisés, ces hommes, ces enfants,
Firent de l'ombre leur tanière.
(Colonel Remy)
Marcher devant, toujours devant !
Rester debout quand ils s’assoient
Sourire quand ils serrent les dents.
Donner sa flotte quand ils ont soif.
(Michel Menu)
Il faut savoir
que rien n’est sûr,
que rien n’est facile,
que rien n’est donné,
que rien n’est gratuit.
Tout se conquiert, tout se mérite.
Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu.
(Hélie de Saint Marc)
Ne croyez pas que vous serez diminué, vous serez au contraire, merveilleusement augmenté. C'est par la vertu que l'on est un homme.
(Paul Claudel)
Je m’adresse surtout à toute la jeunesse, et je l’appelle à dépasser les dépressions et provocations pour prendre et refaire !
(Maurice Clavel)
Si tu marches devant, ils te dépasseront ; si tu donnes la main, ils donneront leur peau.
(Michel Menu)
Ne croyez pas ceux qui vous diront que la jeunesse n'est point faite pour le plaisir, elle est faite pour l'héroïsme.
(Paul Claudel)
Tout commence, si vous avez le courage ! (Maurice Clavel)
Et pratiquer ce courage, ces courages,
c’est peut-être cela
«L’Honneur de Vivre»
(Hélie de Saint Marc)
Et merci Henri (Le Chant des Cathédrales) pour ton témoignage. 🙏
👉 Instagram : https://www.instagram.com/voxconfinati/

A la jeunesse

Souvenez-vous en. C’était il y a 5 ans, ça paraît vieux et ce n’est pas si loin.
Le 12 mars 2020 le président nous dit « plus d’école les enfants » puis le 16 mars il ajoute « confinement pour les parents ». On parle de distanciation sociale, avant de corriger en distanciation physique. Peu importe pour les plus fragiles, il sont condamnés à rester isolés.
En mai 2020 ils nous ont laissé un peu sortir, en juillet ils ont commencé à nous masquer, en octobre ils nous ont reconfinés et en décembre ils ont encore changé pour instaurer le couvre-feu.
Souvenez-vous en. C’était il y a 5 ans, ça paraît vieux et ce n’est pas si loin.
En janvier 2021 le couvre-feu arrive plus tôt, puis en avril ils reconfinent.
En mai les terrasses sont rouvertes, en juin le couvre-feu cesse, les masques en extérieur ne sont plus obligatoires et commence le pass-sanitaire, qui deviendra obligatoire en août. Et là commence la nouvelle histoire d’un virus qu’il fallait au début éviter et qu’à présent tout le monde veut avoir car il faut se faire scanner pour aller boire un simple café.
Souvenez-vous en. C’était il y a 4 ans, ça paraît vieux et ce n’est pas si loin.

En septembre 2021 les soignants deviennent victimes avec l’obligation vaccinale et en janvier 2022 le pass vaccinal remplace le pass sanitaire.
Le 14 mars 2022, 2 ans après les premières annonces,  c’est la fin du pass vaccinal.

Souvenez-vous en. C’était il y a 3 ans, ça paraît vieux et ce n’est pas si loin.

A cette époque souvenez-vous, le président nous rassurait en proclamant « nous sommes en guerre »
On nous a dit que le coronavirus était l’adversaire, pour commencer. Puis ce furent les personnes en bonne santé, devenues susceptibles de le communiquer. Les cas-contacts, les positifs, les négatifs, les faux, les vrais, les laisser-passer, le flics traquant les gens et les faisant payer pour avoir voulu respirer, les familles sidérées, déchirées, divisées, tout le monde apeurés et tous les soirs les chiffres présentés pour ne pas nous rassurer. Puis après les avoir applaudit, on a fait des soignants les boucs-émissaires en les obligeant à se vacciner. 
N'oubliez jamais que sous prétexte de protection, nous avons été terrorisés et divisés, que les plus faibles jeunes et vieux ont été traumatisés.

5 ans plus tard nous sommes toujours là et d’autres guerres, des vraies, cette fois, ont continué à apparaître. 5 ans plus tard, les dirigeants n’ont pas trop changé, leur manière de faire non plus : ils créent la peur, la terreur et la culpabilité avec des discours mortifères, morbides et moroses. La mort dans l’âme, le moral en berne, on se parle mal, on masque à grand peine que souvent les gens sont au bord des larmes.

Mais 5 ans plus tard, l’essentiel demeure : notre quête à tous est celle du bonheur et non de la peur. Ils peuvent s’agiter, menacer, contraindre, 
Evoquer la guerre pour le plus grand nombre
Mais sur nos visages ne pourront éteindre
Le sourire de ceux qui ne craignent l’ombre


Souvenez-vous en

C'était pire avant. 
C'était la course et nous n'en pouvions plus. Toujours les mêmes journées, les mêmes transports bondés et cette pression sourde qui nous incitait à avancer vite, faire vite, toujours plus vite...

C'était pire avant

" Foin des prophètes de malheur qui souhaitent plus qu'ils ne prédisent un monde triste, froid et voué à la chute..."

Aurora advenit

Aujourd'hui nous allons parler de la peur. Parce que c'est un virus tenace...

Aujourd'hui nous allons parler de la peur

"Cette génération existe (...) Un individu esclave de la consommation à qui on fournit des luttes pseudo-marxistes pour assécher ce qui pourrait subsister d'âme au fond de lui."

In principio erat furor

Alors il serait tentant de crier « au secours », mais à ceux qui disent « flectamus genua » nous préférons répondre « levate ». Relevons-nous, relevons le front. Il n’est que temps.

Flectamus genua

" Aujourd’hui un de mes amis est devenu père. C’est une grande joie pour son épouse, pour lui et pour leur enfant. Aujourd’hui un enfant est devenu fils (...)

Pères, pardonnez-leur...

Alors qu’il est de mise de se perdre dans le flot vide des mots creux et des déferlantes de stimuli émotionnels sans cesse renouvelés, alors que se multiplient, s’opposent et s’anathémisent autant de vérités que d’individualités, dans un monde enfin où il est de bon ton de dire ce que l’on croit et de croire ce que les autres martèlent, je vais parler de ce que je ne crois pas.

Ce que je ne crois pas

Voici le jour des morts, l'âme croit les entendre ; 
Mais au lieu d'un jour sombre et d'un ciel attristé, 
Une heure de printemps se lève sur leur cendre, 
Comme un signe de paix et d'immortalité.

Requiescant in pace

- Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
(Verlaine, Le ciel est par-dessus le toit, 
Sagesse, 1881)

Adveniat Juventus

"Fais silence en tes sens et à présent écoute. C’est ainsi qu’il se laisse entendre, car ce silence n’est pas rien. Ce silence est bruissant, il est murmure en douceur. Il contient en effet tout ce que dit ton cœur. Allons, c’est le moment, allons il n’est que temps. Fais silence et écoute ce que te dit ton cœur."

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Vox confinati

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