Gagarine

Small town boy

Roue libre

Light my fire

Dirigeable

Hitzek

Hank

Slow Surfin'

The Kitchen Floor

Back in town

L'ouvrage s'engage sur "les cloches de l’enfer" qui est littéralement un cover de "hells bells" d'AC/DC totalement transfiguré et classe, comme l'excellent "Métal" qui lui, reprend du Metallica à l'harmonica lié intimement à la voix de Vincent. Et voilà que l'enchaïnenement se fait sur "Stone" pour les Rolling Stones et "Punk" pour le très mythique " Should I Stay Or Should I Go" des Clash pour finir avec "Pique" qui n'est rien d'autre que "Ace of spades" de Mötorhead, à l'harmonica et violon qui se marient à la perfection sur les légendaires riffs. N'oublions pas "Bruit" qui vient nous taper la tronche avec du Noir Désir (One Trip One Noïse) . Les compositions du duo qui se posent avec fracas entre deux covers , s'articulent avec autant de brio et de pertinence que les titres citées ci-dessus. Un véritable enchantement qui flattent mes esgourdes...Le line-up rythmique est d'une efficacité imparable et se compose essentielement des compagnons de route à Vincent, qui sont JP Roy et Denis Barthe (Ex Noir Désir) et membres actifs des Hyènes. Nos lascars se démarque particulièrement bien sur "Le groin", qui flirte à la manière de Gainsbourg entre subtilité et sensualité, du grand art ! Le final du skeud, nous embarque pour Biscarosse, ville si chère au chanteur du duo !?

Cet album ressemble sur le papier à un assemblage brinquebalant, et s'avère être finalement un réel petit écrin en hommage aux références qui ont fait l'histoire du rock. Des potes s'appropriant avec talent chaque titre, pour le distiller à leurs manières et nous révéler un cru savoureux. Le résultat est bluffant et nous colle la tronche dans des orchestrations épurées et parfaitement bien distribuées. Cette galette est une sacrée surprise, homogène et des plus originale. A acheter rien que pour votre plaisir...


01 les cloches de l'enfer

02 tell me your name

11 le groin

L'album de The Very Small Orchestra "Wahou" (retrouvez les chroniques de l'album et une interview ci-dessous) est en vente à nos concerts pour la modique somme de 10€!
Si tu peux pas venir au concertos ou que tu préfères garder tes thunes pour picoler, tu peux acheter le skeud plus tard en envoyant tes coordonnées et un chéquos à l’ordre de "Gloria L’asso" de 10 + 2,52 (frais de port) = 12,52€ à:
The Very Small Orchestra
393 rue de Capagut
40600 Biscarrosse

Caf'Zic par Yan Kerforn,

THE VERY SMALL ORCHESTRA AND THE OTHERS FUCKERS « Wahou »

Deux personnages à la tête de ce projet, Vincent Bosler un landais et Kiki un Basque… Entre compos perso et reprises, cet album possède de nombreuses pépites tantôt rocks, tantôt frêles et mélancoliques, parfois blues, parfois introspectives parfois sportives… Les trois premiers titres sont remarquables, une reprise d’AC/DC « Les cloches de l’enfer » qui entame sereinement à la manière de Lou Reed. S’en suit un deuxième titre plus rock’n roll « Tell me your name » entre le Feelgood, les Inmates et Jon Spencer. Le troisième « Chaussettes » est aussi perçant et classe qu’un passage remarqué d’Alain Bashung. La suite vaut aussi le détour, « Métal » c’est du Metallica, fallait le faire, je ne connais pas l’original mais c’est excellent, l’harmonica et la voix de Vincent se marient superbement. « Bling bling shitty gang bang » lui rompt avec le reste beaucoup plus léger, entre rock et ballades campagnardes aérées alors que « Le stone » est une remarquable reprise bluesy des Stones, habillé du plus simple appareil, c’est vraiment superbe et le chant de Vincent s’y affirme profond et sensuel. Sur « Punk is de@d » on part vers Arno dans l’ambiance, refrain terrible, l’un des meilleurs titres à mon goût. On en est déjà au 8ème titre et je m’aperçois que je n’ai pour l’instant encore rien mis de côté, rien qui ne me gène, ce disque vous est fortement conseillé. « Punk » est en fait le « Should i stay or should i go », classique légendaire des Clash, il n’est pas ici indispensable, pas grave on en tiendra pas rigueur, « Ace of spades » qui le suit me plait mieux, reprise de Mötorhead façon harmonica et violon je garde. « Bruit » c’est vers Noir Desir « One trip one noïse » qu’on tend, normal on retrouve régulièrement sur l’album JP Roy et Denis Barthe la rythmique bordelaise qu’on ne présente plus et qui fait partie des Hyènes dont Vincent est membre. « Le groin » est une autre référence de l’album, cette fois-ci c’est vers Gainsbourg qu’on part, un Gainsbourg léché, subtil, tendu et sensuel comme d’hab, je vous le conseille. Pour terminer The Very Small Orchestra part raconter Biscarosse, Vincent se lâche sur sa bonne ville de blaireaux plagistes où les MNS sont cons, les parkings immenses, Biscarosse dans les Landes, paroles à la con ? ouais mais excellents refrains, excellentes mélodies, un très bon morceau. Sur cet album au final pas mal de gens sont intervenus, un truc de potes qui mine de rien est sacrément homogène et se révèlent être une sacrée surprise, bien construite, fine, pas un truc brinquebalant, poussif, bien au contraire, on y est régulièrement happé par de très belles orchestrations aussi épurées soient-elles avec de belles références et un bon petit groove de circonstance. Je suis bluffé.

Zikannuaire -

VERY SMALL ORCHESTRA AND THE OTHERS FUCKERS - Wahou

Le minimal pour un groupe est le duo, d'ou le nom évocateur de cette formation composée entre autre de Billy Wild Masterflas et Vince Taylourd (Hyènes), harmonica et guitare / chant, on ne peut faire guère plus simpliste. Ils nous balancent avec vigueur leurs douze titres , entre compositions personnelles et reprises décomplexées allant de Metallica, The Clash en passant par Noir Désir. L'alliage est assez décapant, avec une formatage attractif et incisif.

L'ouvrage s'engage sur "les cloches de l’enfer" qui est littéralement un cover de "hells bells" d'AC/DC totalement transfiguré et classe, comme l'excellent "Métal" qui lui, reprend du Metallica à l'harmonica lié intimement à la voix de Vincent. Et voilà que l'enchaïnenement se fait sur "Stone" pour les Rolling Stones et "Punk" pour le très mythique " Should I Stay Or Should I Go" des Clash pour finir avec "Pique" qui n'est rien d'autre que "Ace of spades" de Mötorhead, à l'harmonica et violon qui se marient à la perfection sur les légendaires riffs. N'oublions pas "Bruit" qui vient nous taper la tronche avec du Noir Désir (One Trip One Noïse) . Les compositions du duo qui se posent avec fracas entre deux covers , s'articulent avec autant de brio et de pertinence que les titres citées ci-dessus. Un véritable enchantement qui flattent mes esgourdes...Le line-up rythmique est d'une efficacité imparable et se compose essentielement des compagnons de route à Vincent, qui sont JP Roy et Denis Barthe (Ex Noir Désir) et membres actifs des Hyènes. Nos lascars se démarque particulièrement bien sur "Le groin", qui flirte à la manière de Gainsbourg entre subtilité et sensualité, du grand art ! Le final du skeud, nous embarque pour Biscarosse, ville si chère au chanteur du duo !?

Cet album ressemble sur le papier à un assemblage brinquebalant, et s'avère être finalement un réel petit écrin en hommage aux références qui ont fait l'histoire du rock. Des potes s'appropriant avec talent chaque titre, pour le distiller à leurs manières et nous révéler un cru savoureux. Le résultat est bluffant et nous colle la tronche dans des orchestrations épurées et parfaitement bien distribuées. Cette galette est une sacrée surprise, homogène et des plus originale. A acheter rien que pour votre plaisir...

Cultzine n°142:

1/ Qui est le Very Small Orchestra ??
Vincent Bosler : Kiki Graciet & Vincent Bosler
Kiki Graciet : vince taylourd alias VINCENT BOSLER (guitare / chant ) & billy wild master flash alias KIKI GRACIET ( harmonica / chant ) et de temps en temps des invités mystères

2/ D’où vient ce projet ?
V : On se connait depuis 15 ans, on a souvent boeuffé ensemble, à l’époque je jouais dans The Spooky Jam et Kiki dans Hot Soda.
On a tenté plusieurs fois de monter des groupes mais la mayonnaise n’a jamais pris, et puis début 2010 on s’est dit : "pourquoi pas monter un truc à deux ?"
On s’est parlé des morceaux au téléphone, Kiki nous a trouvé deux concerts je suis descendu au Pays Basque et on est partis jouer direct sans répéter et le pire c’est que ça a marché et qu’on a bien rigolé ! On a quand même bien évolué depuis, mais c’est comme ça que tout est parti.
K : dans les années 90 on avait envie de jouer ensemble mais on avait pas le tel portable ni internet et un habitant à Biscarosse et l’autre à Bayonne c’était le Bronx pour bosser. On s’est perdus de vue puis retrouvés chez Jacques Pradel ( non ... non ) au Rendez Vous des Terres Neuves il y a 2 ans l’envie était toujours là, les moyens de communications d’aujourd’hui en plus ; on a pu bosser via internet

3/ Avez vous d’autres groupes, si oui lesquels ?
V : The Hyènes pour Vincent, pour Kiki, Niko Etxart, Sister Simone and Holy Balls, Sixties Soul Band, Peyo... enfin bref, il suffit d’ouvrir l’annuaire du Pays Basque !
K : vince ( the hyènes ) kiki ( sister simone and the holy balls / niko etxart eta hapa hapa / @ l arrache . com )

4/ Sur votre album, on trouve des reprises et des compositions, pourquoi ce mélange ?
V : Ben au départ les reprises c’était un bon moyen de monter un répertoire rapidement, mais on a vite pris du plaisir à reprendre ces morceaux à notre sauce.
Sur le papier c’était assez improbable de faire Metallica, AC/DC ou encore Motörhead à la guitare sèche et à l’harmonica mais on a essayé de trouver un angle d’attaque pour chaque morceau et se l’approprier.
Les compos, pour la plupart ce sont des morceaux qu’on avait Kiki ou moi dans notre musette depuis longtemps mais qu’on ne pouvait pas faire dans nos groupes respectifs.
On a fait du brainstorming, réarrangé les chansons et parfois écrit des paroles, tout ça après l’apéro bien sûr !
K : parce qu’on touche des droits d’auteur sur les reprises aussi ..

5/ Objectif d’un nouvel album avec seulement des compos ?
V : Je pense qu’on fera de plus en plus de compos mais qu’on continuera à faire des reprises, l’idée c’est pas d’en faire un élevage mais c’est intéressant quand on sent qu’on peut reprendre un truc en y apportant notre Very Small grain de sel.
K : à voir ... pourquoi pas

6/ Auriez vous pu faire autre chose que du Rock’nRoll ?
V : Ouh là je crois que ça aurait mal fini et puis maintenant c’est trop tard, ils voudront plus de nous à la Poste. Et puis si tu aimes, boire des coups et faire le malin devant les gonzesses, c’est le boulot rêvé, y a même des gens qui nous paient pour ça !
K : on est des mercenaires mais à tendance wack n woll punk trash guinguette

7/ Un message particulier ?
V : Ne lâchez rien !

8/ Si je vous dis Rock’n Roll, vous me répondez :
V : Motörhead
K : Sex Beer and Bourbon

9/ En vrac : 
Un lieu de concert : L’appartement 165, un appart immense à Bordeaux ou ils organisent des concerts, improbable mais super bien !

Un Coup de cœur musical : The Jim Jones Revue et The Very Small Orchestra

Un film : "Change de trou, ça fume ! Volume 2" non plus sérieusement à peu près tout les films de Sergio Leone

Un livre : V : "Le Pingouin" Andreï Kourkov / K : pif gadget

Une citation :
V : "Ta situation actuelle n’a jamais été facile, et ça, depuis toujours" Xavier Seailles (batteur de The Spooky Jam) 1967 – 2498
K : citation parfaitement juste mais censurée car utilisant des mots du langage non châtié. Il vous l’a racontera en personne.

SUD OUEST
Par BENJAMIN FERRET
Et c'est ainsi que l'orchestre est grand
Vincent Bosler et Kiki Graciet fêtent la sortie de leur album avec les « others fuckers » qui y ont contribué.

The Very Small Orchestra mélange compositions et reprises étonnantes. PHOTO DR
C'est quoi, pour vous, un orchestre ? Selon la norme en vigueur, relayée par Wikipedia, il s'agit d'un « ensemble musical composé de musiciens instrumentistes dont le nombre est conventionnellement supérieur à dix ».
Pour Vincent Bosler et Kiki Graciet, la paire fait l'affaire ; à condition, toutefois, d'y apposer la précision de « tout petit ».
The Very Small Orchestra, le groupe qu'ils ont fondé voilà plus d'un an, après plusieurs expériences avortées avant leurs premiers cris. « On se connaît depuis 15 ans mais c'est en 2010 qu'on a eu l'idée de monter un truc à deux, rappelle Vincent Bosler. Au départ, c'était juste pour se faire des dates l'été. » La guitare de Bosler, l'harmonica de Graciet, leurs deux voix… Et des rades entiers de potes. « Autant, en concert, on se débrouille à deux, pour l'album, on a voulu sortir l'artillerie lourde tout en gardant une sonorité très acoustique. »
Au gré des pions
Équipés d'un simple ordi filé par la belle-doche de Bosler, d'un micro et d'une petite carte son, les deux acolytes ont eu la révélation au fond du houblon en épilogue de l'enregistrement d'une démo pour Gracia. « On a fait ça à l'arrache. Dès qu'on croisait un pote, on lui demandait ce qu'il jouerait sur nos morceaux. »
Il faut dire que la musique, les membres du Very Small Orchestra y baignent dedans. « Si tu aimes boire des coups et faire le malin devant les gonzesses, c'est le boulot rêvé, plaisante Bosler. Il y a même des types qui nous paient pour ça ! » De Spooky Jam à The Hyènes pour lui. De Hot Soda à Nico Etxart et@l'Arrache.com pour Gracia. « Vu qu'il voyage léger, avec juste son harmonica, il tape le bœuf avec tout le monde », souffle son binôme.
« Une bonne teuf »
Alors, pour « ce projet pharaonique au budget de merde », les deux zicos ont fait de la retape au gré des pions. « On est quand même des gros bâtards, juge Bosler, parce qu'on a la basse-batterie de Noir Désir. » Denis Barthe et Jean-Paul Roy, mais aussi plein de « others fuckers » qui seront évidemment présents pour le concert. La première, et « peut-être dernière » date où tout ce beau monde se retrouvera sur scène pour accompagner le Very Small Orchestra. « Vu que certains musiciens qui jouent sur un même morceau ne se sont pas forcément croisés, c'est l'occasion de les réunir pour les remercier et faire une bonne teuf. »
Célibataires géographiques, d'un point de vue musical s'entend, Vincent Bosler - originaire de Biscarrosse et aujourd'hui parisien - et le Bayonnais Kiki Gracia enchaîneront donc leurs compositions - terrible « Biscarrosse » - avec leurs reprises, dignes de figurer dans une compil de « Paris Dernière ». Si la vie se doit d'être rock'n'roll, le rock'n'roll, dans les mains du duo, semble malléable au point de s'immiscer dans d'autres genres.
Ainsi, « Punk », reprise des Clash qui prend avec eux des sonorités venues du Mississippi de la Grande Dépression. Ou encore « Les Cloches de l'enfer », quand les notes d'AC/DC nous plongent dans une atmosphère d'un western et d'un solo d'harmonica. Chose vue, mais là encore revisitée par le groupe. « On voulait aller dans les Bardenas, là où se tournent des films, mais vu qu'on n'avait pas de temps, on a été sur la plage de Tarnos. » Et c'est ainsi que l'orchestre est grand.


03 chaussettes (extrait)

04 métal (extrait)

05 bling bling (extrait)

06 le stone (extrait)

07 punk is dead (extrait)

08 punk (extrait)

09 pique (extrait)

10 bruit (extrait)

The Very Small Orchestra :

On peut pas faire plus petit comme orchestre. Ils sont deux. Mais c’est du lourd :
Kiki Graciet, harmoniciste star du Pays Basque (Nico Etxart, Sister Simone, Sixties soul band…) et Vincent Bosler (The Hyènes) à la guitare et au chant jouent leurs compos et reprennent sans complexes aussi bien Metallica qu’Adamo…

Dates de concerts, photos, humeurs etc:
http://www.facebook.com/pages/The-Very-Small-Orchestra-officiel/162661297099046

Les clips!!!

Métal: http://youtu.be/9krmBsDj8OM
Biscarrosse: http://youtu.be/6j7F0smcM1s
Tell me your name: http://youtu.be/V68O8ZUJiJA

En Concerto:
Ace of Spades @ Le Klub Paris: http://youtu.be/VtuVKB7X1jw

Quand la météo le permet, une pléiade d'amis vient les rejoindre sur scène, Denis Barthe, Jean Paul Roy et Olivier Mathios du groupe The Hyènes, l'accordéoniste Pascal Lamige, le violoniste Nrv, Guillaume Schmidt au saxophone ou encore Léa Lemeur au steel drum viennent leur prêter main forte formant ainsi un groupe à géométrie variable, "The Very BIG Small Orchestra".


verysmallorchestra

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