Guette le r’tour
J’compte plus l’nombre d’essai d’transition
Décès d’meufs pour des meujs d’C, tant qu’ils sont
Pas cher, t’sais, on essaie, j’ai d’l’ambition,
J’sais qu’l’heure tourne
Et j’reste seul tout,
J’compte plus perdre
Y’en a 6 (lettres)
Juste assez, avachi, si y’a dra,
J’tema
Si tu pleures, j’t’aime
J’me pé-trom plus, j’doute encore 
Pépom plus, y’a du foutre encore, 
J’ai besoin d’plus d’applause pour cause,
J’donne tout au présent mais j’attend - 
Tout l’temps m’présenter
Faut qu’j’get deux A pour l’double V -
J’donne des cours, j’les ai lachés, j’étudie d’autres 
j’ai tu, dis tout, j’attendais juste ton nez rouge, allez
pète ton sdar, bête de foire, t’attend p’t’être ton ami mais
t’as pas d’ton stable
J’veux pas d’ton avis si y’a pas d’constat
Gaffe, là où tu t’assis c’pas toi la resta
Laissez moi l’trône, j’vais zoner lunettes en coeur et grand sourire
Marcher sur le sable et prendre du biff
Bandes de salopes, vous n’êtes qu’utiles qu’aux enculeries
Ça endurcit, nique l’excentrisme, elle m’aime sans trique
C’est beau certes, j’fait gaffe à tous, un gars farouche sait quand
C’est beau certes, mais pas toujours, sale poète
Implicite proverbe offert, et fossette
Tu crois qu’on t’connais, plus ? - Sage lopette
Depuis qu’j’suis né j’me repose, j’rêve
J’crois qu’j’suis jnouné d’mes pauses, merde
J’ai besoins d’prod, toi t’as besoin d’prod  - 
Allez, jette à la poubelle ta dose, frère
Ça bug
J’ressent la bud comme un arrêt dans le temps
Comme un art égaré j’parle à personne, comment narrer ?
Dans le temps, j’m’égarais par peur
Maintenant j’éclate des rappeurs


Quand la plume m’a manqué j’en pleure
J’regarde la lune, j’suis touché dans l’coeur
J’dors plus

C’est fini les pauses

Retour

(J'ai perdu la prod, grosse force à celui qui l'a fait)

Laisse moi juste essayer
Braver l’sort 
Qu’est fatal, quand même
Marquer le coup
J’attend + que marquer le coup
J’gratte comme un gus, qu’a perdu sa cons,
son indépendance, yes, laisse lui s’cramer
À la base j’y songe
j’ai deux trois dièses disgraciés, et des reufs qui tombent
4000 tours vers la suite, mais j’ai les yeux fermés
j’envisagerais pas la fuite, tous mes chemins je les ai cernés

Laisse moi juste essayer 
Passer du temps avec ma mère, le temps qu’j’m’accorde avec moi-même
Je les vois fixer ma fenêtre du lampadaire
Attend qu’j’réponde avant qu’on s’pèta
Respecte tass 
Je galère à bosser à la maison
Ce soir, Je les abandonne ils feront d’la merde seul
Hustler j’garde les bons mais j’entretiens
J’les vois les vrais même entre 15
mais j’ai beau expliquer ils comprennent rien



Laisse moi juste essayer
Braver l’sort
Comme contre, et ça y est
On s’en sors, 
Imagine, Libre comme l’air
Je vous en prie, Je ne rêve pas d’une fin terrible ni sous emprise
final j’vise, p’tite com mec
Je n’lève plus l’ton pour être crédible, toi 
Tu sors d’tes gonds, tu prend la porte, pénible, han
C’pas un don d’se sentir très digne
Pour l’éthique j’ai juré 

Laisse moi juste essayer 
Libérer le jnoun, et m’prendre un p’tit été de doute
esclandre, injustifié et lourd, respect annexe mort
Et regrets de souvenirs détachés, j’reste près du confort, quoi qu’il
Faut pas, ça arrive plus vite que ce qu’on pense
Les miens ils ont mis 2 secondes 
S’agirait d’voir tout ce qu’on vie
S’agirait d’en voir le sens, jusqu’à la seconde vie



Laisse moi juste essayer
Braver l’sort, sans voix
Fermer l’store
Ne plus rien voir, les yeux ouverts
Let me Be lord dans c’bordel, les cieux gouvernent
Comme moi
Sans lucidité
Dans l’noir, j’rêve toujours de pouvoir m’endormir en tranquillité
Pense aux pensées que j’ai eu quand je pensais, rêver
Aucun sens actif, même sous opiacés, j’me pinçais
Laisse moi juste essayer

Communiquer avec moi comme j’use d’idées dans mes lois
je m’endormirais avec un sourire quelconque
Sans belle blonde ou substance
J’me laisse onze minutes sans tomber, 
Sous la cloche, entre la vie et la mort
Ne souffrant qu’au plexus, + qu’à 100, j’vous raccroche, tous
Le temps du temps est révolu
J’attend la suite comme avant

LMJE

De l’art brut jusqu’à temps de m’produire
Jusqu’à temps de trouver la force de - de prouver ma force
Perdre l’habitude de trop m’nuire
Déjà des remords.- de faire
du rap de faible pour l’effort, en fait 

Mon travail ne suffira p’t’être pas 
Pour leur parler comme leur foi
Mes yeux ne veulent qu’etre bas
Donc je comble leur pas, au lieu de les doubler
Car un premier ne regarde que droit devant seulement
De toute façon, j’suis beaucoup trop défoncé
Malgré tout dans mon droit s’lon mon serment

Importun, je reste à l’aise,
En fermant les yeux, un par un, je les entends me découvrir aveugle
Mon ascèse apaise leur peurs en un couplet d’aveux
Pourtant, ils n’ont qu’un déni une fois émis sous leurs yeux, 
Où sont donc leurs coeurs ?

Il faudrait en vivre plus d’une pour toute ces pensées 
Aucun scrupule à danser
Qui va m’empêcher d’danser ?

Ma pause est infinie sur ma montre cassée
Ma prose manque d’un milimètre de tranché
Je suis invisible mais je n’suis plus caché 
Je prône l’indicible art de parler

Art brut

Laissez moi investir sur moi-même
J’referme les yeux d’vant sournoiseries, et j’souris
Shit dans la veste il brule la tête
J’suis dans la fête -
T’as pas cala, Kappa, j’gagne à la fin quoi qu’il
J’reviendrai d’loin comme Aladin, t’auras pas un, moi si
Pirate du soleil comme Aladdin
De sur, j’pisserai sur un shlag en Balmain

Lève ton revé, lève ton réveil
On dormira pas pendant l’prochain rêve
Qui veux calmer ceux qui savent pas parler
J’ai su ta voix + vite, que celle, qui t’as donné la vie
J’ai pardonné, ami, frères, le chaos mes envies
Maintenant fier j’me l’était crié dans l’noir
Tous les (fuck***) ont des beaux yeux dans l’noir


J’ai la fougue dans l’noir
J’ai la fougue dans l’noir

Est-ce que ça arrive à tout le monde ? J’ai la place sur l’attele pour tenir le bange (Ah)


Est-ce que t’as un shit, un bout d’blonde
Ca s’enfonce pour la ride, ouais
J’dompte, l’aigle noir sous mes paupières, dormantes
Il veille sur nos romances, et nos frères
Nos séquelles, c’est c’qui m’soigne, ou me tempère
Moeurs mortelles, personne ne voit la tempête
J’ai cru qu’c’était d’l’amour qu’j’leur portais
mais coeur mort mes démons m’emparent, trop vite
Les mensonges, j’en ai vu j’en ai bu
J’sais qu’ceux qui crachent sont les mêmes putes qu’au début
Je travaille sans bout pas sans but
Ils sucent
Ça sort d’leurs bouches quand ils parlent 
J’entend pas les bon mots
J’rentre dans l’palais, gros le leur est plein
Ils sont plein d’leurres,  (j'me plains d'l'heure)
Ces chiens m'l'ont jamais donnés, j'ai assez donné
Horloge solaire, l'ombre est d'or et


Je respire la mer
Je n’vis qu’au soleil, même si
mon bruit court à l’oreille, 

Je respire la mer
Je n’vis qu’au soleil, même si
mon bruit court à l’oreille, 
Laisse mes rêves en paix

chez oim

Pirate du soleil

Crevure dans le cercueil
Rien n’a pu gommé la haine
Divine fin
La sienne est - comme est la tienne et
Lors d’orgueuil et démesures, 
Les erreurs et les mots justes
Hubris
Han, la violence



Demain faut que j’me lève
Je compte plus quand je me parle à voix haute 
Le soleil s’couche, par là le chaos 
Trop d’esbroufes de trop d’espoirs gratuit 
Faut que je leur pisse dessus plus souvent
Faux départ récessif,
Bientôt plus tout jeune, j’ai des blessures dures au ventre
Autant d’fils de putes circulent entre
Mes peines que mes joies
Ils me prennent tous tout de mon temps
Ça m’énerve faut qu’j’les démonte
Ils se prennent pour, 
pour des démons tah - ceux qui soulevaient des montages, gros, c’est que des mensonges
J’leurs crie, allez bossez la vie 
Rejoindre la terre ou y’a que des gens sages
Direction
J’bosse un avis qui s’discute pas
Bosse un avis pour parler d’moi 
J’men bas les couille j’ai la vue sur la mer
J’vois qu’les lumières de l’usine quand j’vais la voir
Chez moi y’a et y’aura pas de vagues 
J’vois qu’les lumières de la ville plongé dans l’noir 
Bises à la zine de la voisine à Bilal
Fuck les nouvelles j’les vois sous cannabis
Et moi j’en ai pas ça bouge pas tu connais
Demain j’me lève et j’fais l’khaliss tu connais
Peur ou colère
Dis moi juste c’qu’on est, hein ? 
Jusqu’où né le vice, j’suis jnoune 
On s’vengera sur moi quand j’serai toutes les causes 
Fuck ceux sur mes côtes


Laisse les s’complaire
Laisse les s’endormir dans l’ombre
Laisse les s’plaire, ouais ouais
Laisse les c’cons

Hubr!s

Ils monnaient la connaissance
Ils monnaient l’humanité
Tout le monde est libre en acceptant la maladie
J’prêche pas les naissances comme formalité
J’rêve d’un savoir comme un Colt,
Tu m’écris comme tu crie
Soigne tes prières
J’amasse j’amasse mais c’est pas l’coffre commun
J’suis comme un, 
Autres mais vais ske j’fait 
J’vends skud, j’essaie,
Pour personne ou tout le monde
 Est-ce que j’plais, J’pense que, uniquement
J’dis pas
Subitement, j’ment
J’m’éloigne, fuck
j’en réclame des témoignages, ça m’est mauvais
Je n’peux jouer qu’un personnage, ça m’est mauvais
Personne me connait, ça m’est mauvais, ça m’est mauvais

J’ai fantasmé l’amour mais j’m'en sert pour m’assouvir
Ils confondent condom confiance, qu’on donne l’approfondissement
Faut s’redécouvrir, y’a des gens partout qui s’mentent, s’couvrir ou courir, des salopes en déguisements
s’avouer tout, au présent, quitter l’abêtissement
Travail dur, comme ton coeur viser l’embellissement
Donne ta main, j’sais que t’as peur, caractère nocif, -
t’as de la haine à distribuer, comme à la police
Une fois éduqués, c’est des novices
J’mène mes enquêtes, comme Belladonis
Elles crieront toutes mon nom, S/o l’bel Adonis
J’suis l’antagoniste, c’est dans mon métabolisme
Withc agonise, favorisant l’humeur souriante
Bitch alcoolique, a l’clitoris un peu troublant
J’m’embarque jusque là, faut qu’j’m’embarque dans son corps
Et dure triques, ça m’est mauvais, j’suis lucide quand t’es possédée

 J’reste à peine éveillé quand j’ai l’traque
J’ressent physiquement toutes mes erreurs
J’rêve de valeurs ancestrales, Celles que tous jugent incontestables
J’me rendort sur la weed, je t’aime et y’a trop de fond
J’serai jamais votre exemple, je m’aime et nous forçons
J’part sans entente 2 fois,
J’attend d’entendre leurs voix

ARTMAN

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