je suis artiste autodidacte ,je joues et composes seul et parfois rarement avec d'autre musiciens....

mon souncloud  a plusieurs compositions ce sont  des albums de m.a.o  fait seul et likez si vous aimez.merci joe traxx sans oublier 
ma nouvelle colaboration aver roger andreu tres bon violoniste et le pere chado a qui jai conserver l'album e
xperimental que  personne ne detient sauf moi le doq dans toute sa splendeur coeur a vif.

NEW ALBUM ‘mad. scientist333’ OUT AUG 6.

Joshua David Kaye, best known by the stage name NOISE is a British avant-garde artist, author, writer, songwriter and multi-instrumentalist.

Born in London, Joshua grew up the eldest son of a chartered accountant and insurance broker. Showing creative prowess at an early age, he started playing the piano at age six, later starting opera in his teen years. 

Having graduated with a BA from Birkbeck, University of London and an MSc from the University of Edinburgh, he is now a PhD student at Royal Holloway, University of London. All degrees in English Literature.

He now lives in London, where he continues to release music independently, as well as articles and music reviews. Some of his musical influences include: Fela Kuti, Brian Eno, Pierre Schaeffer, Can, Kate Bush, Jon Hassell, The Beatles, Björk, film director Jean Luc Godard and french philosopher Jacques Derrida.

Enquiries: joshdkaye@gmail.com

"KrèM Grabuge". SOLO  électro-ethnique vocal. Des ambiances, mes recherches...Premiers concerts dans la Drôme (26)et en Rhône-Alpes en 2018.

"Faut que ça sonne comme les grands singes .
Comme une reine des chamanes coincée dans un garage punk. Une armée d’Amazones, étirant leurs cordes sur des mots ivres du cousin de K. Dick. Une onde océanique de James Blake plantée dans le flanc d’une baleine. Une branche centenaire s’enroulant autour des trippes du monde, qui t’attrape et te soulève.
Ca doit respirer la forêt vierge, le vieux chêne afro-créole, trapper les sons arrivés de la Plateforme-Mégalopole. Un nuage d’électro-têtards te grimpant comme un baobab. 
Une scène fantasmatique qui l’inspire dans laquelle madame Odezenne poursuit Tune-Yards, en jogging de De Prettto, pendant qu’au loin Minvielle déBlabla-Terre des syllabes de Dead Can Dance en The Do mineur. 
Faut que ça transpire les loups de ses nuits de loops, les mots qui collent, l’envie d’hurler, la soif de découverte. La profonde solitude en angle extra-sociabilité. Ses pas dans les pads, des voix dans les pattes.
KrèM pour le sweet et l'insulaire. Grabuge pour le désordre en velours vert d’un solo vernaculaire.
On approche, station RÊVE.

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