Well, its taken a year but at last I've managed to create something new, a track that reminded me of warm, sultry days on holiday. I do hope you like it and any support you can give me as I find my way back into music would be much appreciated!

Spotify

Glistening (feat. Zara Delaney)

Electric Horizon

Turn Out The Lights

believe in (memories)

Give me just one night,

Let's dance until the morning wakes up.

Your eyes carry the light,

That the darkness breaks.

Give me the night – just once,

I'll term them forever.

A song, a picture, a wing beat,

Who carries you to heaven.

Your closeness sounds like a sound,

Like a whisper deep in the horizon.

Everything is silent, but I only hear you,

My soul sings for you.

Give me the night – just once,

I'll term them forever.

A song, a picture, a wing beat,

Who carries you to heaven.

And when the morning comes,

You stay in every word.

Love and pain united,

You paint my heart so much.

Give me the night – just once,

I'll term them forever.

A song, a picture, a wing beat,

Who carries you to heaven.

Schenke mir nur eine Nacht.m4a

every other way (summer's end)

Kasai

Pierre and Jean-Claude Bordetti productions (c) 09/2025.

Composed, arranged, performed, and produced by:
Pierre Bordetti and Jean-Claude Bordetti on drums.

Visage (Lyrics/Paroles)

J'ai aperçu son visage, mais ce n'était qu'un mirage, 
Comme un reflet dans l'orage, une illusion de passage,
Son regard m’a fait naufrage, dans un monde sans rivage,
Où l’amour n’est qu’un langage, perdu dans le vent sauvage.

Elle danse dans mes pensées, comme une ombre sans visage, 
Chaque nuit je veux l’aimer, mais je n’ai que son mirage,
Un soupir, un doux présage, puis le vide en héritage, 
Je poursuis son doux sillage, prisonnier de son image.

Visage

Ton regard perdu me fais fondre 
Tu es la reine de mon monde

Sublime geisha, tu m’ensorcelles
Dans tes yeux, les promesses du ciel…

Tokyo girl, tu m’envoutes for ever
Kiss the sky, heaven in your eyes 
Dans les rues, fière tu m’échappes 
Sensation si je t’attrape…

Ton regard triste me retourne
C’est perdu, la roue tourne…

Ton regard perdu me fais fondre 
Tu es la reine de mon monde

Sublime geisha, tu m’ensorcelles
Dans tes yeux, les promesses du ciel…

Tokyo girl, tu m’envoutes for ever
Kiss the sky, heaven in your eyes 

Dans les rues fière, tu m’échappes
Sensation si je t’attrape…

Ton regard triste me retourne
C’est perdu, la roue tourne…

Tokyo girl, tu m’envoutes for ever
Kiss the sky, heaven in your eyes

Kiss the sky, heaven in your eyes
Kiss the sky, heaven in your eyes…


TOKYO GIRL 2

In The Clurrb

https://www.youtube.com/watch?v=FGFarTsSW9A

[Verse 1]
Les signes de tendresse le long de ma vie
Représenté par des signes d'affection
Les caresses
Les étreintes
Les baisers
L'enlacement des mains

[Pre-Chorus]
Ils se sont estompés dans ma mémoire
Peu à peu avec le temps
Quand j'essaie de m'en souvenir
Ils se sont effacés avec le temps
C'est difficile à dire
C'est difficile à voir
Avec le temps
Les souvenirs s'estompent

[Chorus]
C'est tout
C'est tout
C'est tout
C'est tout


« La musique est le véritable souffle de la vie. 
On mange pour ne pas mouvoir de faim.
On chante pour s'entendre vivre. »
(Yasmina Khadra, Les hirondelles de Kaboul)

Tendresse – Jours lointains

Titre : Jours lointains
Poète : René-François Sully Prudhomme (1839-1907)
Recueil : Stances et poèmes (1865).
Nous recevions sa visite assidue ;
J'étais enfant. Jours lointains ! Depuis lors
La porte est close et la maison vendue :
Les foyers vendus sont des morts.

Quand j'entendais son pas de demoiselle,
Adieu mes jeux ! Courant sur son chemin,
J'allais, les yeux levés tout grands vers elle,
Glisser ma tête sous sa main.

Et quelle joie inquiète et profonde
Si je sentais une caresse au front !
Cette main-là, pas de lèvres au monde
En douceur ne l'égaleront.

Je me souviens de mes tendresses vagues,
Des aveux fous que je jurais d'oser,
Lorsque, tout bas, rien qu'aux chatons des bagues
Je risquais un fuyant baiser.

Elle a passé, bouclant ma chevelure,
Prenant ma vie ; et, comme inoccupés,
Ses doigts m'ont fait une étrange brûlure,
Par l'âge de mon cœur trompés.

Comme l'aurore étonne la prunelle,
L'éveille à peine, et c'est déjà le jour :
Ainsi la grâce au cœur naissant nouvelle
L'émeut, et c'est déjà l'amour.

René-François Sully Prudhomme.
À découvrir sur le site https://www.poesie-francaise.fr/rene-francois-sully-prudhomme/poeme-jours-lointains.php

Les signes de tendresse

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