Invités

Accord USA/ EUROPE dit TAFTA
Nicolo Rinaldi (démocrates libéraux)
Yannick Jadot

FEAD : fonds sociaux européens
Elisabeth Morin-Chartier (Ump)
Jean-Louis Cottigny (PS)

ÉQUIPE PLATEAU
Aurélien Bertini, passeur de plats, RC Besançon
Raphaëlle Chargois, journaliste RC Lorraine
Adrian Garcia-Landa, journaliste Radio 88Vier Berlin
Martin Bodrero, journaliste RC Paris

Nina Vone, reporter photo

MERCI AU SERVICE AUDIOVISUEL DU PARLEMENT (VOXBOX, Joseph en particulier)

Les Radio Campus au Parlement européen | Février 2014

Médaille d'or Prix FICTION JEUNESSE aux RADIO NEW-YORK AWARDS 2023

PRIX DE LA CRÉATION JEUNESSE au Festival Longueurs d'ondes 2023 - Mention spéciale des jurés enfants et adultes

Cette histoire, presque vraie, est celle de Ganda, un rhinocéros indien qui a bel et bien existé. 
En 1515, un sultan indien nommé Muzaffar offre au gouverneur des Indes portugaises un rhinocéros. L’animal est expédié au roi Manuel Ier qui l’offre à son tour au pape. En route vers l’Italie, Ganda fait halte sur l’île d’If, à Marseille. 
Prisonnier et harnaché depuis des mois, Ganda n’a qu’une seule idée en tête : s’évader.

une fiction de Chloé Despax
à partir d’un texte de Carole Saturno
nourri de l’imaginaire d’enfants de Marseille, avec qui nous avons mené deux semaines d’ateliers en juillet 2022 :
Yasmine Rakotondramanana, Mariam Iufa, Elene Paksaze, Enes Mohellebi, Alaa Mohellebi, Kellyenne Mayara Lopes Taveres, Kiara Mayara Lopes Taveres, Aymen Dorbane, Mame Diarra Toulahi Ngom, Wafa Benkahla, Cheikh Bethio Diagne, Youcef Benmazouza, Islem Louahche.

Aide à la réalisation : Nora Boulanger-Hirsch
Musique : Nabankhur Bhattacharya
Bruitage : Caroline Ledoux
Prises de son studio et mixage : Jean-Baptiste Imbert
Paysage et jeux vocaux : le Choeur Tac-Til (insufflé par Natacha Muslera)
Mafalda Da Camara, Mélodie Duchesne, Chérifa Harzallah, Bruno Raby, Alex Quérel, François Parra, Natacha Muslera, Franck Omer, Angélique Huguenin 

Ganda : Pina Wood
Le concombre de mer : Aala Mohellebi
Le calamar : Vladimir Delva
Les méduses : Lili Parra Cabrolié, Zoé Despres et Lila Godeberge

Médiation : Peuple et Culture Marseille
Illustration : Sarah Cheveau
Production associée : Radio Grenouille / Studio Euphonia
Une production Mondes nouveaux mis en oeuvre par le Ministère de la culture, en collaboration avec le Centre des Monuments Nationaux

REMERCIEMENTS
À Djé, l’hermite de Sormiou qui a donné sa voix à l’épilogue et au prologue
Merci aux collègues du son Julie Rousse pour le prêt de son hydro magique et Bertrand Wolff pour la matière électro-acoustique
Merci à Margaux Blachère à la production Mondes nouveaux, 
à Philippe Naissant à la production associée Studio Euphonia, 
à Nisrine El Hassouni, Julie Laborde-Gréché et Leïla Carpier de l’équipe de choc de Peuple et Culture Marseille
à la photographe Claire Delfino et à l'historien Pierre Singaravélou
à l’ébéniste Emmanuel Picaud

Et un grand merci pour leur écoute à Pauline Laplace, Zoé Suliko et Claé, Leslie Doumerx, Amélie Agut et Jules, Boris Gobin, Anna Buy, Damien Ravnich, Emilie Aussel, Loup et Melvil

Et si Ganda s'était sauvé?

« J’ai avalé une fumée noire », une fiction sonore réalisée par Aurélien Bertini (2024)
 

C’est une création sonore inspirée de l’histoire d’Henriette De Crans, première femme accusée de sorcellerie, première « sorcière » brûlée vive à Besançon en 1434 à Chamars. 15 autres femmes connaîtront ce même sort jusqu’en 1660. Accusées de sorcellerie, jugées à Besançon et condamnées à mort par le feu.

« Ils disent que je suis plus cruelle que la mort , je suis déficiente dans mes forces d’âme et de corps. Je ne suis pas comme eux, et me voilà devant tous ces gens.
Ils croient que je suis le Diable, une sorcière disent-ils.

Mais ils se trompent, Ils garderont leurs peurs.

Droite contre une pièce de bois, j’ai avalé une fumée noire.

Ma langue s’est perdue, cahotée, déroutée, détournée.

Ma langue Va se relever Va se soulever ».

La création sonore  s’écoute sous casque en suivant un parcours de marche dans la ville, dont le point de départ est le parvis de la Cathédrale Saint-Jean et le terminus, le buste d’Henriette de Crans à Chamars.

Production : Ville de Besançon en partenariat avec Radio Campus Besançon 102.4 FM
Enregistrements, Montage et Mixage : Aurélien Bertini

Écriture : Stéphanie Genetay, Stéphanie Ruffier, Aurélien Bertini
Voix : Manon Falippou, Brigitte Mounier, Louis Ucciani, Christophe Vincent
Remerciements :

Valérie Haller, Brigitte Rochelandet, Hoka, Saskia Edens, Clémence Comte, Chloé Truchon, Anne Pacéo, Célia Sayaphoum 

les comédien.ne.s figurant.e.s :

Robin Mercerli, Maëlle Marry-Mercerli, Blanche Kacedan, Lei An Choffet, Dorian Raffin, Théo Vuillet-A-Ciles

Le Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Besançon Métropole et les étudiant-e-s interprètes des œuvres classiques : Naïs Formentin (clavecin), Cosma Sené (viole de gambe), Vanesa Canova, Martine Jeanmaire, Noémie Murach (flûtes à bec)

Musique originale : Thibaut Kuhm

Musique additionnelle : Anne Pacéo et son titre «  From Shadow To Light »

Extraits du recueil de poésie « Feux » de Perrine Le Querrec (ed.Doucet-2021)

Enregistrements : Aurélien Bertini (Novembre 2022-Avril 2024)

J'ai avalé une fumée noire

Wo mi lu le (10’34) - 2012 - création fiction sonore
Expression chinoise signifiant « je me suis perdu »
Il y a en Chine pour tout étranger de passage, le sentiment d’incompréhension liée à la langue, à l’écriture, parfois un sentiment d’être perdu, voire être un voyageur en perdition. Lorsqu’un chinois nous interpelle, ça peut donner lieu à véritables moments d’échanges, beaux, rigolos mais parfois aussi oppressants….
« Wo mi lu le » est une expression chinoise qui signifie je me suis perdu. C’est une expression que l’on retient très vite lorsqu’on veut apprendre quelques mots de chinois. On l’apprend vite parce qu’elle est facile à prononcer et que les chinois la comprennent (ce qui n’est pas toujours le cas avec des phrases soi disant faciles à prononcer). On l’apprend vite aussi parce qu’on y est obligé ! On se perd souvent en Chine quand on se balade. On se perd au sens propre mais pas seulement…

Enregistrements : mars/juin 2011
Mise en ondes, mix et Réalisation : octobre 2012 Aurélien Bertini

Wo Mi Lu Le

production arteradio.com / création - 2011 - 3'46

A Litang, province du Sichuan (Chine), des couteaux et des ossements jonchent le sol. Une centaine de vautours attendent. Le lama prononce des prières tibétaines. La famille remet le corps du mort au boucher. Les cris des rapaces augmentent. L'artisan découpe le corps en petits morceaux. Il laisse la place aux vautours, considérés par les Tibétains comme des oiseaux sacrés. Le corps disparait en quelques minutes, il se réincarnera au ciel.

Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Aurélien Bertini

Enterrement au ciel

Enterrement au ciel, Le rituel des morts tibétains

The Key

The Key (Instrumental)

Soap Opera in drei Akten
Wir danken allen, die ihre Seifenklänge für diese Soap Opera eingereicht haben und insbesondere Petra Decking für ihr Gedicht.
Die Klangcollage entstand im Rahmen der Veranstaltungsreihe “Froschgesang & Seifenklang. Mit Wissenschaftsjournalist*innen digital die Welt erkunden”. Eine Kooperation der Münchner Stadtbibliothek und RiffReporter.
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Avec les sons de lavage de mains des Munichoi·se·s, la voix et le texte de Petra Decking.
Montage et mixage : luvan
Une commande de la Bibliothèque de Munich et des RiffReporters, dans le cadre de la série “Froschgesang & Seifenklang".

J'ai avalé une fumée noire

AurelienBertini

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