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back to friends

"Casier 312" est une chanson qui se passe entre des casiers jaunes, un code PIN et des néons de fin de soirée.

Deux personnes se retrouvent dans un point relais, au milieu des colis, des tickets et des notifications. Dans ce décor ultra-logistique, elles essaient de laisser une trace qui ne soit ni un QR code ni un reçu : la preuve qu’elles se sont vraiment plu, là, ce soir.

Dream pop intime en français, nocturne et urbaine, où la ville connectée sert de décor à une histoire très débranchée, faite de silences, de regards et d’un simple casier qui devient un endroit pour ranger la peur et garder ce qui compte.

Casier 312

"Cartographie des épaules" est une chanson sur la reconstruction et la tendresse après les phrases qui font mal.

Le texte suit quelqu’un qui réapprend à se tenir droit après des "non" trop lourds et des "c’est pour ton bien" sans amour. L’autre ne vient pas sauver, mais tenir, écouter, offrir un endroit où la peau retrouve son sens et la voix sa place.

Musicalement, c’est une dream pop intime en français, nocturne, centrée sur la voix et les paroles, avec une production sobre qui laisse la respiration et les silences exister.

Cartographie des épaules

On “Room With No Corners,” Alone New Yorker crafts a high-end slice of bedroom art-pop where minimal sound design carries maximum emotional weight. Built on a deliberately detuned felt piano and sparse ambient pads, the track frames a very high, androgynous voice, close-miked, reverbed, and painfully present, as both narrator and instrument. The writing is cinematic in its small details: coffee stains “growing constellations,” wallpaper cracking “the only line that’s honest,” and domestic frequencies transformed into choirs. The song moves like a slow internal spiral, quiet chaos rendered elegant, capturing the paradox at its core: disappearing in the room, yet leaving a signal behind.

Room With No Corners

Buy on Bandcamp

“Above the Rooftops” is a late-night rooftop anthem for anyone caught between the city they live in and the places that raised them. Alone New Yorker stands on a borrowed skyline, singing about rivers, snowfields and concrete glow, turning every roof into a mountain and every streetlight into a small, flickering prayer. Fragile high vocals make it feel like that quiet moment when you lean over the edge, breathe in the city’s ache, and finally let yourself belong to two worlds at once.

Above The Rooftops

Ascenseur sans réseau

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À l’occasion de la sortie de mon nouvel album *Givre*, le 26 décembre, actuellement en pré-sortie sur Apple Music, je souhaite partager ici l’un des titres disponibles en écoute libre sur Apple : *Phare d’hiver*.

J’espère qu’il vous plaira et je vous souhaite à toutes et à tous de très belles fêtes de fin d’année.

Givre

Phare d’hiver

I made this track for Halloween 2020 for a private party, and it’s being released for Halloween this year.

Subwraith

Benjamin Alba