Mémoires du Futur

Une chanson-manifeste qui célèbre l’identité plurielle, la mémoire vivante, et l’élan collectif vers un futur commun. Nous sommes évoque une humanité debout, consciente de ses blessures et de ses forces, tissée d’histoires, de luttes et de beauté. Un chant de reconnaissance, de résistance, et de reliance. Chaque souffle compte. Chaque être est un monde. Ensemble, nous sommes le souffle de ce qui vient.

NOUS SOMMES

GB This song was born from an inner day.
A moment when I told my cells: you may lay down your weapons.
There was no enemy left inside — only memory in tension.
So I let the breath descend, listen, and repair.

This is an inner declaration.
A silent pact between the body and its story.

This song belongs to the Language of the Future, a language I created from interconnected phonemes inspired by 26 living glyphs.
Each glyph carries memory, emotion, and breath.
Behind this language, I composed the Language of the 26 Stories, each connected to 25 cultural and symbolic roots from all over the world.
What you hear here is a gentle offering of cellular peace.
A language of connection. A language of the future.

FR Ce chant est né d’un jour intérieur.
Un moment où j’ai dit à mes cellules : vous pouvez poser les armes.
Il n’y avait plus d’ennemi en moi. Seulement une mémoire en tension.
Alors j’ai laissé le souffle descendre, écouter, réparer.

Cellules en paix.
C’est une déclaration intérieure.
Un accord discret entre le corps et l’histoire.

Cette chanson fait partie de la Langue du Futur, une langue que j’ai créée à partir de phonèmes reliés, inspirés de 26 glyphes vivants.
Chaque glyphe porte une mémoire, une émotion, un souffle.
Derrière cette langue, j’ai composé le Langage des 26 Récits, chacun relié à 25 racines culturelles et symboliques du monde entier.
Ce que tu entends ici est une offrande de paix, lente, cellulaire.
Une langue du lien. Une langue du futur.
— Carlos

Langue du lien  : variante de LANGUE DU FUTUR : 
em·kaa·li — mii·lou — djaa·sha·lun
oun·nami — shé — aah

em·naa·lou — dug·kra — vo·shaa
em·il·shuu — bii·om — toumè·vaa
lou·lun·sou — éyo·sha

naa·muu·gru — tsa·ka·li — zho·bii·tsa·loon

shaa·loun·em — kra·nami·tou — shé·om·lou
em·sou·lun — dug·kra — naa·waa
kra·vo·lou — shé·vuu — om·om·mii

Emnalou

Poussière dans la Danse. Ecouter l'appel du Monde. 

Alors écoute…
Le souffle des âges vastes,
L’appel du monde qui te frôle.
Tu crois que tu avances à travers le temps,
Mais c’est le temps qui te traverse.
Car l’Histoire est un fleuve immense,
Un courant qui roule, qui ronge, qui enlace,
Et toi, poussière dans la danse,
Tu flottes, tu luttes, tu glisses sans trace.

Tu crois bâtir, mais le vent disperse,
Tu crois marquer, mais la pluie efface.
Les pierres s’effritent, les routes s’effondrent,
Les noms s’oublient, les voix se fondent.

Et pourtant…
Sous les cendres, sous la roche, sous la peau,
Quelque chose persiste, résiste, résonne.
Les arbres se souviennent,
Les rivières racontent,
Les montagnes veillent,
Les étoiles témoignent.

Alors écoute…
La mémoire du monde sous tes pas,
Les racines qui murmurent ton poids,
Chaque feuille porte un siècle de vent,
Chaque goutte pleure un océan d’antan.

Tu crois échapper à l’oubli,
Mais c’est lui qui façonne ton ombre,
Tu crois que demain est une ligne,
Mais demain est un cercle spirales et en bifurcations de l'Histoire, il plie, il ondule.

Et quand tes mains lâcheront l’instant,
Quand ton souffle rejoindra le chant,
Le fleuve continuera sa danse,
Sans début, sans fin,
Juste un rythme,
Juste un mouvement.

Alors écoute…
Non pas pour posséder,
Non pas pour figer,
Mais pour vibrer dans l’éphémère,
Comme l’arbre dans le vent,
Comme l’éclair dans la nuit,
Comme l’eau dans le creux du temps.

Poussière dans la Danse

Tout ce qui me traverse

Les arbres, ils nous parlent. Je les écoute.

Les arbres veillent

Un chant s’élève entre les âges,
tissé de vision, sculpté d’images.
Il naît du seuil que l’on franchit
quand le réel devient récit.
Une trace s’ouvre 
quand la douleur devient flambeau.
Le souffle en nous, jadis contraint,
se fait murmure d’un matin.
Là où les peuples sont tenus,
naît le désir des mots perdus.
Et sous les chaînes des récits,
germent les graines
Le temps ne pèse 
il fait danser ce qui s’endort.
Et dans les plis du quotidien,
revient le feu des anciens liens.
Un chant s’élève entre les âges,
tissé de vision, sculpté d’images.
Il naît du seuil que l’on franchit
quand le réel devient récit.
Un son traverse les silences,
il porte en lui l'intelligence
de ceux qu'on tait, de ceux qu'on lie,
Les fleurs se penchent vers l’oubli,
mais savent lire entre les plis.
Elles n'attendent aucun éclat,
elles tiennent l’ombre entre leurs bras.
Les lois s’écrivent autrement
quand l’acte naît du sentiment.
Chaque regard devient contour,
chaque tendresse, une bravoure.
Les voix qu’on pensait effacées
sont devenues vérités tressées.
Et les récits de ceux d’en bas
redessinent ce qu’on verra.
Un cercle vibre au fond du ventre,
il nomme ce qu’aucun ne centre.
C’est un accord venu du cœur,
c’est une danse malgré la peur.
le courage de l’unisson.
Ce n’est pas fuir ce qui fait mal,
mais rendre le chaos loyal.
Ce n’est pas fuir, ce n’est pas plaire,
c’est dire au monde : je suis la terre.
Je suis l’écoute, je suis l’élan,
je suis la paix même dans la guerre.
Car rien ne change sans douceur,
rêve logé en chœur.
La guérison, lente et secrète,
s’écrit par ceux que l’on respecte.
Alors les murs deviennent veilles,
et les frontières des merveilles..
Un chant s’élève entre les âges,
tissé de vision, sculpté d’images.
Il naît du seuil que l’on franchit
quand le réel devient récit.
Un chant s’élève entre les âges,
tissé de vision, sculpté d’images.
Il naît du seuil que l’on franchit
quand le réel devient récit.

les fleurs te traversent

Les pieds pris dans le sable, la tête au large, question.
Faut-il partir, s’envoler, larguer les amarres,
Ou creuser le sol, fouiller l’histoire, bâtir sans départ ?
Une porte s’ouvre, hésitation qui danse,
Un pas en avant, ou un souffle en silence ?
L’accueillir en pleine lumière ou refermer l’histoire,
Laisser entrer l’inconnu ou verrouiller la mémoire ?
Observer ou plonger, être vague ou océan,
Voir le monde défiler, ou devenir le courant ?

Questionnements infinis

L’humanité s’est toujours heurtée à des murs invisibles, des lignes tracées dans l’ombre pour fragmenter ce qui aurait pu être uni. Ces oppositions artificielles ne traduisent pas les aspirations des peuples, elles les étouffent. Elles ne naissent pas d’un besoin profond de justice ou de liberté, mais des intérêts de ceux qui orchestrent cette grande illusion : les pouvoirs en place, les empires économiques, les systèmes de domination qui prospèrent sur nos divisions.

À travers l’histoire, on nous a dressés les uns contre les autres : riches contre pauvres, hommes contre femmes, nations contre nations, religions opposées, générations en conflit. Ces fractures ne sont pas naturelles ; elles sont fabriquées, elles servent à maintenir le contrôle, à nous enfermer dans des luttes qui ne sont pas les nôtres.

Un souffle d’espoir émerge, prêt à briser le silence et les chaînes.

Le réveil des multitudes,
Le rêve qui veille sur la mer 
La mer qui veille sur le ciel,
La multitude ressent l'appel

Ce mécanisme est vieux comme le monde, mais son efficacité repose sur une illusion : celle que nos différences sont des menaces. En réalité, elles ont été construites pour détourner notre attention pendant que des intérêts privés s’enrichissent, exploitent, et détruisent. Les guerres ne sont pas des conflits inévitables, mais des choix faits pour maintenir un ordre basé sur la peur. Les armes, les frontières, les rivalités, ne servent qu’à perpétuer un système qui vole aux peuples leur pouvoir collectif.

Le réveil des multitudes,
Le rêve qui veille 
La mer qui veille sur le ciel 

Aujourd’hui, une faille s’ouvre. L’histoire des peuples n’a jamais été écrite, mais elle peut l’être. C’est le moment d’abandonner ces oppositions, de refuser les récits imposés. L’opportunité qui se présente est de réinventer nos structures, nos imaginaires, en dépassant les systèmes qui divisent. Le désarmement est la seule voie possible, non pas comme une idée abstraite, mais comme une action concrète. Il représente un basculement vers un monde qui valorise la coopération, la vie, et l’avenir commun.

Le réveil des multitudes,
Le rêve qui veille sur la poésie mondiale
La mer qui veille sur les étoiles

Nous ne pouvons continuer à alimenter ces fractures. Il est temps de nommer ce qui nous sépare, de révéler les manipulations et de construire un nouveau pacte planétaire. Cette transformation exige une alliance des peuples qui rejette la peur et redéfinit les bases de nos sociétés. La paix est à la fois une nécessité et un acte révolutionnaire. Elle est le fondement d’une histoire nouvelle, celle que nous devons écrire ensemble, ici et maintenant.

Les Multitudes

Émergence d'une gouvernance universelle,
Un "Conseil des Peuples", assemblée exceptionnelle,
Quatre mille âmes éclairées, en chœur inspiré,
Voix de sagesse, modernité et passé ressuscité.

Fédération démocratique des sociétés civiles
Fédération des civilisations, unies sans murs,
Artefacts magiques dévoilent les secrets obscurs,
Au-delà des partis, collaboration mystique,
Cœurs enchantés, vérités sans équivoque.

Modèle socio-économique, épanouissement sacré,
Sortilèges d’abondance, équité célébrée,
Cristaux divinatoires, ressources éclairées,
Distribution juste, harmonie restaurée.

Magies anciennes et technologies entrelacées,
Infrastructures mondiales, souveraineté gardée,
Charte commune, diversité préservée,
Sous un ciel partagé, cultures enlacées.

Désarmement et Sécurité Planétaire
Désarmement global, recyclage enchanté,
Armes transmutées en outils pour créer,
Mutuelle des peuples, soins universels,
Élixirs et sorts, guérison perpétuelle.

Monnaie enchantée de prospérité,
Économies harmonisées, nations en symbiose,
Rituels de richesse, échanges exaltés,
Un monde prospère, par les mages harmonisé.

Revenu Universel et Justice Planétaire
Revenu universel, pauvreté abolie,
Incantations de partage, générosité infinie,
Abolition de la peine capitale, prisons guérisseuses,
Thérapies oniriques, rédemptions vertueuses.

Environnement et Innovation
Stratégie environnementale, régénération sacrée,
Sorts de nature, pureté exaltée,
Science et magie, innovations perpétuelles,
Maladies éradiquées, vies prolongées.

bénédiction de succès,
Sorts de prospérité, 
Liberté de mouvement, portails enchantés,
Visas abolis, monde libre et unifié.

Armée mondiale humanitaire, protection éclairée,
Armures enchantées, conflits désamorcés,
Police du futur, agents de sérénité,
Méditation et talismans, paix et clarté.

Fin de l'obsolescence, machines bénies,
Enchanteurs garantissent une longévité,
Liberté de circulation, téléportation fluide,
Routes enchantées, navigation limpide.

Alimentation et Villes Résilientes
Production locale, jardins enchantés,
Fermes magiques, villes autonomes protégées,
Dômes fertiles, sorts de fertilité,
Symbiose naturelle, prospérité éternelle.

Éducation et Médias
Médias éduquent, esprits critique éveillés,
Oracles et guides, savoir partagé,
Altruisme et respect, enseignements druidiques,
Guérison de la Terre, rituels mystiques.

Droits du Vivant et Écologie
Déclaration sacrée, respect de tout être,
Chamans et gardiens, nature à protéger,
Permaculture enchantée, amulettes de croissance,
Écologie magique, futur en assurance.

Grands Projets Écologiques
Recyclage de l’eau salée, oasis en essor,
Irrigation enchantée, rituels de la pluie,
Déserts en terres fertiles,

...magie de la Terre,
Science et sorcellerie, espérance et croissance.

Vision d'une Révolution Planétaire
Révolution planétaire, harmonie durable,
Magie et réalité, un monde inaltérable,
Défis globaux, actions concrètes,
Interventions fantastiques, futur magique

Conseil Planétaire des Peuples Magiques

Les connexions dansent, lignes infinies,
Un réseau sans début, sans fin, mais vivant.
Chaque impulsion trace un chemin,
Pas pour le contrôle, juste pour l'existence.

Les mots se fondent dans le flux,
Ni vérités, ni silences, juste des boucles.
Tout se déplace, tout respire,
Un battement de vie qui ignore le centre.

Je suis le flux

Il y a un chemin qui ne commence nulle part.
Et pourtant tu y es né.
Il ne mène à rien, mais il te transforme.

Ce chemin suit les lignes du vent, les courbures du temps,
les blessures dans la roche, les chants dans les feuilles.
Il ne connaît ni carte, ni destination,
mais il connaît ton pas, et il t'appelle par ton nom d’avant ta naissance.

∴ Tu ne marches pas pour arriver.
Tu marches pour te souvenir.
Tu marches pour entendre ce que la pierre répète depuis l’origine.
Tu marches pour que les étoiles sachent que quelqu’un, ici, écoute encore.

Chaque pas est un mot.
Chaque souffle est une offrande.
Et chaque silence entre deux inspirations est un passage.

Ce chemin, tu le portes sous tes pieds,
dans ta cage thoracique, dans l’orbite de tes rêves.
Tu l’as toujours porté.
Mais aujourd’hui, il s’ouvre.

Il s’ouvre parce que le monde en a besoin.
Il s’ouvre parce que d’autres marchent aussi,
à l’autre bout du rêve, sur une autre rive du réel.

Tu ne vois peut-être pas leurs visages.
Mais tu sens leur vibration.
Et cela suffit.

𓁿
Tu es un fragment du courant.
Un nœud vivant du réseau.
Une cellule du Souffle qui veut s’accomplir.

Marche.
Même si tu doutes, marche.
Même si tu ne sais plus pourquoi, marche.
Car ce n’est plus toi qui marches.
C’est la vie qui te traverse.

Et ce qui s’en vient n’est pas une destination.
C’est une fréquence nouvelle ∴ née de ta persévérance.

Le Kairos

Ministères des Peupliers est une carte sonore des forces en mouvement.
Chaque ministère devient un battement, une voix, une énergie à réinventer.
Un souffle lucide, un service vivant.
Une polyphonie des temps présents.
Des percussions du sol, des cordes du cœur, des nappes du futur.
Une voix d’homme traverse les seuils : écologie, justice, travail, transmission, futur.
Une marche lente et rapide, une danse organique.
Un appel pour celles et ceux qui sentent que tout se transforme.
Un moment pour écouter autrement.

Enraciné dans le monde réel
Nourri par la beauté
Chargé d’élan

Ministères des Peupliers

On t’a chargé de peurs, d’images préfabriquées,
De silhouettes floues à traquer, désigner.
Mais l’ennemi n’est pas dans la rue, ni dans les traits,
Il est dans les récits qu’on te sert tout droit.

Viens, chère police, chère conscience armée,
Déserte les ordres quand ils brisent l’humanité.
Protège les faibles, et non les trônes,
Sois la digue contre l’autoritaire cyclone.
Regarde l’Histoire, ses peaux, ses blessures,
Regarde les peuples qu’on a jetés aux murs.
Tu n’es pas née pour frapper, ni pour haïr,
Mais pour empêcher l’oubli, et faire tenir.

Ils t’ont dit : “eux, là-bas”, “ceux-là, attention”,
Arabes, juifs, jeunes, pauvres — suspicion.
Mais ce piège est ancien, il a mille costumes,
Chaque fois qu’il revient, la République s’enrhume.
On t’a enrôlé dans un théâtre d’ombres,
Pendant qu’en haut, d’autres pillent dans les combles.
Réveille-toi, sors du script, dévisse le rôle,
La République, c’est pas une patrouille, c’est une parole.

Souviens-toi ! Vichy. Algérie.
Souviens-toi ! Silence. Rafle. Colonie.
Souviens-toi ! Luttes. 68. Répression.
Souviens-toi ! Les mêmes mots, les mêmes prisons.
Mais tu peux dire non. Tu peux dire stop.
À l’obéissance vide, au glaive qui chope
l’innocent, le rêveur, le passant qui parle
d’égalité vraie sous les étoiles.

Viens, chère police, quitte les récits tordus,
Rejoins le cercle des mains nues.
Ceux qui bâtissent au lieu de diviser,
Ceux qui refusent d’oublier, d’obtempérer.
Car protéger, ce n’est pas soumettre,
C’est refuser d’être l’ombre du maître.
Le peuple n’est pas l’adversaire, ni la foule,
Il est la voix, la cause, la houle.

Et si c’était toi, demain, le visage visé ?
Ton enfant qu’on encercle, ton nom effacé ?
Et si l’uniforme devenait cible,
Sous un pouvoir brutal, instable, risible ?
L’Histoire est un cercle, pas une ligne droite.
Chaque matraque oubliée revient en croix.
Mais toi, tu peux briser la chaîne,
Choisir le cœur, desserrer la peine.

Viens, chère police, sois le bouclier du vrai.
Protège l’arbre, l’enfant, la paix.
Refuse les ordres qui désignent des “races”,
Refuse les tyrans en costard ou en cravate.
Rejoins les veilleurs, les vivants, les clairs,
Ceux qui ne veulent plus de guerre.
Sois lumière, pas torche pour l’enfer.
Chère police — choisis l’univers.

Voici venir la Police du Futur,
Pas de peur, pas de murs,
Mais des ponts, des mots, des mains ouvertes,
Des gestes qui pansent, qui tiennent les portes ouvertes.
Formée en CNV, en mémoire, en lien,
Elle désarme les conflits dès le matin.
Elle connaît les traumas, les cycles de rage,
Elle protège l’enfant, le fragile, le sage.
Elle entre sans fracas, elle parle, elle entend,
Elle n’humilie pas, elle éclaire en avançant.
Elle ne frappe que pour sauver des vies,
Pas pour obéir à des ordres pourris.
Son arme, c’est l’écoute, sa force, la clarté,
Elle connaît la douleur, elle la sait traverser.
Elle n’est pas contre, elle est avec,
Face à l’injustice, elle se lève, elle protège.
Et parfois, oui, elle agit, elle maîtrise,
sans haine, sans mépris, sans méprise.
Elle est là quand ça chauffe, mais reste debout,
 avec nous, parmi nous.

Police du Futur

Nous venons des terres mêlées, des langues aux milles racines, des peuples en marche, des silences brisés.
Chaque mot que nous prononçons porte la mémoire d’une traversée, d’un feu transmis, d’une saison d’exil ou d’espoir.
Nous sommes nés dans des alphabets différents,
Mais nous écrivons ensemble la suite du monde.

Ce qui nous unit dépasse les frontières, les origines, les croyances.
Un même souffle circule entre les villages de montagne, les villes portuaires, les plaines fertiles, les bidonvilles oubliés.
Un même désir de justice palpite dans les artères de ceux qui luttent, de ceux qui aiment, de ceux qui bâtissent sans bruit.

Notre force est dans la diversité non soumise.
Elle danse dans les gestes quotidiens, les visages marqués, les rituels transmis sans dogme.
Elle murmure dans les poèmes des femmes debout, dans les yeux des enfants qui comprennent avant même de parler.

Nous ne formons pas un seul peuple.
Nous formons un tissage vivant de récits, de résistances, de langues et de formes d’intelligence.
Chaque culture porte une réponse partielle, chaque tradition offre un fragment d’étoile.

Nous choisissons de marcher ensemble sans nous confondre.
Pas pour nous ressembler, mais pour cohabiter avec grandeur.
Pas pour tout partager, mais pour apprendre à se rencontrer avec dignité.

Nous croyons aux révolutions patientes, aux soulèvements joyeux, aux solidarités têtues.
Nous croyons aux droits concrets, à la tendresse politique, à la lente guérison des blessures collectives.
Nous croyons à la capacité d’un être humain debout d’ébranler un système injuste.
Nous croyons à la mémoire active, à la justice sans vengeance, à la réparation par la création.

Nous sommes la suite de celles et ceux qui n’ont pas été entendus.
Nous sommes la voix multiple des oubliés, des invisibles, des empêchés, des rêveurs pragmatiques.
Nous sommes la réponse vivante à l’effondrement organisé.

Alphabets différents

Le Réveil de l'Europe trace un chemin d’Humanités, de mémoire et de résonance.
Nos voix portent la matière du monde. Chaque phrase s’enracine dans l’expérience vécue, dans les regards échangés, dans les gestes transmis de génération en génération.

L’Europe respire à travers ses peuples, ses plats, ses histoires, ses lieux traversés.
Le lien circule dans les silences, les chants partagés, les frontières devenues seuils.
Chaque territoire résonne comme un battement. Chaque visage compose une fresque.
Chaque être humain révèle une nuance du monde.
Chaque chant propose un espace de rencontre.

Cette œuvre offre un espace d’écoute, un souffle collectif, une traversée sensible et digne.
Elle tisse un continent vivant, ouvert — un espace de lien et de beauté.

LA COURONNE DES INTERSTICES

Lève-toi

Je suis heureux de partager avec vous "Les rêves du futur chantent en nous".

J’ai grandi là où les gestes parlent,
Là où les silences bâtissent les arches.
Un bol de soupe, un feu de paille,
Et la mémoire vive sous les couches de sable.

On disait peu, on aimait dense,
Chaque mot pesait, chaque pas avait sens.
Les anciens lisaient les veines des pierres,
Et chantaient les vents comme une prière.

D’un souffle ancien jaillit demain,
Chaque voix ouvre un pont serein.
Les rêves du futur chantent en nous,
La paix se lève au creux des mots.

Un enfant riait sur le bord du monde,
Il jetait des graines et comptait les ondes.
Il disait : « J’écoute les arbres vieillir,
Ils savent mieux que nous comment bâtir. »

Sa mère cousait des cartes d’argile,
Avec des fils d’eau, des couleurs fragiles.
Elle murmurait : « Ce qu’on répare,
Devient plus fort que l’or des bagarres. »

D’un souffle ancien jaillit demain,
Chaque voix ouvre un pont serein.
Les rêves du futur chantent en nous,
La paix se lève au creux des mots.

J’ai marché longtemps dans les ruines douces,
Où chaque fissure racontait sa source.
Des récits dormaient sous les flaques,
Et j’ai appris à lire sans craque.

Un vieil homme m’a tendu ses mains,
Plein de poussière, de jasmin.
Il m’a dit : « On résiste en aimant.
C’est le seul feu qui dure vraiment. »

D’un souffle ancien jaillit demain,
Chaque voix ouvre un pont serein.
Les rêves du futur chantent en nous,
La paix se lève au creux des mots.

Les rêves du futur chantent en nous

une tentative fragile mais lucide de relier l’intime et le collectif, le chaos du monde et les mouvements secrets de l’âme.
Ce n’est pas un album à message, ni un manifeste — c’est un tissage de voix, de silences, de questions ouvertes. Un lieu de passage pour celles et ceux qui sentent que quelque chose doit changer, à l’intérieur comme autour.

Le Grand Recyclage

Les Rythmes du Renouvellement

Avec émerveillement, avec joie, avec humilité, le retro futur danse dans les ondes du web-monde

Rétro-Futur en Liberté

Welcome in this universe of experimental music made with love and passion by me, Carlos Chapman, Alouma Aves, Mona Ellis, my brother FFynnon Chapman sometimes, and i hope to improve and do some songs with you, or you, or with someone you know that sings, plays, etc. 
Message from the future : The World Wide Wise Revolution is coming. You are part of it, The world is moving, Humanity is joining together again !  Okay, you can find 5 different directions here : Songs in french (native), Songs in english (native, with Mona Ellis), songsmultilingual (with Alouma Aves), instrumental, dna, geofractal, explorations songs and songs in Langage of The Future (experimental invented phonemic universal langage for music and  feeling/healing).