spooky electro

do you feel the love in me

the darkness

me and mary we were weary

wherever life leads me to, I'll go

Paroles

Dans les rues anonymes où les néons brillent,
Des âmes errantes cherchent un sens, une île, 
Leurs cœurs s’abrutissent sous le poids des vitrines, 
Des rêves dissolus dans les écrans et les vitrines.

Dans ce monde éteint, la solitude danse,
Les corps s’accouplent, mais l’amour est en silence, 
Les consuméristes avalent des pilules d'illusions,
Et la vie se perd dans un cycle de déceptions.

Les chambres d’hôtel comme des tombeaux modernes, 
Où le sexe s’achète comme une éphémère pierre,
Les visages se dérobent derrière des masques vides, 
Les caresses se changent en marchandises fardées.

Dans ce monde éteint, la solitude danse,
Les corps s’accouplent, mais l’amour est en silence, 
Les consuméristes avalent des pilules d'illusions,
Et la vie se perd dans un cycle de déceptions.

Les néons clignotent, reflet d'une époque en ruine, 
Chaque achat, chaque geste, une fuite vers l’abîme, 
Les rêves se consument comme des feux d’artifice, 
Dans la grande supérette de l’existence artificielle.

Refrain D'un Monde Éteint

Paroles

Dans les vitrines scintillent les simulacres,
Les cerveaux éteints avalent les monades.
On dévore des slogans, des dogmes en vrac,
Des vérités en bribes, des concepts nébuleux.

La bouche pleine, on ne distingue plus les éclats,
De la paréidolie à la mythomanie des choix.
Des consommatrices d'illusion, des consommateurs de leur sort,
On suce le nectar de la publicité, sans remords.

Les cerveaux captifs du verbiage incongru,
Décryptent des arguties, des platitudes perpétuelles.
On absorbe le non-sens comme une vérité crue,
Des phrases décontextualisées, des slogans aux yeux aveugles.

L’aphorisme consumériste, l’oracle des marchands,
Les définitions vagues d’un univers décadent.
Le néant se décline en termes euphorisants,
On consomme l’insipide, les yeux dans le néant.

La vanité des débats, la vacuité des promesses,
Les mots sont des chaînes, les phrases des caresses.
On engloutit les nonsens, les vagues paradoxes,
Dans cette comédie d’absurdité, on est tous des stocks.

Les métaphores se fondent dans l’absurdité des rites,
Les significations s’éteignent, les vérités sont des limites.
On consomme l’illusion, on savoure la brume,
Le banquet est terminé, l’esprit est une enclume.

Au bout du festin, il reste les miettes,
Des concepts déformés, des vérités en miettes.
Les consommateurs se perdent dans des définitions vaines,
Dans ce monde de mirages, l’esprit enchaîné.

Gastronomie des Concepts Flous

18 07 25 Daniel Olli

it is not something i would recommend, but it is a way to live

www.facebook.com/janinarockt Zu diesem Lied gibt es einen grandiosen Remix, in die Preview kann man hier reinhören: http://soundcloud.com/carbon/janina-nein-sagen-carbon-remix

NEIN SAGEN

every thing strives to BE (loud and free!) and beauty, real beauty exists beyond perfection

schizophrene soundcollagen eines schwerhörigen mit tinnitus

18 07 25 Daniel Olli

Daniel Axe

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