
Biographie :

Née en 1986, Alissa Wenz se forme au piano et au chant au Conservatoire de Saint-Malo, puis entreprend des études de lettres et de théâtre à l’Ecole normale supérieure, et de scénario à la Fémis. 
Elle partage aujourd’hui sa vie entre la chanson et l'écriture de romans.

En tant qu’autrice-compositrice-interprète, elle présente un premier album studio, Je, tu, elle, en 2022, chez EPM / Universal. 
Romain Didier en signe les arrangements. 
Sur scène, elle est accompagnée par Nathalie Fortin (pianiste de Francesca Solleville, Mona Heftre, mais aussi Allain Leprest, Anne Sylvestre...).

Elle est produite par Contrepied Productions (Les Goguettes en trio mais à quatre, Valentin Vander, Garance...), et joue dans de nombreuses salles à Paris (le Café de la danse, Les Trois Baudets) et en région : Festival Barjac M’en Chante, Festival Jean Ferrat (Antraigues), Festival de la chanson à texte de Montcuq, Festival d’Avignon (Théâtre de l’Arrache-cœur), Festival À portée de voix (Nogent—le-Rotrou), Festival Drôles d’oiseaux (Avignon), Festival Bernard Dimey (Nogent), Festival Couleurs chanson (Mûrs-Erigné), Festival De Si De La (Gers), Festival Piano is not dead (Le Havre)… 

Elle est également écrivaine. Ses deux premiers romans, À trop aimer (2020) et L’homme sans fil (2022), sont publiés aux éditions Denoël. L’homme sans fil est finaliste du Prix Pampelonne-Ramatuelle, du Prix-Festival 2e roman de Grignan, ainsi que du Prix Orange du Livre 2022. 
Son troisième roman, Le Désir dans la cage, paraîtra pour la rentrée littéraire 2025 aux éditions Les Avrils (Delcourt). 

« Poétique, piquante ou un peu nostalgique : on retrouve chez elle un petit quelque chose de Barbara. » (Télérama)

« Une nouvelle venue dans le monde de la chanson, une chanteuse à qui on souhaite le meilleur. » (France Musique)

« Un album somptueux, mutin et poétique (...). Imaginez une élégante dame brune venue des brumes, passionnée par la musique et la littérature, qui écrit des textes sensibles et romantiques, exaltés aussi. » (RFI)





Présentation du projet :
Voleuse est le deuxième album d’Alissa Wenz ; elle en écrit les textes et les musiques.
Les arrangements reposent sur la guitare d’Olivier Philippson (électrique, classique) et les percussions de Muriel Gastebois ; à ce noyau se joignent le saxophone de Michel Goldberg, le trombone de Patrick Bacqueville, le violoncelle d’Agnès Le Batteux, l’alto de Marta Dell’Anno, l’accordéon et la basse d’Olivier Philippson. 
L’album est enregistré au studio Malambo à Bois-Colombes (92), et réalisé par Laurent Compignie.  
Voleuse est composé de 12 chansons qui explorent la cruauté sociale, la révolte intime, la force de joie et la nécessité de dérober la beauté à l’inquiétant réel. 


Site internet :
www.alissawenz.com

Lien vidéo : 
https://www.youtube.com/watch?v=eoCEz0RXNGg


11_LA GRANDE FAMILLE

Avec humour et malice, Gwen Soli & Monsieur G apprivoisent nos peurs et nos colères. Ils soufflent dessus un remède délicieusement joyeux.
Sur des compositions originales, la poésie est au rendez-vous, parfois percutante, parfois caustique, toujours pleine d’humanité.
Ce nouvel album tour à tour tendre et espiègle, comme une délicatesse hors du temps à savourer. Peut-être le seul programme politique qui vaille, en fait ?

Gwen Soli ou Gwénaëlle Baudin / point de repères
Membre du groupe EVASION depuis sa création, ce qui représente
plus de 1000 concerts en France et à l’étranger dont l’Olympia, les Francofolies, le Printemps de Bourges, le Festival d’Avignon… EVASION est un groupe polyphonique qui interprète des chantsdu monde, de la chanson et des créations françaises. Il est composé de 5 chanteuses. 9 albums enregistrés à ce jour.
Guitare : Monsieur G.
De son vrai nom Daniel Gasquet, fondateur et ex dirigeant de Vocal26 (qui produit et accompagne les spectacles de Evasion, Gérard Morel, Michèle Bernard, Hervé Peyrard…), il écrit et compose au service de Gwen Soli avec qui il partage la scène depuis 2020


03_Juste moi

Les passions tristes [sbmastering] 06.09.25

Les saisons à l’envers 

Depuis 1998, Balmino a évolué dix ans comme chanteur, auteur et compositeur au
sein du groupe Khaban' (3 albums, 300 dates dont les Francos de La Rochelle, Spa,
Montreal) puis sous son nom Balmino avec une incursion en 2013 dans le gros rock
(BROC "Des Trucs Qui Poussent").
Depuis 2013, la majorité de son activité s'est déroulée au théâtre aux côtés du metteur en scène Emmanuel Meirieu avec lequel il a partagé 7 spectacles et, là encore, plus de 300 représentations (dont plusieurs fois les Bouffes du Nord, mais aussi le théâtre du Rond-Point, La Villette et de nombreuses scènes nationales).
Les Saisons à L’envers. Un disque écrit en deux ans et façonné pendant deux mois au studio La Ciergerie de Lyon en binôme avec Julien Jussey qui l'a réalisé et arrangé.
« Ecrit en grande partie pendant les confinements, « les saisons à l’envers » est
le septième album, le disque bilan de 50 ans de vie sur terre, parfois sous terre
et régulièrement dans les airs aussi, de la traversée compliquée des « années Macron », de sa vision du monde et de ce qu’il devient.

C’est une foule de petites lucioles allumées sur le temps vécu autant qu’une curiosité
dévorante de profiter du temps qui reste. C’est un tout petit accès à une forme de
sérénité non dépourvue pour autant des questionnements et des doutes qui l’ont
toujours portés.
Une forme différente de les appréhender, certainement.
Plus pragmatiquement, c’est un voyage à quatre mains dans neuf nouvelles
chansons, accueillies et cuisinées par son ami Julien Jussey qui a réalisé, arrangé ce
merveilleux disque 
En parallèle à ces activités, Balmino a également écrit pour d'autres interprètes
(Olivia Ruiz, Babylon Circus, Maïa Barouh, Evelyne Gallet...)


Ni le vent moqueur


Il y a chez les sœurs Taffin une complicité contagieuse qui fait entrer par la porte du familier dans l’antre du bizarre.
Juliette, pianiste trompettiste fellinienne et Lucie, accordéoniste solaire et cramée, chantent ensemble depuis l'enfance des chansons. 
Deux chanteuses dans la même fringue et le même nom, les sœurs
Taffin s'élancent sur la piste comme une seule, semblables, étranges et
légères. Habituées à monter sur scène depuis leur quinze ans, leur
naturel et leur complicité ressemble à un tour de magie.
Il y a bien Juliette la pianiste trompettiste, Lucie l'accordéoniste ; la
brune et la blonde demoiselle, avec chacune sa voix, son caractère.
Mais se distinguer les amuse un temps seulement, alors tout finit par se
mélanger, leurs deux voix fusionnent dans l'unisson, les instruments
passent de main en main...
Enfin, c'est la main du public qui est saisie et tirée dans un univers un
peu fou, épris de liberté et de jeu. Leurs chansons ont les yeux qui
brillent comme au temps où le cabaret jonglait entre poésie et
burlesque. On s'y disputera encore et toujours la question du vague à
l'âme, de la fragilité du monde, de la colère, de l'invention et de l'amour 
Bille en tête, 4e album et nouvel album, est l’occasion de ressortir avec EPM 
Dans un superbe coffret 4 Cd l’ensemble de leurs 68 chansons (entièrement remastérisé), depuis « Les Filles chantantes » en 2003.


LA DOULOUREUSE

EPM, fondé en 1986 par François Dacla, ancien président de RCA Records, est un label discographique spécialisé dans la chanson française. Le label est repris en 2015 par Christian de Tarlé, ancien cadre de l'industrie musicale chez Sony et Universal.

03_Juste moi

epm musique

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