Grande Ourse est née en automne au milieu d’un bois. Rencontre entre Juliette et Lionel. « Inspirer, expirer » et puis chanter. Ils se baladent guitare et accordéon sur le dos en fredonnant des airs malicieux. Ils trouvent leur inspiration en creusant la terre des relations humaines. Leurs chansons sautillent au rythme des percussions qui craquent, comme de vieilles branches. A l’heure du pique-nique, ils s’arrêtent au sommet des montagnes et s’émerveillent d’être encore en vie.  

Grande Ourse se nourrit de leur constellation voisine : Mathieu Boogaerts, M, Dick Annegarn, Nina Simone, Beirut, Alain Souchon, Camille, Vampire Weekend, Jacques Brel, Olöf Arnalds, Bowerbirds, Lhasa, Tracy Chapman, Mano Solo, Louise Attaque.


Formé au Jazz Studio d’Anvers, Boris se consacre entièrement à la musique dans sa vie professionnelle. On le retrouve comme musicien chez Francoiz Breut, Raymondo, Soy un Caballo, Girls in Hawaii et bien d’autres encore. Il joue aussi à la batterie chez CASTUS et Blondy Brownie et on le retrouve comme producteur artistique auprès de Clare Louise, Theo Clark, Azerty…
Il compose les bandes sons pour la Cie D’Ici P Fré Werbrouck depuis presque 20 ans et a co-signé la bande originale de la pièce Balistique Terminale de Coline Struyf pour le Théâtre National en 2011, ainsi que la musique de l’épisode de Charles Burns dans le film d’animation Peur(s) du Noir en 2006. Plus récemment, il a écrit la bande son du documentaire « Ceux qui restent » de Charlotte Grégoire et Anne Shiltz, en 2019. Il travaille actuellement pour le prochain spectacle de la Cie point zéro, prévu fin 2020.

Après cinq années consacrées à collaborer étroitement avec Girls in Hawaii, Castus et le duo Blondie Brownie, Boris Gronemberger s’offre le plaisir de revenir sous le nom de River into Lake, nouvelle incarnation du projet bruxellois V.O. dont il a tenu les rênes quinze années durant.

En 2017, fort d’une tournée solo en première partie d’Agnès Obel, Boris entame l’écriture d’un nouvel album. Travaillant tantôt seul, tantôt en groupe, s’octroyant une totale liberté de création, se fixant comme unique contrainte de se réinventer. Il en résulte Let The Beast Out – bouillonnant album de pop orchestrale – qui combine avec malice mélodies pop acérées, harmonies complexes et sonorités héritées des années 70.

“Belgian with Congolese roots, Tanguy Haesevoets tells intimate stories with a über-modern pop vibe, mixing soul, hip hop and afro elements. Simply gorgeous.” Laurent Hoebrechts/Focus Vif

I am a musician, media artist and researcher fascinated by the multifaceted relationships between sounds and places. All works here are created using only field-recordings and found sounds. See playlist descriptions for more details.

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