R(heaven)ge

REGARDE LE MONDE BRULER vol.1 [INTERVISION030]

AGE OF HATE MUSIC

EBM/Dark

FLUCC’s latest EP observes our transition into a new dystopian era. Not only are all the original tracks on this release techno missiles solely intent on becoming club destroyers, but the additional remix from PLEXØS devilishly turn it into a weapon of true annihilation. From beautiful organic sounds to marching bass and howling synths, tones are introspective and vulnerable - while the looming presence of uncertainty subtly takes form in thinly layered pads.

Shooting Stars And Meteorites (PLEXØS Remix)

BANDCAMP

FLUCC - Shooting Stars And Meteorites (PLEXØS Remix)

@torn170 takes us on a militant journey of his own productions.

TORN - Noise Test Production Mix

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alessia

Cay Eyes

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Cat Eyes

Its A Vibe Baby

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

Mastered by Paulie Jan at Agit Prop Studio
Mastered by Jeremy at La Villa
Distributed by Intervision
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Katran - No Return

Age of hate - The value of defeat

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

Mastered by Paulie Jan at Agit Prop Studio
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H.O.M - La Mer Est Agitée

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION029]

Mastered by Paulie Jan at Agit Prop Studio
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Antechamber - Octo Araga

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

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Paulie Jan - BANK 10

Age of Hate - Happy new year

AOHLA15
Live act recorded in Paris 🇫🇷 at L'international on 31/08/2023.
Mastered by Alain Paul

Download via Bandcamp: https://ageofhate.bandcamp.com/album/live-act-15

Get on Bandcamp

[LIVE] Act 15

Part of Imuran Remixes : https://rhadab.bandcamp.com/album/imuran-remixes

Prophän - Mamfaksh (AGE OF HATE Remix)

taken from The Soft Moon - "Deeper Remixed Vol.1" 12" 
out: 
February 5th 2016 in Europe (aufnahme + wiedergabe)
February 19th 2016 in North America (Captured Tracks)

A1 Desertion (Phase Fatale Remix)
A2 Being (Ancient Methods Remix)
B1 Far (Blush Response Remix)
B2 Without (Codex Empire Remix)

[a+w V] / CTSP-027

www.thesoftmoon.com
www.facebook.com/phasefatalemusic
www.aufnahmeundwiedergabe.de
www.capturedtracks.com

The Soft Moon - Desertion (Phase Fatale Remix)

Cat-No: F//001
SCHWEFELGELB
Wie die Finger durch den Nebel

Schwefelgelb is the electronic music project of Sid & Eddy. Having carefully straddled the boundaries between Techno, EBM and Electro, the duo is entering 2016 with a 12” release on the new label incarnation of the Berlin based Fleisch collective. Fleisch consists of a group of miscreants known for throwing some of the best curated dark underground dance parties in Berlin, with a focus on sounds ranging from E.B.M., new beat, acid to techno. The metamorphosis of Fleisch into a label could not demand a more fitting debut than Schwefelgelb’s newest sonic discharge. Tight programming, catchy analog synth-bass
coupled with well utilized & frenetic shouted vocals echo the golden age of Electronic Body Music. A refreshing progression of sounds moves the style forward without being afflicted with the formulaic and hollow tendencies befallen similar attempts by others acts over the years.

B2 - Bis Zum Nächsten Tag (Phase Fatale Remix)

Originally released 2016. From my "Current Conflict" EP: https://x-img.bandcamp.com/album/current-conflict

Video: https://www.youtube.com/watch?v=uXgI0UvJs3A

Tracklist:
A1 Spine
A2 Control
A3 Interceptor II
B1 Familiar Scum
B2 AIM-54C
B3 Threshold

Current Conflict

SPINE

Video by VJ RIEN. https://youtu.be/hUradGO-AzQ

LIVE

AGE OF HATE - Live at HTBX - Trailer

Live at HTBX - Trailer

Premiere of 'Take The Control' by Lapse Of Reason, taken from Sorrows EP, out soon on aufnahme + wiedergabe

Label: aufnahme + wiedergabe
Artist: Lapse Of Reason
Track: Take The Control 
Title: Sorrows 
Cat.Number: [a+w XXVI]
Format: Vinyl + Digital
Release Date: November 30, 2019
Mastered by Thomas P. Heckmann
Artwork by Lola Puech

Pre-Order: https://aufnahmeundwiedergabe.bandcamp.com/album/sorrows

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Follow Lapse Of Reason: https://soundcloud.com/lapse-ofreason