REGARDE LE MONDE BRULER vol.1 [INTERVISION030]

industrial

BSLS - Lost Inside You
180 BPM
Free dl for one week !!!
Tried something different this time hope ya all enjoy it .

*BUY HERE*

BSLS - Lost Inside You

TWVA01

Artist : @neaglesound
IG : neaglesound

Mix & Master by Neagles

|FR|

Neagles arrive en grande pompe pour cette Various Artist, avec un track d'une violence inouïe. Entre kicks brutaux, drums incisifs et rythmes endiablés, ce track est la personnification même de la violence à l'état pur.

|EN|

Neagles arrives in great pomp for this Various Artist, with a track of an incredible violence. Between brutal kicks, incisive drums and frenzied rhythms, this track is the personification of pure violence.

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Neagles - COME MUSIC

Tima to go...


Thanks for the art Mazzini
www.instagram.com/mazz1ni/

Time To Go On A New Road

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MORSURE - To My Hungarian Ravers [FD]

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

Mastered by Paulie Jan at Agit Prop Studio
Mastered by Jeremy at La Villa
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Katran - No Return

Age of hate - The value of defeat

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

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H.O.M - La Mer Est Agitée

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION029]

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Antechamber - Octo Araga

"Les cieux s'étaient embrasés, une lueur rougeoyante enveloppait la Terre comme une funeste étreinte. Les étoiles vacillaient dans un dernier ballet céleste, leur lumière mourante éteinte par l'ombre grandissante. Sur la surface de la planète, les océans rugissaient en une symphonie de vagues déchaînées, engloutissant peu à peu les côtes jadis prospères.

Les villes jetaient leurs dernières lueurs avant de sombrer dans les ténèbres éternelles. Les gratte-ciels, autrefois symboles de la grandeur humaine, se dressaient comme des carcasses géantes dans un paysage apocalyptique. Des nuages toxiques dansaient dans l'air, emportant avec eux les vestiges de la civilisation.

Le crépuscule de l'humanité approchait, orchestré par une force mystérieuse venue des confins de l'espace. Des éclairs d'énergie déchiraient le firmament, créant des failles dans la réalité elle-même. Les continents tremblaient, se fissurant sous l'effet de forces invisibles.

Les derniers survivants erraient dans des terres dévastées, cherchant désespérément un abri qui n'existait plus. La nature, libérée de sa prison de béton et d'acier, reprenait possession du monde. Des plantes mutantes s'épanouissaient là où les rues avaient été tracées, déformant la réalité jusqu'à l'absurde.

Au loin, une ombre massive émergeait des ténèbres cosmiques, une entité indicible dévorant tout sur son passage. C'était le crépuscule final, la fin de toute chose connue. Les échos des lamentations humaines se mêlaient aux cris des éléments déchaînés dans une symphonie funèbre.

Et puis, dans un ultime soupir, la Terre cessa d'exister. La réalité elle-même s'effaça, laissant derrière elle un vide abyssal. Le cosmos reprenait son calme, comme si la Terre n'avait jamais été qu'un simple rêve dans l'infini univers."

[INTERVISION030]

Mastered by Paulie Jan at Agit Prop Studio
Mastered by Jeremy at La Villa
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Paulie Jan - BANK 10

Attention, Electro-heads! SNC Recs is back with its first vinyl release for 2024, presenting a treat for all breakbeat lovers with Friedrich Ernst's Breakthrough EP. The old-school influenced 12’’ is garnished by a high-grade remixea contributed by none else then the new-wave electro pioneer and Viikatory.

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https://soundcloud.com/friedrich_ernst
https://soundcloud.com/viikatory
https://soundcloud.com/snccrew2012

SNC011 - Breakthrough EP

BANDCAMP

NEW HIT: Friedrich Ernst - B-Boy Bass (Viikatory Remix) [SNC Recs]

#intervision

Records to remember earth.

Contact: intervisionlabel@gmail.com

[We do accept demos but just so you know, our calendar is pack as fuck so it's hard to add new stuff to it]