C'est l'histoire d'un mec qui aime tellement avoir de la musique dans son rade que pour son anniversaire, on s'y est mit à plusieurs et on lui a fait une compil en lui composant chacun une chanson. 
Au Refuge, the place to be.

Les Ogres de Barback...
…en quelques mots

20 ANS !

20 ans ! Ce n’est même pas l’âge qu’avaient Alice, Mathilde, Sam ou Fred quand ils sont devenus Ogres. 

20 ans d’une histoire foncièrement singulière et profondément marquée du sceau de la liberté, à tous niveaux. Une histoire si dense en projets et riches en expériences variées qu’on ne peut ici qu’en exposer les grandes lignes. 

20 ans à défendre, sans aucune concession à « l’air du temps », leur conception de la chanson française : décloisonnée et ouverte sur le monde, qu’elle se fasse « classique » ou métissée, acoustique ou électrique, clin d’œil aux glorieux anciens ou directement en prise avec les sonorités du nouveau millénaire, poétique ou survoltée, amoureuse ou contestataire, pour les petits ou pour les grands ou pour les deux à la fois… Et l’écriture, entre réalisme et poésie du quotidien, porte la marque des préoccupations citoyennes de gens impliqués et responsables. Sans jamais se permettre de donner des leçons.

20 ans passés sur leur terrain de jeu favori, celui où l’on s’expose, où l’on partage, où l’on échange, celui où, en tant qu’artistes, ils sont nés et où ils existent pleinement : la scène. C’est sur la route en jouant, tout le temps, partout et sous de multiples formes [près de deux mille concerts recensés…] que les Ogres ont rencontré, fidélisé et élargi ce public auquel ils n’ont de cesse de marquer leur profond respect. Notamment en variant, régulièrement, les propositions artistiques qu’ils lui font. Cette étonnante aptitude des Ogres à se réinventer sans jamais se perdre, outre qu’elle évite que la lassitude ne trouve le moindre espace où s’installer d’un côté comme de l’autre, nourrit l’inaltérable plaisir qu’ils prennent et qui se communique ainsi, tout naturellement, aux gens. Alors, même si leur production discographique est prolifique [dix-huit références, tous supports confondus !], osons l’affirmer : leur métier, c’est la scène. 

20 ans à développer incessamment de nouveaux et atypiques projets, dont la rencontre semble être le maître-mot. Pour n’en citer que quelques-uns : des tournées françaises et européennes sous leurs propres chapiteaux, des livres-disques pour enfants - certifiés disques d’or - sur lesquels collaborent près de vingt groupes ou artistes, de multiples spectacles singuliers accueillant invités en tout genre, des aventures communes de plusieurs saisons avec Les Hurlements d’Léo ou La Fanfare du Belgistan… Il était, dès lors, naturel de ne pas partir seuls célébrer cette double décennie. Il s’agit là encore de l’histoire d’une rencontre, avec Eyo’nlé, fanfare béninoise, cette fois. A force de se croiser, parfois assez longuement, sur des festivals, invitation a été faite aux Ogres de venir fêter le vaudou au Bénin. Du plaisir pris dans l’échange, musical et humain, est née l’envie, et de l’envie le projet. C’est ainsi que ces huit musiciens [cinq cuivres, trois percussionnistes], qui brassent différentes cultures musicales béninoises qu’ils teintent d’arrangements jazzy, viendront partager cette aventure avec la fratrie et enrichir la palette déjà large de l’instrumentation de titres des Ogres, et lui insuffler une énergie différente, celle d’un autre continent.

20 ans, enfin, qui ont conforté ce qui n’était, au départ, qu’une intuition : oui, il est possible d’inscrire son projet artistique dans la durée en suivant sa propre route. En effet, rapidement, leur nécessité viscérale d'indépendance et de totale liberté leur a imposé de larguer les amarres d'un cheminement traditionnel dans lequel ils ne se retrouvaient pas. Ils ont successivement structuré l'organisation de leurs tournées, constitué une équipe dont les piliers sont là depuis le siècle dernier, se sont lancés dans l'excitante mais délicate aventure de la création d'un label, Irfan, pour produire leurs disques, ont constitué un dense réseau de distribution pour ceux-ci, puis pris en main la gestion de leurs éditions et de leur promotion. Les Ogres ont ainsi toutes leurs cartes en main. Et – c’est peut-être là la plus puissante de leurs singularités – leur histoire s’est imposée comme un parfait modèle alternatif de développement de carrière.

20 ans, c’est aussi un âge à célébrer. Et, si on ne vous l’a pas raconté ici, les Ogres savent aussi faire la fête. Et plus encore, la partager !



LES OGRES DE BARBACK… in a nutshell.


It is already a long story. A story that is fundamentally peculiar and deeply inked with the mark of freedom, on every level.  There’s not enough room here to tell you in details. 
So, in few words…

Les Ogres de Barback are four brothers and sisters who started their common musical journey in 1994. They immediately got down to create an unclassifiable music that would shuffle their multiple influences, may those come from the traditional literary French chanson [Brassens, Brel, Ferré, Perret…], the gipsy culture or the alternative spirit of the eighties [Mano Negra, VRP, Bérurier Noir…]. One should now acknowledge a strong sensibility to various styles reputedly called world music.  

Refusing to fit in any line of decent, Les Ogres are the purveyors of a charming and tolerant universe, where humble people with their small and battered destinies are honoured. They narrate familiar slices of life, halfway between realism and day-to-day poetry, as well as aborted loves, the bitterness of disillusions, but also the power of hope. More than really engaged, since their aim is just to suggest some trails of reflexion, many of their lyrics bear the mark of the citizen preoccupations of responsible and involved people. 

Soon, their deep-rooted need for independence and total freedom forced them to cast off any traditional course in which they felt they didn’t belong. So they got down to organize their own tours, throwing themselves in the exciting yet delicate adventure of the creation of a label, Irfan, and recovered the distribution of their records. Les Ogres now have all the cards in their hands. 

In addition to that, they show an amazing ability to constantly develop new and unusual projects [French and European tours under their own big tops, albums for children on which close to 20 artists and bands collaborate – that were certified Gold and Silver Records -, a common adventure with Les Hurlements d’Léo or La Fanfare du Belgistan, several atypical shows…]. It all comes down to the fact that they have such an ability to federate countless bands. Their galaxy of friendships with many sorts of artists is indeed quite impressive. 

Sixteen years after their beginnings on the street, and still in total independence, Les Ogres have given more than 2000 concerts [from the first one in a squat to the recent ones at the Olympia or the Zenith in Paris] and sold more than 600 000 records, regularly rewarding themselves with Silver Records or Gold DVDs. 

Ask yourself this question: how many bands do you know that have proven, all along their way, to be so inventive and bold, so constant in quality and determination, so generous, without any compromise and with such a deep-rooted tie to the idea of freedom? Keep looking. 


The beautiful story of Les Ogres – a perfect model of alternative career development – is far from being over. These young people will keep on coming on with us for a long time. How lucky are we? 




La Yegros, one of the most magnetic artists on the South American continent, is back with a new album!

La Yegros returned to the stage in 2022 to celebrate an anniversary: the 10th anniversary of Viene de Mí, her hit from the album of the same name, released worldwide in 2013, which catapulted her to international fame. We discovered a singer as rooted in the traditions of her country as she is in the most contemporary trends. Her parents come from Misiones, a province bordering Brazil and Paraguay, where balls are filled with the sounds of Chamamé, Carnavalito and Colombian cumbia. But she herself is a native of Buenos Aires, whose nights are alive with the dancehall and electronic bass. These influences have fused in two further successful albums, Magnetismo (2016) and Suelta (2019), followed by whirlwind tours during which La Yegros has been able to display her generous nature, inexhaustible energy, exuberant personality and infectious enthusiasm.

La Yegros relaunched its dance machine in front of audiences as wild as ever, with a tried and tested repertoire that no dancer can resist. But it was also time for a new repertoire. To record their fourth album, La Yegros put her trust in a winning team, already responsible for Viene de Mí. On the one hand, producer Gaby Kerpel, a pioneer of synthetic experimentation applied to traditional music. On the other, composer Daniel Martin, who knows how to come up with melodies to dream about and hymns to sing along to. Inseparable and complementary, the trio continue to concoct this fantastic mixture where acoustic instruments meet samples and the rolling of machines. But La Yegros, crowned queen of Nu-Cumbia, has never rested on her laurels. Her new productions continue to draw on popular music, but they are breaking away from over-defined genres. La Yegros invents her own folklore by kniting together new rhythms and integrating original sounds (bassoon, transverse flute, flamenco guitar, etc.), while the urban elements promise to turn dancefloors upside down with echoes of reggae and funk.

La Yegros never conceives an album without imagining how it will perform live. And although her show is a benchmark for the venues and festivals, she went into residency to beef up her formula. In addition to her usual line-up of guitar, accordion and percussion, a musician handles synthesizers and machines to play all the electronic elements live - a risk-taker as much as a doubling of possibilities. In any case, you can count on the singer to assert her increasingly clear-cut character with each new project. And, above all, to never give up. La Yegros is back and her batteries are fully charged!

When I'm grown up I want to do music

©2018 Dynamique & Gaie

Mandoliniste, auteur, compositeur, JaMin démontre depuis ses premiers concerts un goût prononcé pour l’énergie et cela se ressent pleinement dans ses prestations scéniques.

Les beats et les basses donnent la pulsation. La mandoline nous électrise, nous met en transe ou nous berce. Lui chante la fête, la réconciliation, l’engagement et parfois l’amour.

C’est du reggae, du rock, de l’électro. Ce qui est sûr, c’est que ça tape.
Alors avec tout ça on danse, on chante, on saute en l’air, on ne voit plus le temps passer, JaMin non plus...

Repéré par Gari Grèu (Massilia Sound System - Oaistar), leur rencontre a donné naissance au tout premier EP de JaMin "Si t'as rien", co-produit par It’s OK le label marseillais tenu par Gari Grèu et arrangé/mixé par DJ Kayalik (Massilia Sound System - Oaistar) en juin 2019.

Rural et urbain.
Blues mais chansonnier.
Band d'une seule personne.

drôle autant que déchirant.
humble et virtuose à la fois.
c'est le comble de l'auto-centrisme pourtant tourné vers le collectif. 
un seul mot semble savoir résumer tout ce qu'est ce répertoire:

ATYPIQUE

Le Guinguette Hot Club redonne ses lettres de noblesse au bal populaire dans sa version la plus brute, festive et déjantée et propage sur la scène comme sur la piste de danse, un esprit et une énergie dédiés à la convivialité, le partage, les plaisirs du gosier, des papilles, la danse, le rire et la chanson !  Comme une guinguette en bord de Saône un dimanche à rallonge, comme une soirée d'été au bal du village, où boire, manger, rire, chanter et danser, sont les seuls mots d'ordre ! 

Formation à géométrie variable, ce collectif d'une vingtaine de musiciens, s'acoquine en divers duos/trios/quartets, mais aussi à travers deux septets aux couleurs musicales variées, jusqu'à délivrer sa version la plus "Hot", à 11 sur scène ! 

Un répertoire de chansons françaises (mais pas que), festives, connues ou pas, bricolées, dépoussiérées, dynamitées par des arrangements inventifs et audacieux, loin de la variété, du piano bar ou du karaoké !  Des chansons populaires qui rassemblent toutes les générations et tous les milieux, pour danser le swing, le ska, la valse, le mambo ou le reggae, voire quelques airs balkaniques ... 

Reggiani, Les Ogres de Barback, Brassens, les VRP, Gainsbourg, Brel, La MaNo Negra ou Louis Prima, revisités et interprétés par une solide section cuivres, une rythmique batterie/soubassophone qui groove, une première ligne à 4 voix, où s'entrechoquent guitares, banjo, ukulélé, mélodica, et basse,  et virevoltent des Bella Ciao et des Mardi Gras, des Rues de Panam' et des Copains d'abord ...

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