Il y a d’abord le mouvement, celui des métros, bus, tramways et RER transportant chaque jour des millions de voyageurs à travers l’Ile-de-France. De cette activité intense sort une matière sonore complexe, faite de bruits mécaniques, de voix, de signaux… Tendez l’oreille et découvrez cette partition qui s’écrit chaque jour au rythme de la ville.

Fabrice Legros évolue avec les groupes phares de la Réunion dès le début de sa carrière.
Membre du groupe Baster, il participe à plusieurs tournées à la Réunion mais également en Europe.
Ancien élève du CIM à Paris (Centre d’Information Musicale), Fabrice Legros a également collaboré avec de nombreux groupes populaires à la Réunion : Baster, Tifock et Meddy Gerville, en tant que saxophoniste et choriste.
Il s’est également produit en première partie de Danyel Waro (figure du Maloya dans l’île et internationalement). Riche de toutes ces expériences, Fabrice Legros concocte en ce moment un album, résultat d’un long voyage artistique à travers les métissages du Maloya.
« Trafik » et « Roulèr » sont les premiers extraits d'un opus qui promet de surprendre le public Réunionnais.
Fidèle à ses racines Fabrice Legros s'inspire également de diverses influences: Sting, Chet Baker, Sabouk...
Fabrice Legros chante le Maloya métiss'. 
Avis aux amateurs de World music … et des rythmes de l’Océan Indien …

Dix-huit morceaux. De « Bato Fou » à « Saarang » en passant par « Nasyon » ou « Kala ». De ceux qui font l’effet d’une madeleine de Proust. En 35 ans de carrière, Ziskakan en a imprimé des émotions dans les cœurs réunionnais. Le groupe mythique, militant de la première heure pour la reconnaissance du maloya et de la culture créole, semble livrer avec Rico son essence. Comme si les années de scènes aux quatre coins du globe, les collaborations riches d’échanges et d’expérimentation, avaient servi d’alambic pour extraire l’essentiel : la poésie créole. 
Portés par la voix lourde d’émotion de Gilbert Pounia, charismatique leader du groupe, ses textes et ceux d’  Axel Gauvin, Bernard Payet, Carpanin Marimoutou, sa fille Maya Kamaty, Serge Ulentin, Dev Virahswamy, Sergio Grondin, Michel Ducasse et Gillette Staudasher-Valliamé semblent faire sens à nouveau. 
Enregistré lors de la tournée anniversaire du groupe à la Réunion, ce double-album live flirte avec l’acoustique en petite formation, comme pour donner encore plus de poids aux mots et aux mélodies qui épousent leur rythme.
Un album qui semble concentrer l’âme du Ziskakan d’aujourd’hui : authentique, familial et lourd de sens.

Eighteen tracks. From “Bato Fou” to “Saarang” including “Nasyon” or “Kala”. Those which are like a Proust’s Madeleine. 
In 35 years of career, Ziskakan have printed so many feelings in Reunion people’s hearts. The mythical band – one of the first militants for the recognition of maloya and of creole culture – seems to deliver its essence with the song “Rico”. As if the years spent on stage all around the world, the collaborations filled with exchanges and experimentations have served as a still to extract the most essential thing : the creole poetry. 
Carried by the charismatic leader of the band, Gilbert Pounia and his voice full of strong emotions, the lyrics of his songs and those written by Axel Gauvin, Bernard Payet, Carpanin Marimoutou, his daughter Maya Kamaty, Serge Ulentin, Dev Virahswamy, Sergio Grondin, Michel Ducasse and Gillette Staudasher-Valliamé seem to make sense again. 
Recorded during the anniversary tour of the band in Reunion Island, this double live album flirts with a simple acoustic outfit as if to give even more weight to the words and to the tunes which adopt the rhythm. 
An album which seems to gather the very soul of Ziskakan today : authenticity, family, meaning. 



Born in 1983 in the middle of the Indian Ocean, on Reunion Island, the culture and musical sensibilities of Johann Berby are a reflection of his origins: Indian, Malagasy and Mozambican.

Out of respect for these and other cultures he is constantly researching different traditions with a passion for music which holds within it all the richness of the civilisation from whence it came….

Johann Berby began electric bass at the age of 16.

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