“A Distant Chant” for string quartet —2024

— Played by the Velvet Quartet.
 
(Accidental phone buzzing sound during recording)

“A Distant Chant”  for String Quartet (rehearsal recording)

"Hazin" for Soprano & alto saxophone

Touch (2024)
for flute, saxophone, violin, double bass, piano and  percussion

Ensemble Suono Giallo
2024.7
Italy, Sansepolcro

Touch (2024)-Ensemble Suono Giallo

ensemble Intercontemporain et ensemble NEXT — 
dirigé par Kyrian Friedenberg

clarinette en mi bémol — Youjin Jung 
saxophone tubax — Simon Munch 
accordéon — Rémi Briffault 
percussion — Samuel Favre
 harpe — Eloïse Labaume 
violon — Youngseo Kim 
contrebasse — Jules Bauer de Milleret

Prise de son : Jean Gauthier
Enregistrement de la création le 23 janvier 2025 au CNSMDP

Deux roseaux – Miroir fumant • 2024-25

pour ensemble et dispositif électronique

Ensemble NEXT
Flavien Boy, direction

Whammy (2024-25)

Noirs (2024-2025)

I. pre-
II. brillance + de 75 %
III. alius 1
IV. ater - mat - brillance 1-19 %
V. alius 2
VI. supernoir
VII. alius 3
VIII. noir saturé
IX. -post

premiered by musicians of the Ensemble Intercontemporain and the Ensemble Next and conductor Kyrian Friedenberg

Noirs

Hanze Liu - Ténèbres blanches (2024/2025) 

Création: 30 avril, 2025 - Espace Maurice-Fleuret, CNSMDP
Cheffe d’orchestre: Claire Levacher
Ensemble NEXT:
Federico Altare, flûte
Simon Munch, saxophone
Youjin Jung, clarinette
Siméon Vinour, trompette
Chisato Taniguchi, piano (clavier)
Nanami Okuda, piano (cordes)
Karen Nonomura, violon
Giovanna Sevi, violon
Nadine Oussaad, alto 

*enregistrement de création

Notes de programme: 

Cette pièce s’inspire d’une réflexion sur la flânerie en forêt hivernale: cet écran blanc nous projette une forme étrangère entre la mort et le vivant, entre le silence et le mouvement, entre la « Durée » immense de la nature et la finitude humaine: le promeneur devient spectateur et la nature joue son rôle alternant sublimité et indifférence voire hostilité.

Compte tenu de cette situation spirituelle, c’est la musique de Schubert qui devient une autre inspiration. Le titre est issu d’un livre d'Ian Bostridge consacré à « Die Winterreise »: la flânerie de ce voyage porte une destinée fatale par la désillusion finale. Cette désintégration est aussi liée à la manière dont Schubert a réorganisé les poèmes de Müller. C’est ce résultat de réorganisation et cette trajectoire narratif qui m’a influencé au cours de mon écriture: une directionnalité assez claire dans la première moitié de ma pièce, aussi bien que dans la première moitié de « Winterreise ». Plus la pièce approche sa fin, plus la temporalité présente une tendance à fragmentation, un espace-temps qui se gèle dans lequel le sacré se révèle: un « glissando » structurel vers le néant où la directionnalité se dissout - la situation religieuse et la mort partagent la même nature sublime.

D’ailleurs, il y a quelques figures schubertiennes qui sont utilisées dans ma pièce - la quinte du Leiermann, la marche solitaire, la valse dansé trop rapide jusqu'à devenir tourbillon, la berceuse etc. - en tant que « modèles sonores ». Trois types différents de temporalité (géologie, humaine et accélérée mécaniquement) se relèvent dans ce contexte et finalement conduisent à une narration automatique sans aucun espoir - qui vainifie toute finalité.

Ténèbres blanches (2024/2025)

La femme qui chante 

Ensemble Next 

Claire Levacher, direction 
Federico Altare, flûte 
Selma Benlarbi, accordéon 
Youjin Jung, clarinette 
Marie Ranvier, soprano 
Giovanna Sevi, violon 
Morgan Laplace Mermoud, percussion 
Yi Zhou, violoncelle 

30 avril 2025 
CNSMDP 

La femme qui chante

Зона [Acousmatic]

pianiste et compositeur chinois 
—CNSMDP

“A Distant Chant” for String Quartet (rehearsal recording)

Li Yuhang

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