Pure Fear(dont you want this mix)

SEDNA

This isn't

"I Adore You" is a heartfelt ballad that captures the essence of unrequited love and fiery passion. Maladonna's powerful vocals and poetic lyrics weave a tale of longing, where the heart burns bright in love’s embrace yet aches in its absence. With haunting melodies and a timeless charm, the song is a delicate dance between vulnerability and desire, echoing the universal experience of yearning for what feels unattainable.#ILoveYou HeartfeltLyrics

I Adore You

aZzma delivers a deeply moving and timely anthem with Ashes and Echoes, a fusion of pop, rock, and haunting melodies that address the world's current state. From the wildfires in Los Angeles to the war in Ukraine, and the echoes of conflict between France and Algeria, this song captures humanity’s collective pain while urging reflection and unity.

Through vivid imagery and raw emotion, Ashes and Echoes speaks to the fragility of our shared existence, calling for empathy amidst division. It’s a poignant reminder that even in the chaos, hope and resilience can light the way forward.

Ashes and Echoes (Remastered)

Un poème chanté, une prière pour l’éternité. La voix caresse les mots comme un fil tissé entre mémoire et avenir. L’amour et l’exil se fondent en une seule entité, inséparables, immortels. Ghost Of Maya nous offre ici une ode intemporelle, où chaque lettre semble gravée dans le vent.

Lyrics :
Elle était et demeure
Tes yeux sont une épine au cœur, Ils me blessent… et je les adore. Je les protège du vent jaloux, Je les cache aux nuits et aux douleurs, Mais leur plaie éclaire l’aube pâle, Et mon présent s’écrit en leur futur.
Je t’ai vue hier, au port brumeux, Seule, sans bagage, sans adieu. J’ai couru vers toi, comme un enfant, Interrogeant l’écho des temps : Pourquoi l’olivier, que l’on déracine, De geôle en exil, de port en lointain, Garde-t-il toujours sa sève divine, Et son feuillage d’émeraude ancien ?
Tu fus mon jardin dans l’exil, Mon seuil interdit, mon ciel fragile. J’ai frappé aux portes de ma peine, Mais seules les pierres m’ont répondu.
Je t’ai vue suspendre au fil du vent Les orphelines de ton chagrin. Je t’ai vue emplir la mer et le sable, Belle comme la terre… l’enfant… le jasmin.
Et je jure… De mes cils, je tisserai un voile, J’y broderai des vers pour tes yeux, Et lorsque mes pleurs l’auront sacré, Il flottera aux rameaux silencieux. J’écrirai une phrase plus pure que l’aube : "Elle était et demeure."

Elle était et demeure (Original version)

A hypnotic and immersive track blending modern electronic sounds with the organic touch of Jules Nizar's wind instruments (flute, clarinet, trumpet). A sonic journey filled with mystery, introspection, and pulsating energy

Evening Dreams (ft. Jules Nizar) (Jahida Wahbe Remix)

This is a bit of a change from my last happy song , it's a tad sobering ! It's not an anti war song by any means , I know they do have to happen from time to time to when tyrants are involved , sometimes we have no choice and have to rid the world of a monster . But it's always a sad state of affairs and this song reflects that , I do hope you like it though ! On a happier note , me and Kim have a cracking song out on the 21st , and after that are two belting songs , one a tongue in cheek rocker with Axel Menningen , and a huge song with Gaz Brownie . Thanking all you guys and gals for the continued support . Remember me and Charlotte have an album out , give it a whirl if you get chance !
https://www.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nWWNcrIRv08J_eEbL7MJ_1UTdMo0MjJLM
https://open.spotify.com/album/78ewrWZjS41XvHT9mFWd6O?si=yDMcRADSSrOdWlanz6UPMw

The Weight of War

A lighthearted take on everyday mishaps, this track uses humor to highlight the importance of finding joy in the mundane.

Titre : "La Machine à Café a Pété"

[Couplet 1]
J’me lève, j’suis rincé, cerveau en mode avion,
Ma vie c’est un bug dans une vieille appli iPhone.
La machine à café m’a lâché ce matin,
Elle m’a dit : « Débrouille-toi, j’suis en grève jusqu’à demain. »
J’parle aux objets comme si j’étais leur daron,
Le grille-pain m’a répondu : « Toi, t’es qu’un morpion. »
J’ai croisé mon frigo, il m’a fait les gros yeux,
Il m’a dit : « Tu fais que m’ouvrir, mais t’as jamais rien de mieux. »
J’prends mes chaussettes, elles sont pas d’accord entre elles,
Une veut Netflix, l’autre veut mater Koh-Lanta en duel.
J’me dis qu’faut que j’me calme, j’suis pas dans un cartoon,
Mais mon miroir me crie : « Mec, t’es qu’un gros bouffon. »

[Refrain]
Tout part en vrille, même les meubles me jugent,
Le canapé m’regarde chelou quand j’m’affale comme une luge.
Les murs chuchotent : « Mais il fait quoi ce gland ? »
Même ma vie m’a unfollow, elle m’a ghosté lentement.

[Couplet 2]
J’descends dans la rue, y’a la voisine qui m’parle,
Elle dit qu’j’suis chelou, que j’traîne en chaussons sales.
Son chien m’a aboyé : « Mec, t’as zéro flow,
Même mon collier anti-puces a plus de style que ton polo. »
J’croise un pigeon sur un banc, il m’fait un clin d’œil,
Il m’raconte sa vie : « Fréro, j’suis pigeon, mais j’suis pas un gueule. »
Il m’demande une clope, j’lui dis : « T’as pas des ailes ? »
Il répond : « Et toi, t’as pas une tête qui ressemble à un poubelle ? »
J’vais au taf, mais l’ascenseur veut plus m’porter,
Il m’a dit : « T’es trop lourd, va faire du sport, bordel. »
J’arrive en réunion, mon boss est en caleçon,
Il dit : « J’te juge pas, mais t’as l’air d’un hérisson. »

[Refrain]
Tout part en vrille, même les meubles me jugent,
Le canapé m’regarde chelou quand j’m’affale comme une luge.
Les murs chuchotent : « Mais il fait quoi ce gland ? »
Même ma vie m’a unfollow, elle m’a ghosté lentement.

[Pont]
Même mon ombre veut plus m’accompagner,
Elle m’a dit : « Va voir ailleurs, t’es qu’un cas désespéré. »
Mon banquier m’appelle : « Mec, t’as zéro thune,
Même ton découvert il veut partir en vacances à la lune. »
Ma brosse à dents m’a dit : « J’te jure, j’en peux plus,
T’as une haleine qui pourrait tuer un cactus. »
Même mon lit m’a dit : « Va dormir ailleurs,
T’as transpiré dessus comme un rôti dans un four. »

[Refrain]
Tout part en vrille, même les meubles me jugent,
Le canapé m’regarde chelou quand j’m’affale comme une luge.
Les murs chuchotent : « Mais il fait quoi ce gland ? »
Même ma vie m’a unfollow, elle m’a ghosté lentement.

[Outro]
Moralité, j’suis qu’un gars dans un monde bizarre,
Où les objets me parlent et me prennent pour un clochard.
Mais si la machine à café revient demain,
J’vous jure, j’me venge, j’la débranche, et j’pars boire du thé à la menthe.

La Machine à Café a Pété

An intimate moment of self-reflection, this track uses everyday imagery to convey deeper emotions and personal insights.


Lyrics : 

Titre : "Je suis là"
Je suis là… où la musique est plus belle que la Belly Dancer,
Où les guitares murmurent des secrets à l’univers.
Les tambours frappent comme des cœurs en colère,
Et les violons s’élèvent pour calmer la poussière.
Je suis là… où les murs racontent des histoires anciennes,
Où chaque note réveille une mémoire lointaine.
Les corps se croisent, mais personne ne s’arrête,
On suit le tempo comme si c’était une quête.
Je suis là… où même le silence a un goût de swing,
Où les âmes s’ouvrent et laissent entrer le feeling.
Si tu veux me trouver, écoute entre les lignes,
Je suis là, dans la musique, là où tout s’aligne.


Je suis là...

Save the Day

10. Ride (2:56)
TT Williams' synths drive this one. It’s a dark and hypnotic tunnel, a metaphorical train ride into your own mind. 

This isn't

Mars Tech Records

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Soufiane Riani

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