Steel rails sigh under this midnight run
Cold river murmurs where the city’s begun
Small case carried with the dreams I hide
North wind cutting as I start my stride

I rise alone beneath the fading lights
Northbound heart stepping out of old nights
By the riverfront I lay down my claim
Independence calling and it shapes my name

Bridges shimmer in a hard blue glow
Ambition rising with the breeze I know
No backward glance at the darker thread
I move north where my voice runs ahead

I rise alone beneath the fading lights
Northbound heart stepping out of old nights
By the riverfront I lay down my claim
Independence calling and it shapes my name

Horn cuts clean, letting my plea break free
Street pulse echoing a path for me
I rise onward as the night grows late
Steel and steam tracing out my fate

I rise alone beneath the fading lights
Northbound heart stepping out of old nights
By the riverfront I lay down my claim
Independence calling and it shapes my name

Cold river drift, pull me toward the dawn
New stride forming, old shadow gone

I rise alone

Soleil, le soleil du mois de juillet
Ton sourire m'a enflammé
Tes yeux verts comme les champs de lavande
Dans la brise nous ont balayés
Au Grau-du-Roi, sur la plage dorée
Vin rosé, baisers salés
Ton accent chantait la liberté
Je me suis perdu dans tes bras chauds d'été 

Oh ma Française, grande flamme qui brûle
Encore en moi
Je sais que je ne te reverrai plus
L'amour de ma vie, ces jours d'or qui s'envolent loin
On a ri sous les étoiles d'Uzès, on a pleuré à Bagnols-sur-Cèze
C'était fou, c'était vrai, un amour sans fin ni loi
Mais la vie est un mistral cruel et tu t'es envolée ce soir
C'est la vie, mon cœur, on va recommencer à zéro 

Tes lettres parfumées de thym provençal, je les relis au crépuscule
Nos promenades à Uzès médiévale, tes mains dans les miennes, un secret éternel
On a dansé au Grau-du-Roi contre le vent du sud si doux, gris
Mais un jour les adieux sont venus
Comme une vague d'oubli sur la mer  

Oh ma Française, grande flamme qui brûle
Encore en moi
Je sais que je ne te reverrai plus
L'amour de ma vie, ces jours d'or qui s'envolent loin
On a ri sous les étoiles d'Uzès, on a pleuré à Bagnols-sur-Cèze
C'était fou, c'était vrai, un amour sans fin ni loi
Mais la vie est un mistral cruel et tu t'es envolée ce soir
C'est la vie, mon cœur, on va recommencer à zéro 

Oh, et si le destin nous ramène un jour dans ces oliviers de Provence
Je sourirai sans regret, car tu m'as appris à aimer sans défense
Les cicatrices sont douces comme un rosé qui mûrit avec le temps
Adieu ma belle du sud, et merci pour ce soleil brûlant
Je sais que je ne te reverrai plus, l'amour de ma vie  

Paroles et musique de Filippos Lamprakis © 2025

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