post clasical

Trellaaaaa

Listen to the remix of Kat Dahlia's new track "Clocks" from her forthcoming album "My Garden", produced by Salaam Remi.

This remix features Jamaican singjay Nyanda.

For more information on Kat Dahlia:

www.katdahlia.com
www.facebook.com/katdahliamusic
www.twitter.com/katdahlia
www.instagram.com/therealkatdahlia
www.youtube.com/katdahliaofficial

For More Information on Nyanda: 
TWITTER: @nyandaBnL

Clocks (REMIX) Kat Dahlia Ft Nyanda (JAMAICA)

FREE DOWNLOAD

The High (Ft. Production by Matrax Productions)

Inspired by Scandinavia, in some way or another.

Scandiknave

@lucamusto x @florianrietze - Greenfields.

"Once there where Greenfields, kissed by the sun" - After revealing their first collaboration last year, Luca Musto and Florian Rietze are coming back as Musto & Rietze, combining their creative souls once again.

<a href='https://theartistunion.com/tracks/b79b55'>Download for free on The Artist Union</a>

Free Download

Musto & Rietze - Greenfields

Oliver Koletzki - A Tribe Called Kotori (MoM From Home Rework)

artist: SEVDALIZA feat. KRGKGM
tittle: human (krgkgm remix)

Human (KRGKGM Remix)

human (krgkgm remix)

SEVDALIZA x KRGKGM: human (krgkgm remix)

Sona Jobarteh - Jarabi (Bado Edit)

improvisacion con Tribal Instrument Live Looping @LaMansion BsAs Argentina 2019

Full Video Link -
https://www.youtube.com/watch?v=v0zVsmISpCE

Living Session @La Mansion - Tribal Instrument Live Looping

Beautiful song, i couldn't resist !!


enjoy
-p

Bar To Navagio (Pawas' Extended Version) - Arleta

1. Ya Rayah – Rachid Taha
« Ya Rayah » signifie « Candidat à l’exil ». Comme son nom l’indique, ce morceau traite de l’exil et des difficultés qui attendent celui qui quitte le pays. C’est la chanson la plus connue du répertoire Chaâbi en France, notamment grâce à la reprise de Rachid Taha, réorchestrée de façon plus mélodique que l’originale, avec des instruments occidentaux : la batterie remplace les tambourins, la basse et la guitare électroacoustique remplacent le banjo et le mandole.

2. Ya Rayah – Dahmane El Harrachi
Grande figure du Chaâbi algérois, qui vécu longtemps en exil en France, Dahmane El Harrachi est celui qui contribua à populariser le Chaâbi hors des frontières algériennes. Il chantait aux immigrés maghrébins son « Ya Rayah », sa chanson la plus connue, dans les troquets de Ménilmontant et de Belleville. Les puristes préfèrent sa version à celle de Rachid Taha, en raison de son timbre de voix plus dur, plus proche de l’arabe.

3. Koulou Lilaimen – El Hadj El Anka
Père du Chaâbi originaire d’Azzefoun en Kabylie, El Hadj El Anka se distingue par une maîtrise technique inégalée. Elle brille particulièrement dans ce morceau qui vante l’amour charnel comme en témoignent ces paroles :

Dès le matin ses joues sont telles des fleurs épanouies,
ou des genêts d'Espagne, des giroflées ou des coquelicots,
elles apparaissent plus éclatantes que la rose
et plus éblouissantes que la hyacinthe
une chevelure en furie et son grain de beauté ont guéri mon mal ;
des bras modelés d'une blancheur éclatante m'ont séduit
des seins apparents à portée de mes mains
sa poitrine délicate, Oh pauvre de moi,
ma stupeur s'est intensifiée, la raison s'est envolée
et mon cœur s'est figé.
Des mains enjolivées de henné où transparaît
l'idole sublime seule capable de dominer Harout.
Trois choses me réjouissent :
la belle, l'échanson portant chandelle,
et son bonheur qui inonde mes instants.
Quiconque ne désire pas son corps, son amour n'est que chimère.

4. Ya Rabbi Sahalli – El Hadj M’Rizek
Grand interprète de musique Chaâbi originaire lui aussi d’Azzefoun en Kabylie, M’Rizek est ce que l’on nomme dans les années 70 un dandy, gentleman et distingué. Il sut donner très tôt une orientation moderne au Chaâbi, rompant avec la tradition d’El Anka pour offrir une version plus mélodique des chansons du répertoire. Il propose ici une ode à Allah réinterprétée à sa manière.

5. Allo – El Hachemi Guerouabi
Formé à l’école moderne de M’zirek et critiqué pour ses apparitions récurrentes à la télévision algérienne et son ton volontiers mélodramatique, Guerouabi est l’un des plus grands maîtres du Chaâbi. Ici, l’un des plus grands tubes du Chaâbi, qui doit beaucoup à sa voix suave légèrement éraillée, très européenne.

6. El Barah – El Hachemi Guerouabi
« El Barah » (« C’était hier ») est la chanson qui permet à Guerouabi d’emporter l’adhésion de la jeunesse à la fin de la guerre d’indépendance. Elle remporta un succès phénoménal en raison de son thème très simple : la nostalgie du temps qui passe et des belles années volées par la colonisation. Les détracteurs de Guerouabi la lui reprocheront, la stigmatisant comme une simple chansonnette.

7. El Ain El zerka – Reda Doumaz
L’une des plus belles chansons d’amour du Chaâbi, interprétée par Reda Doumaz, le chantre des passions impossibles.

8. Alik Elhana – Amar Ezzahi
Originaire également de Kabylie, Amar Ezzahi est un interprète surdoué du Chaâbi. Modeste, réservé, mais extrêmement talentueux, il est celui qui parvient le mieux à marier technicité et sentiment dans une interprétation toujours émouvante. Les jeunes Algérois amateurs de Chaâbi se réclament tous de lui. Cette chanson est typique de sa façon de jouer, tout en émotion. C’est ma préférée du répertoire Chaâbi.

9. El Harraz – Amar Ezzahi
« El Harraz » signifie « le gardien des lieux ». C’est une pièce de poésie qui fait partie d’un ensemble plus vaste de 72 poésies dite du « Herraz ». le gardien des lieux est ici le mari qui protège sa femme de toute convoitise. Souvent joué dans les mariages, cette chanson au rythme enlevé est propice au « heddi », la danse débridée qui se pratique alors.

10. Adieu Mon Pays – Enrico Macias
Hymne à l’Algérie très longtemps appréciée à la fois par les communautés juives et musulmanes de France et d’Algérie, en raison de ses sonorités très orientalisantes, elle symbolise désormais la fracture qui s’est instaurée entre ces deux religions. Nadir et ses amis aiment la reprendre version Chaâbi lorsqu’ils sont en France.

2  DAHMANE EL HARRACHI - Ya Rayah

Audrey Chen: cello/voice/electronics
Philippe Petit: electric psalterion/electronics

Using the cello, voice and analog electronics, AUDREY CHEN’s work delves deeply into her own version of narrative and non-linear storytelling. A large component of her music is improvised and her approach to this is extremely personal and visceral. Her playing explores the combination and layering of a homemade analog synthesizer, preparations and traditional and extended techniques in both the voice and cello. She works to join these elements into a singular ecstatic personal language.

Recently, her primary focus has been her SOLO project but she is also involved in many various collaborations. Among musicians, she has worked with Phil Minton, Tetuzi Akiyama, Toshimaru Nakamura, Ko Ishikawa, Tomomi Adachi, Matana Roberts, Elliott Sharp, Aki Onda, Phill Niblock, Frederic Blondy, Jerome Noetinger, C. Spencer Yeh, Nate Wooley, Mats Gustafsson, Mazen Kerbaj, Michael Zerang, Tatsuya Nakatani, Le Quan Ninh, Joe Mcphee, Susan Alcorn, Michele Doneda, Paolo Angeli, Gianni Gebbia, Dylan Nyoukis plus many more. Some more current projects have included: duos with Phil Minton, Luca Marini (kamama), Frederic Blondy, Robert van Heumen (abattoir), Katt Hernandez (Isabel), Nate Wooley (heave and shudder), Wouter Jaspers, and Id M Theft Able.

Chen has performed in Europe, Russia, Australia, New Zealand, China, Japan, Taiwan, Brazil, Canada and the USA. In 2011, in addition to her performances, she was awarded the prestigious Mary Sawyers Baker Prize, an award that was established to support individual artists living, and working in Maryland. She has now recently relocated to Berlin, Germany from Baltimore, MD USA and continues to maintain an active international touring schedule.

www.audreychen.com/
www.philippepetit.info/

Audrey Chen & Philippe Petit (extract)

Pawas Gupta (known professionally as Pawas) is an Indian-born DJ and electronic music producer based in Berlin. With a classical foundation, particularly training on the tabla and self-taught skills in percussion, bass guitar, and keyboards, he began his DJ career in India at age 17. In 2004, he relocated to Europe, rapidly establishing himself in Germany’s electronic scene.

Transitioning into music production, Pawas made a strong entry in 2007 with the release "Katang" . Since then, he’s released popular tracks like Det (with Daso), Playtex EP, Bummelzug, Piano Rain, Naja (with Arooj Aftab) and Camel blues, on respected labels including Spectral Sound, Connaisseur, Squonk, Get Physical and Night Drive Music. Many of these have been supported by heavyweights such as Dubfire, John Digweed, Hernan Cattaneo, Marc Romboy, Jimpster, and Satoshi Tomiie. 

His signature sound fuses melodies, musicianship, atmospheric textures, deep house, and Detroit-influenced grooves—what he calls intelligent house. Pawas’s musical journey bridges his roots in classical Indian music with his experiences as an independent producer in Germany

Bar To Navagio (Pawas' Extended Version) - Arleta

pawas