Un avertissement si on ne vote pas l' Abrogation de la réforme des retraites peut importe qui  amène la loi.... 

Tous pourris ? 

Dans le sable vous vous êtes enlisés
Pas de retraite, les loups sont à côté
Le diable sourit  vous tendant sa main
Et s’esclaffe, "Prends-la et tu verras demain"


En cet instant, faut-il faire la fine bouche
Crier au démon et hurler que nul n’y touche !
Peu importe le moyen et le "qu’en dira-t-on"
Seul dans ce cas, le résultat final compte


La politique semble un vice sans vertu
De haut, on dit non à l’autre par habitude
Le bas, lui, reste sur un malentendu
Et nous autres, on abandonne par lassitude


J’ai pas le refrain, pas l’envie
J’ai du chagrin, un goût de vomi
J’y comprends rien à vos parties
Je résume tout à tous
Tous pourris

De tous côtés, c’est la valse des vanités
Ne rien consentir à leurs opposés
Les idées valent moins que l’orgueil
Le peuple en silence en fait son deuil

Alors on reste enterré jusqu’au cou
Dans tout ce sable, ce ventre mou
Les grains rentrent peu à peu en bouche
Fier, debout, ça tousse s’étouffe

Y’a peut-être plus rien à prétendre
Y’a peut-être plus rien à attendre
Vous êtes loin, on ne peut pas 
on ne peut pas s’entendre
Ça, c’est facile facile à comprendre

[Chorus]
J’ai pas le refrain, pas l’envie
J’ai du chagrin, un goût de vomi
J’y comprends rien à vos parties
Je résume tout à tous
Tous pourris

...
...Peut-on encore  s’entendre

Tous pourris

La guerre, vue à travers l’individu, se résume à un combat entre deux hommes, non pas pour la survie, mais pour des idéaux façonnés par la société. Derrière chaque combattant, il y a une famille, une mère, et lorsque l’inévitable se produit, la douleur est la même, quel que soit le camp.

Ces hommes se battent pour des causes qui ne les concernent pas vraiment, galvanisés par des raisons culturelles, parfois manipulés par un endoctrinement qui les transforme en soldats déshumanisés, incapables de reconnaître leur reflet dans l’autre. Sans cette éducation guerrière qui annihile la conscience de l’autre, les conflits n’existeraient pas.

Cette chanson cherche à illustrer cette réalité simple mais profonde : derrière l’ennemi, il y a un miroir, une version de nous-mêmes. Les guerres, au final, ne sont que des instruments entre les mains de quelques despotes cherchant à imposer leur domination. Ce sont ces élites qui attisent le feu et profitent de la destruction, tandis que les hommes ordinaires paient de leur vie pour des intérêts qui ne sont pas les leurs.

Le noir prend tout

De la fumée sur la plaine  
Des ombres allongées au soleil  
Sans aucun mouvement, inertes  
Un silence profond, solennel  

 
Le rouge se mélange au vert  
Tout est du pareil, au même  
Divisés à leur rencontre  
Rassemblés en une seconde  

 Le même rouge dans nos cœurs  
Le même bleu sur nos joues  
Unis par ces mêmes couleurs  
Mais où le noir prend tout  

 Au loin, des tristes rictus  
Des gouttes, oui, mais sans excuses  
On joue à qui sera le plus fort  
On perd son temps à compter les torts  

Encore plus loin, on s’en amuse  
On crés des joujoux a tout allure 
On allume on  attise le feu 
On vend le tout a qui en veut
 
Тот же красный в сердцах,  
Тот же синий в глазах,  
Цвета нас объединили,  
Но черный всё поглотил  

L’autre côté est un miroir 
La même haine,brandi en  devoir 
Unis dans nos sombre rivalités  
Faut-il tout perdre pour s'arrêter ? 

نفس الأحمر في القلوب،
نفس الأزرق في العيون،
اتحدنا بهذه الألوان،
لكن الأسود زاد الأحزان. 

Tristesse colère se mélangent,
Réclamant paix et vengeance.
Toutes ces couleurs en nous,
Mais le noir les  domine tous
  
نفس الأحمر في القلوب،
نفس الأزرق في العيون،

Et le noir prend tout

Le noir prend tout

Soyons moins mouton.... sans être loup...
Trop d’acheteurs, Trop de consommateurs. Dans une société de consommation, on consomme pour exister. 

Dénonce ton porc!

Petit Sumo

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