J’vais marcher sur le tempo comme sur un runway

Pose sur le beat

Je t’ai vu dans la lumière du soir
Ton silence parlait d’espoir
Le sable gardait nos traces
Mais le vent les efface

Nopalul

She walks in like a storm in heels
Every head turns, every heartbeat feels
The room goes hush, but my mind screams loud
She’s the kind of trouble they don’t warn you 'bout

Style Vintage Trouble

J’ai vu le monde s’éteindre dans un verre,
Des souvenirs lourds sous mes paupières.
Tes silences brûlent comme des prières,
Mais la nuit n’ouvre plus ses frontières.

Les Cendres de Personne

Le banc solitaire sous l'arbre nu
Attends-il encore le retour
Des promesses qu'on a faites, des vues
Qu'on échangeait chaque jour ?
La rivière coule, indifférente et lente
Emportant les feuilles mortes
Une mélancolie douce et pressante
Frappe à ma porte.

Le vent d'hier

Le sac sur l'épaule, plus léger qu'hier
Mais le pas porte en lui, une autre matière
Invisible aux yeux, une carte secrète
Des villes anciennes, une mémoire muette.

L'Écho Du Chemin

Écoute bien... le vieux clocher fait du reggae ce matin !
Un gamin jongle avec trois oranges, quelle histoire !
L'air sent le café, un moteur qui tousse au loin
Mais dans mes oreilles, y a déjà un bon refrain.
Ça monte, ça chatouille les pieds, les mains,
Une envie de tout lâcher, d'aller loin... ou juste ici !

Une envie de tout lâcher

DJ fais tourner ces disques d'or
La foule en transe je l'adore
Battements forts font battre les cœurs
Emmène-nous dans ton univers
Lumières cyans éclatent la nuit
Des vibrations des lunes infinies
Pulsations rythmées jusqu'au matin
Dans nos veines coule ce refrain


DJ fais tourner tes disques d'or

Les néons bavent sur les flaques,
Et mon reflet fait un pas en arrière…

Donne-moi un dernier verre avant l’orage,
Avant que le vent m’arrache la peau.
Y’a des mots qu’on enterre sans courage,
Mais ce soir, je les chante sous l’eau.
Juste un dernier verre… et je pars sans bagage.

Dernier Verre Avant l’Orage

Réveil brutal, la tête déjà pleine
Pas l'temps d'traîner, la course est lancée
Fils d'actualités, défilent comme un train
Monde branché, j'suis pris dans les chaînes


Digital Hell

Tourne autour de moi dans l'air flou
Ton parfum joue ses doux atouts
Une brume qui me coupe le souffle
Ta présence me hante et m'émeut

Tourne autour de moi

J'ai perdu l'espoir là-bas dans l'ombre
Les rêves s'effondrent comme un vieux monde
Les jours passent lentement comme un train sombre
Je cherche une lumière dans ce vide immonde

J'ai perdu l'espoir

Je crie pour que tu entendes ma voix,
Je te crie.
Je te crie pour que tu dises pourquoi,
Ce qui n'est plus.
Ce qui s'est enfui.
Dis-le-moi.

Je crie

Les jours tournent vite comme une horloge folle
Des éclats de rire se mêlent aux larmes molles
On danse dans le chaos en oubliant le nord
Cherchant des réponses dans cet orage fort

Dans l'infernal tourbillon de la vie

A road with no end…
Then, a flickering light…
I was just looking for rest.


Golden Room

Mémoire des ombres

Sur la Promenade des Anglais je me balade
Soleil brûlant un rêve sous l'arcade
Mon scooter Rumi crie dans la ville
Les vagues chantent oh que la vie est belle

Promenade des Anglais

Maintenant, je reste là, figé dans le brouillard
Tes belles paroles, un mensonge notoire
Tu m'as promis le soleil, un ciel sans fin
Mais tu n'as fait que verser des ombres sur mon chemin
Bouts de ficelle, bouts de papier
Le temps perdu, on ne peut le rattraper


Le Temps Perdu

Dis-moi l'heure, mon cœur qui bat ?
Je t'ai dit, sois bien attentive
Reste à l'écoute, camarade
Reste à l'écoute, dis-moi l'heure exacte

Dis-moi l'heure

Tourne autour de moi dans l'air flou
Ton parfum joue ses doux atouts

Ton parfum joue ses doux atouts

C'est merveilleux, c'est merveilleux, c'est merveilleux,
Bonne chance ma chérie
C'est merveilleux, c'est merveilleux,

C'est merveilleux

On a les mêmes yeux, dit ma mère parfois,
Ou la même façon de se tenir droit.
Pourtant nos vies ont pris des virages,
Loin des chemins tracés par les âges.
On a bu l'eau de la même fontaine,
Porté les mêmes peines, les mêmes chaînes.
Sans un mot, on savait comprendre
Le poids des silences à fendre.

La même racine

From Brooklyn streets to billionaire's row
Stacked paper high, watch the empire grow
Hustle hard, never fumble the flow
Blueprint for success, yeah I wrote the scroll

Businessman

Tu revenais quand la ville dormait,
Les bottes mouillées, le cœur fermé.
T'avais ce goût de nuit sur la langue,
Moi j’attendais… sans plus d’arme.

Rien que la pluie

Tes charmes sont un secret que mon âme déchiffre,
Une litanie d'attraits qui sans fin s'inscrivent.
Cent et une raisons, murmures infinis,
Ce soir, à tes côtés, mon cœur te les confie.

DIGITALSound

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