Beat made on garage band app 

Texte: 

Malgré les conseils de Fred et Jamie je roule des battes comme jamais. Je me tape plus de barres que Jamel. Grosse détente sur une progression d’accords d’Ahmad Jamal. Je met les écouteurs et je vois aussi loin que si j’avais des jumelles. La fumée se consume, la dune de mots est constitué de mon amertume. Malgré le fait qu’on s’y fait a force, on peut plus faire face à la farce. On est attrapé par le trac, mais on a trop serré la ceinture et les fesses. J’ai trouvé une pièce dans une pièce, ma futilité j’encaisse. Les gens gentils passent et je ramasse mon antipathie. Maintenant je me rassois, je regarde dans le miroir il me dit rase toi. J’ai pas de locks mais Je bedav plus qu’un rasta. J’en suis pas fier mais cette histoire est ma thérapie. Certains vont dire que je devrais me taire et qu’il vaudrait mieux que je m’applique. Je me perd quand même vers des ondes fantastiques, plus près de la terre que du plastique. La nouvelle méditation que je pratique. Étirer mes passions en élastique. Il n’y a pas de poison plus tragique que la magie. De quoi parlent ils lorsqu’on observe comment ils agissent? Les rapports entre les hautes sphères et la logique, une absurdité atomique. En attendant de chier une perle parle dans ta tête, pas dans le cromi. Je crois plus à tes fausses promesses. Gros laisse les drôlesses occupe toi de satisfaire le taulier.

Synthony

Smocchi

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