ohhh

Oh Mother Divine
We pay homage to you

Oh Great Mother
Quan Yin
We pay homage to you

Namo Quan Shi Yin Pusa
Great Mother Divine
 
Ohhhh

repeat

We are LOVE 💛

Namo Guan Shi Yin Pusa

From the album The Celestial Palace (inspired by the novel by Steven Lance Fornal) due in late 2022

The Celestial Sailors Of Salvation

This tune was performed by The Carpenters in 1975. Performed by me on my Yamaha PSR-SX900 arranger keyboard.

Can you "Name That Tune"? I have a website that contains my complete collection of tunes with their titles revealed at: https://www.harveytwyman.com

Free Download

Name That Tune #461 by The Carpenters

Dirty Down

If my heart has to break for you
If my legs have to ache for you
I will take all of this pain for you
Just give it to me

If my lips have to thirst for you
If my stomach has to starve for you
If I have to suffer for you
Just ask me to

Bayou A Biscuit

Bayou A Biscuit

Elevating

Petit bébé

NO WASTE

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MIRROR MIRROR

“They Call Me Bomber – Upbeat LO-FI Indie” is a raw, late-night confession wrapped in the glow of a bedroom lamp at 2 AM. This track blends moody lo-fi textures with an indie-folk heartbeat, carrying all the beautiful imperfections that make a song feel alive.
The production wavers with gentle fuzz, the instrumental stays minimal and intimate, and the vocals—deep, emotional, unmistakably human, paint a portrait of someone singing straight from the soul, flaws and all.

It’s the kind of song that pulls you into its quiet world and makes you feel like you’re sitting on the floor next to the artist while they record the take that means everything.

✨ What moment did this song remind you of?
✨ What emotion did the 2 AM atmosphere awaken in you?
Share your thoughts in the comments, your story completes the vibe.

Canzoni.Del.Bosco creates custom, tailor-made songs for people, celebrations, and brands.
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They call me Bomber - Upbeat LO-FI Indie - Edit - Alnitak

(Verse 1)
J’ai toujours rêvé d’être riche,
Pas pour briller mais pour souffler.
Si tu demandes à ma famille, ils diront vanité,
Mais s’ils creusaient un peu, ils verraient que c’est pas l’avidité,
C’est juste le manque d’air, le besoin d’exister.
Y a des murs qui se dressent,
Et même l’espoir, j’peux pas le payer.
(Pre-Chorus)
Cherchez donc la vanité,
Elle aussi, coincée derrière les regrets.
J’fais semblant d’aller bien,
Mais j’me perds dans mes pensées.
Chaque matin, chaque dîner,
Dans ma tête, c’est un bal masqué.
Colère ou tristesse — je sais pas qui me fait tomber,
Mais je sais qu’ici, je peux plus respirer.
(Chorus)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Verse 2)
Certains naissent avec du talent,
Moi j’suis né avec du bruit.
Ma famille à mes pieds,
Des boulets qui me crient “fuis”.
La maison, c’est pas un foyer,
C’est un pénitencier qu’on décore pour oublier.
Et mes amis ? Des reflets —
Qui s’effacent dès que j’vais couler.
(Pre-Chorus)
J’aimerais chanter, j’aimerais danser, j’aimerais briller,
Mais on m’traite de mégalo dès que j’ose respirer.
Même ma famille m’voit pas, j’essaie de combler,
De chercher la paix dans ce qu’ils ont creusé.
J’me méfie de moi, j’me méfie des autres,
Même les “bonjour” sonnent faux.
J’me dis qu’un jour faut s’réveiller,
Mais moi j’veux juste dormir sans penser.
(Chorus)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Bridge – version retravaillée)
J’juge ceux qui dorment sur leurs ailes,
Alors qu’ils pourraient voler.
Moi j’crame mes plumes dans le ciel,
Juste pour me rappeler que j’sais rêver.
J’voudrais qu’on m’voit, j’voudrais qu’on m’aime,
Même si c’est qu’un mirage ou un système.
Qu’on m’regarde pas pour m’utiliser,
Mais pour comprendre tout c’que j’ai crié.
J’veux pas la gloire, j’veux pas régner,
J’veux juste qu’ma voix soit pas noyée.
Qu’on m’laisse jouer, rire, danser —
Même si j’suis qu’un pion, j’veux avancer.
C’est pour ça qu’ceux qui disent que l’argent fait pas l’bonheur,
Ont jamais eu d’souffrance à racheter,
Ni d’rêves à reconstruire sous la sueur,
Ni d’nuits à pleurer pour exister.
(Chorus / Outro)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Post-Chorus)
Vingt-deux fois que j’crie,
Vingt-deux ans à m’battre pour une vie.
J’me noie dans l’encre et la nuit,
Mais chaque note me relève un peu d’ici.
Vingt-deux fois qu’j’appelle à l’aide,
Vingt-deux fois qu’on passe devant moi.
Mais j’continue d’écrire, encore et encore,
Parce que c’est ma douleur qui me donne ma voix.

22 fois

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Occhi Neri