Name: Mr. Haydn's April Mood (London, 1794) by Nadir
Duration: 3 min 37 s
Description: Of course, in the time of Haydn, Big Ben chimes did not sound yet. But it was hard for me to do without such a delicious sound marker :)

All traditional styles "Nadir-ized in one piece! You have a most unusual musical genius.

No my friend .... You are not a monkey who would just repeat what he saw, what he heard .... You have an innate gift that allows you to transcribe in your own way what you have discovered musically .... Like many people here .... and then some technologies of today allow to express in a beautiful way these phenomena that sometimes haunt us .... I really like the way you transcribe what great composers have sometimes taken years to build .... Keep it up for our pleasure.

I love the sound staging. And the following is so beautiful!

« Maria Laniakea » my new piece for flute and electronic
Here's my new piece composed by handwriting from Saturday, June 3, 2023 to Friday, June 16, 2023
Here's my flute & electronic recording realized at the abbey of hautecombe on Thursday, October 5, 2023
Franck Douvin © 2023 Contemporary chamber music
Thanks for listening & sharing
I hope you'll enjoy !
Here's my inspiration : « Jésus est le soleil. Marie est l'Aurore qui annonce sa venue »
PAPE FRANÇOIS
And :
« Dans l'univers, de nombreuses forces sont à l'œuvre, que nous ne connaissons pas encore, comme l'énergie noire.
Un exercice courant dans les devoirs scolaires consistait à représenter notre système solaire sous la forme d'une maquette.
Grâce à cet exercice, nous savons que le système solaire est un ensemble de planètes qui tournent autour de la grande étoile dorée. Mais dans ces modèles, le soleil était statique et flottait dans l'immensité.
Or, les astronomes soulignent depuis des décennies que le système solaire, et surtout notre galaxie, la Voie lactée, se déplacent dans l'immensité de l'univers à une vitesse d'environ 600 kilomètres par seconde.
Et l'on sait depuis longtemps que ce voyage a une destination.
Les découvertes faites dans les années 1970 par un groupe d'astronomes ont permis de déterminer l'existence d'une "grande force" dont la source serait la destination du voyage actuel de la galaxie.
Cette force a été appelée le « Grand Attracteur »
Notre galaxie se dirige vers quelque chose que nous ne pouvons pas voir clairement. Le point focal de ce mouvement est le Grand Attracteur, fruit de milliards d'années d'évolution cosmique", explique à BBC Mundo le cosmologiste Paul Sutter, professeur d'astrophysique à l'université Stony Brooks de New York
Et malgré la vitesse impressionnante à laquelle notre galaxie voyage, elle n'atteindra probablement jamais la destination fixée par le Grand Attracteur
Nous n'atteindrons jamais notre destination car, dans quelques milliards d'années, la force d'accélération de l'énergie noire détruira l'univers  explique M. Sutter.
L'énergie noire, explique la NASA, est une force mystérieuse qui imprègne le cosmos et accélère l'expansion de l'univers.
Comment notre compréhension actuelle de l'univers est en réalité "un aveu de notre ignorance"
Cela signifie que les galaxies s'éloignent de plus en plus les unes des autres, jusqu'à ce que, dans des milliards d'années, la structure de l'univers telle que nous la connaissons aujourd'hui soit détruite.
Comprendre les effets du Grand Attracteur fait donc partie de la quête de compréhension de la structure de l'univers.
Dans l'étude de l'univers, il est très important de savoir comment il est organisé, pourquoi il est organisé à partir de structures qui ont certaines dimensions, et le fait de connaître chacune d'entre elles et leurs dimensions nous aide beaucoup dans cette entreprise", a déclaré à BBC Mundo Carlos Augusto Molina, un astrophysicien colombien qui travaille au planétarium de Bogota.
Au fur et à mesure que l'exploration spatiale progressait, en grande partie grâce au télescope Hubble envoyé dans l'espace dans la seconde moitié du 20e siècle, les astronomes ont été confrontés au défi d'organiser d'une manière ou d'une autre tout ce qu'ils voyaient.
Une sorte de carte a commencé à être dessinée et, bien sûr, l'un des points clés était de savoir où se trouvent notre système solaire et notre galaxie dans l'univers.
Vers les années 1970, nous avons commencé à étudier le mouvement de notre système solaire et de notre galaxie, et nous l'avons comparé avec le mouvement d'autres galaxies proches, et tout semblait aller dans la même direction, celle de l'expansion de l'univers", explique M. Sutter.
Notre galaxie, la Voie lactée, se dirige vers l'endroit où se trouve le Grand Attracteur...»

« Maria Laniakea » my new piece for flute and electronic (New recording on October 5, 2023)

« Fantasy planet Troyenne »
Here's my new piece for solo guitar - Duration : 11'
Composed by handwriting in front of the mountains of Savoy here at Saint Pierre de Curtille in Savoy - F from Wednesday, August 3 to Saturday, August 5, 2023
Sonata in 3 movements :
I. Moderato espressivo
II. Andante misterioso
III. Allegro giocoso
« The most well-known Trojan asteroids are those associated with Jupiter. There are two groups: those located at L4, ahead of Jupiter, and those located at L5, behind Jupiter. Each group is made up of thousands of objects. The American mission Lucy is on the way to go and study them.
Moreover, it was theorized about twenty years ago that pairs of planets of similar mass could also share the same orbit around their star. These particular configurations are called troyen planets or co-orbital planets. In this scenario, again, the planets would be located at the stable Lagrange points of their planetary system and would thus follow similar trajectories »
As mentioned above, this type of configuration has been only theoretical until now. A few days ago, astronomers from the Madrid Center for Astrobiology finally identified the first evidence in favour of this idea »
Franck Douvin © 2023 Contemporary chamber music
Thanks for listening & sharing
I hope you'll enjoy !

« Fantasy planet Troyenne » My new piece for solo guitar in three movements

« Orphée et Eurydice »
Completed on Monday, September 11, 2023
« Orphée avait reçu de sa mère le don merveilleux
de la musique, alors les dieux lui avaient fait cadeau d'une lyre. Depuis, il jouait de l'instrument au gré de ses envies ou de sa mélancolie, pour le plus grand plaisir des êtres qui l'entouraient. 
Le poète n'avait aucun ennemi, pas même les bêtes féroces : charmées, elles finissaient toujours par s'étendre à ses pieds. Bien sûr, aucune jeune fille ne pouvait résister aux notes tendres et apaisantes que faisait naître Orphée, mais aucune ne trouvait grâce à ses yeux, jusqu'au jour où il rencontra l'envoûtante Eurydice. Leur amour était si profond et si pur qu'ils décidèrent très rapidement de se marier. Mais ce bonheur fut de courte durée... 
   Le mariage fut une fête pour tous les invités, 
chacun se réjouissant du bonheur des jeunes époux. Mais tandis qu'elle prenait l'air avec ses amies, Eurydice fut mordue par un serpent, et dans la prairie résonnèrent les cris des jeunes filles épouvantées.
Bientôt, Orphée parvint auprès de sa bien-aimée, inanimée. Le visage du jeune homme était transformé ; il ne pouvait laisser échapper ni larme ni cri tant sa douleur était grande. Comment pouvait-il perdre son épouse le jour même de leurs noces ? Et comment pouvait-il vivre sans celle qu'il aimait avec passion ? 
Cette idée lui était insupportable, aussi décida-t-il de descendre aux Enfers – le Royaume des morts – pour en ramener sa bien-aimée.
 Les Enfers étaient peuplés de créatures 
terrifiantes, toutes soumises à Hadès, le dieu des profondeurs de la Terre. C'est lui qui régnait sur les morts, interdisant à quiconque ayant pénétré dans son royaume d'en ressortir vivant. Ce dieu était si terrible, que les vivants n'osaient pas même prononcer son nom ! L'entrée de son royaume était gardée par Cerbère.
Certains disent qu'il avait 
trois têtes, d'autres cinquante, et d'autres encore, plus de cent ! Ce chien effroyable restait enchaîné devant la porte des Enfers pour terrifier les âmes qui cherchaient à s'y introduire. Mais Orphée n'eut aucun mal à adoucir le monstre... Une simple mélodie suffit à l'endormir, et il put passer la porte sans souci. Ce qu'il découvrit ensuite n'était guère réjouissant : les Enfers étaient un monde sombre, où coulaient de larges fleuves sans fond, un monde où les menaçantes Érinyes semaient la discorde, terrorisaient et punissaient à leur guise... Mais jamais Orphée ne fut inquiété. Il progressait, protégé par le son de sa lyre, et bientôt vit apparaître le palais d'Hadès et de son épouse Perséphone. Il entra sans peur et se présenta devant les dieux. « Que viens-tu faire ici ? » demanda Hadès de sa voix forte. Alors, pour toute réponse, Orphée entonna un chant incroyablement triste. Les notes de sa lyre emplissaient toutes les salles du palais, d'abord douces et mélancoliques, puis fortes et vibrantes, semblables à la douleur du poète. L'ensemble, bien sûr, était si enchanteur que les divinités infernales s'apaisèrent.
Hadès et Perséphone consentirent à laisser partir Eurydice. Mais ils y mirent une condition : tant qu'il serait dans le Royaume des morts, Orphée ne chercherait pas à voir celle qu'il était venu quérir. Le jeune homme acquiesça avec joie et se mit en marche, suivi de sa jeune épouse. 
Orphée aperçut rapidement la lumière du jour : ils 
allaient enfin quitter les Enfers. Mais, tandis qu'il songeait au bonheur qui les attendait, le jeune homme oublia sa promesse, et il se retourna pour contempler sa bien-aimée... Pour son plus grand malheur, car la jeune fille retomba aussitôt dans les abîmes. Orphée avait vu Eurydice pour la dernière
fois ! Le pauvre garçon en fut désespéré. Il tenta à nouveau de convaincre Hadès de lui rendre son aimée. Mais il n'eut pas de seconde chance ; le dieu resta insensible à ses supplications. Le poète se retira alors dans un lieu isolé où il chanta sa peine. Et nulle jeune fille ne put jamais le consoler ».

« Orphée et Eurydice » my new piece for flute, harp & recitant

Misericordia

« Étoiles et prédictions » for septet and electronic (Part I - II - III - IV)
For flute, oboe, clarinet, bassoon, horn, piano, violoncello & electronic
Parts I - II - IIII and IV
1. « Création du ciel et des étoiles »
2. « Pluie d'étoiles filantes »
3. « L'étoile du Berger »
4. « L'étoile À...venir »
Completed on Friday, October 27, 2023 at (4:42 PM)
Franck Douvin © 2023 Contemporary Chamber Music
Thanks for listening and sharing
I hope you'll enjoy !

« Étoiles et prédictions » for septet and electronic in four movements

Introduction in English:

On a Saturday, 9 June 1989, I receive a phone call from my mother at around 6 am. She seems to be laughing. But as it soon turns out, tears are bursting out of her. At first she can only say one sentence: "Your father is dead". Then her voice fails. I, who has just been roused from my sleep by the ringing, at first think it's a bad joke. My father, not even 55 years old, dead, who had been so full of energy in the last few months? With whom I had spoken lively on the phone just a week ago?
Then my eldest sister comes to the phone. She speaks like a robot, as if she has frozen all her feelings inside herself.
She confirms the sudden death of my father from a heart attack and urges me to come immediately from Berlin to southern Germany (800 kilometres away).
Much of what happened after that - from the last encounter with my father in the morgue, to the years of vacillating between feelings of liberation and sometimes massively frightening "I'll bring you to me in the realm of the dead" nightmares after his funeral, to finding a deeper inner peace with him in the last few years - I wrote down and sang about in the following song "My Father in Heaven".      
However, the song lyrics are not chronological, but set in 2011, in which I am all alone on a beautiful summer day in the cemetery where my father's grave is located. From this day I start a retrospective and an outlook.     

Lyrics:

My Father in Heaven

What a beautiful day
All alone in the graveyard 
Come to visit you
Without a grudge

It's unbelievably quiet
Hear the dead deep asleep 
In an beyond harbour
Be with you soon

I hated you sometimes 
Had you so gladly touched,
You're gone too soon 
Left me alone with the dirt 
Of this life.

Wanted to tell you so much more 
You can't sneak away like that
A moment ago you were still there  
I felt quite close to you,

Now only 
A cold hand in the morgue
Nothing more moves

My father in heaven, 
I miss you very much, 
With wistfulness my heart sometimes
Becomes so heavy

When you were suddenly dead
Many things seemed easier, 
I moved forward in life, 
I looked free

but when I slept at night,
you'd come into my dreams, 
trying to pull me over, 
to the land beyond.

You didn’t let me go for so long 
Lying like a black mourning box
On my chest and belly, 
Felt like I was in a tube 
Trapped by you.

Often couldn’t defend myself
Felt completely without power 
When in the deep of the night
you came to my room, 

without a body, 
pure soul contact,
worlds still unknown to me.

Father in heaven,
do you hear me now,
I speak to you in peace, 
I am no longer hurt.

Your grave is newly decorated,
I've picked a bouquet for you, 
I sit down with you, 
I surrender tot he silence
peaceful silence. 

I am here now, you there
even if the wall separates us,
we see each other invisibly, 
You always stay close to me, 

I'll go on now, 
Stay here, 
I'll be back soon

Father in heaven
I think of you often 
You are indispensable, 
Come with me....

My Father in Heaven

My Father In Heaven

This is an original arrangement from the soundtrack movie "Back To The Future" (Alan Silvestri).
All instruments, effects are performed, recorded, and mixed by myself.
For more information, see my public Profile.

Back To The Future Tribute - Charles Chambaz

2 AM: A Nocturne

Second part of my father trilogy.
This song is based on a dream I had a good 20 years ago with my father, who had been dead for some time. 
I am in a dimly lit room. It's just me and somehow my father's energy body. At some point, this invisible energy body comes towards me. Then we embrace. It is a merging embrace. Something deep inside me releases and makes me cry. It's not so much a sad cry, but a liberating, soothing cry that pacifies me completely. 
Since this dream, the grudge I harboured against him for a long time has largely disappeared.     
Somehow he has been there inside me since then and I can sometimes visit him (even in dreams) when I want to talk to him.

The arrangement of the song is deliberately minimalist (just vocals, guitar and violin, hardly any effects) in order to emphasise the tremendous intimacy of the encounter between my father and me in the dream described above (there is no longer a "leaf" between us).

My Father  (Lyrics in English)

Would so like to talk to you
Break through the walls to the hereafter
Meet you in a moon cafe
On chairs that stand here and there

You died before the Berlin Wall came down
My son was born on the day you died
Never saw my beautiful wife
Although you had aimed 
For a hundred years of life

You only reached half of it
Life was rarely really easy for you

You were often too close to the stars
Underestimated the danger to your life
Had so many visions
Wanted to live in castles in the air

Then you were all there again
So clairvoyant, wise and clear

Would love to have you with me now
My father, I would love to have you here now 

The dividing wall to you is now open
I haven't met you for so long
You're waiting for me in the moon cafe
I see you in the soft twilight

I want to tell you so many things
What happened after you left
You still wanted to experience it all
Your early death did not grant you that

You were so torn, the demons, they tore at you
You loved the rush, had little sense of yourself

And yet you were in deep distress
My ever-protecting boat
My steadying hand
The lighthouse in my land of chaos

You gave up the shirt off your back
That ultimately cost you your life

Would love to have you with me now
My father, I wish you were here now


Mein Vater (Deutscher Originaltext)

Möchte so gern mit Dir sprechen
Die Mauern zum Jenseits durchbrechen
Dich in einem Mond-Cafe` treffen
Auf Stühlen, die hier und dort stehen

Vor dem (Berliner) Mauerfall bist Du gestorben
An Deinem Todestag wurde mein Sohn geboren
Hast meine schöne Frau niemals erlebt
Dabei hattest Du 
Hundert Jahre Leben angestrebt

Hast grad‘ mal gut die Hälfte davon erreicht
Das Leben war für Dich selten wirklich leicht

Warst oft den Sternen zu nah
Unterschätztest die Lebensgefahr
Hattest so viele Visionen
Wolltest in Luftschlössern wohnen

Dann warst Du wieder ganz da
So hellsichtig, weise und klar

Hätt‘ Dich so gern jetzt bei mir
Mein Vater, hätt‘ Dich jetzt gern hier 

Die Trennwand zu Dir steht jetzt offen
So lange hab‘ ich Dich nicht getroffen
Du wartest im Mond-Cafe‘ auf mich
Ich seh‘ Dich im zarten Dämmerlicht

Ich will Dir so vieles erzählen
Was so geschah nach Deinem Fortgehen
Du wolltest das alles noch erleben
Dein früher Tod hat Dir das nicht vergönnt

Warst so zerrissen, die Dämonen, sie zerrten an Dir
Liebtest den Rausch, hattest für Dich wenig Feingespür

Und dennoch warst Du in tiefer Not
Mein stets mich schützendes Boot
Meine mir haltgebende Hand
Der Leuchtturm in meinem Chaos-Land

Hast Dein letztes Hemd hergegeben
Das kostete Dich letztlich Dein Leben

Hätt‘ Dich so gern jetzt bei mir
Mein Vater, hätt‘ Dich jetzt gern hier

Mein Vater (My Father)

La macchina dell’abbondanza ci ha dato povertà. La scienza ci ha trasformato in cinici, l’avidità ci ha resi duri e cattivi. Pensiamo troppo e sentiamo poco. Più che macchinari, ci serve umanità. Più che abilità, ci serve bontà e gentilezza. Senza queste qualità, la vita è violenza e tutto è perduto."
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The machine of abundance has given us poverty. Science has turned us into cynics, greed has made us hard and evil. We think too much and feel little. More than machinery, we need humanity. More than skill, we need goodness and kindness. Without these qualities, life is violence and all is lost."

Natale Anni 80  • 🌲    2023

Of course, in the time of Haydn, Big Ben chimes did not sound yet. But it was hard for me to do without such a delicious sound marker :)

Mr. Haydn's April Mood (London, 1794)

You can hear my new works by going to the next: https://soundcloud.com/shamukhamedov-803522980

Mr. Haydn's April Mood (London, 1794)

Nadir

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