Cette série de podcasts a été réalisée et produite par Akken pour le Musée de Cluny. 

Écriture : Maxime Labat, Jérôme Fihey, Laurence Giuliani
Voix : Magaly Baup, Gaspard Candeau, Anne-Line Drocourt, Laurence Giuliani, Maxime Labat, Charlène Lechat, Sacha Marion-Jouveaux, Pascaline Marot, Audrey Przybylowsky, Pierre Roba
Direction d'acteurs et enregistrement des ados : Divers Sens - Bordeaux
Création sonore : Anne-Line Drocourt
Mixage : Léonard Lelièvre

Ep 2 - Musée de Cluny - Plancher Sur Le Moyen - Âge

The Donkey knows better than to walk off of a cliff. This is not always true with people. I'm going to play it safe and ride the donkey.

Riding My Donkey

Le code informatique est partout aujourd’hui, pas juste dans les ordinateurs et les jeux vidéo. Il offre d’innombrables débouchés professionnels pour les jeunes. Mais il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes qui étudient et travaillent dans ce domaine… Pourquoi? Et comment résoudre ce problème? Pour le savoir, Grace, Dahlia, Danian et Kenza sont partis à la rencontre d’Émilie Boudrias qui s’occupe du Mouvement montréalais Les filles et le code, au sein de l’organisme Concertation Montréal.

Les Jeunes Décodent est un balado pour ados qui explore, en 6 épisodes, le potentiel des nouvelles technologies pour répondre à des questions de société. Ce balado est proposé par Ubisoft Éducation et La puce à l’oreille. Il est porté par Danian Banchev, Kenza Chahidi, Grace Nsenga et Dahlia Weladji, quatre jeunes étudiants au Cégep et membres du collectif Les jeunes en parlent.

Sous forme de discussions et d’entrevues avec des experts et des expertes, les quatre amis partent à la rencontre de ceux et celles qui, grâce aux nouvelles avancées technologiques, inventent un futur positif, solidaire et inclusif.

Crédits:

Un balado produit par Ubisoft Éducation. Réalisation: La puce à l’oreille et les Studios Bakery. Avec les voix de Danian Banchev, Kenza Chahidi, Grace Nsenga et Dahlia Weladji. Direction éditoriale: Lucie Laumonier. Direction créative: Albéric Filhol. Enregistrement, montage et mixage: Ivann Urueña. Conception sonore: Nico Serrus. Merci à Émilie Boudrias, agente de développement pour Concertation Montréal en éducation et savoir, pour son expertise et sa disponibilité.

Les Jeunes Décodent - Le code au féminin

Un groupe de cinq cents personnes a été envoyé dans l’espace pour coloniser une autre planète. Dans un état de semi-conscience, elles suivent une éducation qui leur est dispensée par une intelligence artificielle. À trente ans, elles seront parfaitement formées pour appréhender leur nouveau monde.

Audiolivre Silo de Hugh Owey, lu par Bertrand Pazos

Medical Voiceover

"Une comédie romantique en pantomine, à la croisée de deux esthétiques"
Une analyse de Benjamin Labé et Martin Barnier

Acrira - LAAC - Région Auvergne Rhône Alpes - CNC -

Les Lumières de la ville

Un an et demi après le "Elvis" de Baz Luhrmann (2022), Sofia Coppola met un coup de projecteur sur l’ancienne épouse du King, Priscilla Beaulieu-Presley. Si le premier proposait un biopic pur et simple sur Elvis Presley, la deuxième nous fait entrer dans la vie intime de la star, mais surtout de celle qui était connue comme « la femme de… ». Alors, que vaut ce neuvième long-métrage de « la fille de… » ? La réponse dans ce podcast !

"Priscilla" : le « Marie-Antoinette » version 60’s de Sofia Coppola

Avec cet enregistrement, les éditions des femmes retournent aux sources en publiant un "livre parlant" de référence : "De la voix". Ce recueil de textes d'Antoinette Fouque sur les thèmes qu'elle a toute sa vie mis en travail - théorique et pratique, oral et écrit, lecture et écriture, corps et texte... - est l'occasion d'une nouvelle rencontre de voix. On y entend l'autrice-éditrice, enregistrée lors d'émissions et d'entretiens, ainsi que des lectures par des actrices amies : Fanny Ardant, Ariane Ascaride et Lio.
"Restituer le corps vocal, le corps chantant du texte, c'est redonner du corps au texte, du corps vivant, parlant, c'est rendre du texte au corps, c'est mettre en écho". Antoinette Fouque

De la voix

Puguan Français Part 1

Puguan Français Part 2

Le bar des naufragés

Une chanson un peu bancale, forçèment, dans laquelle j'avais voulu, il y a quelques années, raconter une histoire, façon chanson réaliste, mais avec un coté surréaliste aussi, dans certains passages de la musique.
Un peu comme si Jacques Brel était passé un soir de 67,  à Abbey Road, pendant les séances de " Sergent pepper"
Bref, une rencontre totalement improbable, 
Tellement improbable, que j'ai essayé quand même..
On peut toujours rêver  ;o)

Le bar des naufragés

                                                                                        
Au bout de la jetée, y‘a un endroit oublié
Un endroit appelé «le bar des naufragés »
On y va d’abord pour y traîner sa solitude 
Puis on y revient encore, juste par habitude

Quand  ça flanche à tribord, et qu’on a la vie rude
Que l’on pleure sur son sort, qu’on a la peur au ventre
Quand on pense à la mort, la seule certitude
C’est qu’on sait quand on y rentre, jamais quand on en sort

Et une fois dedans, ça fait la buée aux lunettes
Puis ça sent l’omelette, ça sent jamais rien chez soi
Il y a là entassé, toute la faune locale
Des casquettes bien vissées, sur des gueules de bois
Des poissons qui tournent en rond,dans leur bocal
Qui arrivent à respirer, pas toujours, ou un peu, ou bien rien qu’une fois…..        

On se trouve une place, et on ne la choisit pas
On n’est pas venu là pour penser à son malheur
Et si on se trouve face àla glace, on s’retrouve face à soi
On s’dit que le temps passe, et on regarde ailleurs

Et devant le plat du jour, ou plutôt, le plat du soir
On oublie l’amour, on oublie le cafard
Et quand l’voisin d’assiette se coince une arête
On rie comme des lourds et ça devient presque la fête…

Et quand on est bien repu, et que le corps se tasse
On passe en revue tout ce qui nous lasse
Tout ce qu’on a fait, ou révé de faire
Y’a un autre qui l’a fait, ou révé de le faire

Un qui dit qu’c’etait bien, mais qu’il a pris des coups
Et l’autre qui est un vaurien, dit qu’ça vaut pas le coup
Qu’avant c’était quelqu’un de bien, mais qu’ça l’a rendu fou
Moi aussi, j’étais quelqu’un de bien, mais tout ça, ça fait beaucoup….


Et puis, à l’heure la plus tardive, y’en a une qui s’emmène
D’une pâleur maladive, une du genre âme en peine
Une pourtant pas vilaine, une même qui sent bon
Mais qui a du prendre des beignes, c’est écrit sur son front
                                                                                                                   
Elle nous dit que son homme s’est fait la paire
Avec une petite conne, une fille vulgaire
Et que, même s’il l’avait fourré sur le trottoir
Si depuis qu’elle l’connaît, elle s’était mise à boire
Elle l’aime à en crever, elle l’aime encore ce soir
Et elle lui pardonne,
Vu qu’c’etait son homme…



Alors je suis sorti du café
Et une fois dans la rue
J’ai bien remonté l’col de mon pardessus
Et puis j’ai pensé
En longeant la plage
Dommage,
Qu’elle ait pleuré

The bar of the castaways

A little bit rickety song, forçèment, in which I had wanted, a few years ago, to tell a story, a way realistic song, but with highly-rated one surrealist one also, in certain passages of music.
A little as if Jacques Brel had passed one evening of 67, to Abbey Road, during the sessions of "Sergeant pepper" Brief, a totally improbable meeting, 
So improbable, that I tried all the same ..
We can always dream; o)

Les Lumières de la ville

Sylvie Pardon - Narration et Voix off

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