Ich schreibe gerade an meinem neuen Musical "Katilein!" und stelle regelmäßig Samples aus diesem ein. Dann kennt ihr schon mal alle handelnden Personen. Ich schreibe auch immer was dazu. Es wird ein modernes und ein bisschen verrücktes Rock-Musical. Hört immer mal rein und freut Euch auf die Premiere.

I'm currently writing my new musical "Katilein!" and regularly upload samples from it. Then you already know all the people involved. I always write something about it too. It will be a modern and a bit crazy rock musical. Always listen and look forward to the premiere..

Echos der Befehle (2. Aria by Katilein - Sample recording from the Musical "Katilein!")

Die Fledermaus - De Nationale Opera | Nationale Opera & Ballet

Die Fledermaus - De Nationale Opera

Franz Lehár - The Merry Widow - Die lustige Witwe - Operetta in three acts (1905)
Libretto by Viktor Léon and Leo Stein
Hannah Glawari - Camila Titinger
Count Danilo Danilovitsch, First Secretary of the Pontevedrin embassy and Hanna's former lover -  Rodrigo Esteves
Baron Mirko Zeta, the Ambassador - Sandro Christopher
Valencienne, Baron Zeta's wife - Lina Mendes
Camille, Count de Rosillon, French attaché to the embassy, the Baroness's admirer -  Anibal Mancini
Raoul de St Brioche, French diplomat -  Caio Duran
Vicomte Cascada, Latin diplomat - Johnny França
Bogdanovitch, Pontevedrin consul - David Marcondes
Sylviane, Bogdanovitch's wife - Edna d’Oliveira
Kromow, Pontevedrin embassy counsellor - Marcio Marangon
Olga, Kromow's wife - Andreia Souza
Conductor - Alessandro Sangiorgi
Orquestra Sinfônica Municipal
Coro Lírico
Live recording - Theatro Municipal de São Paulo -São Paulo SP - Brazil - November 15th 2019
Illustration - Philip Alexius de Laszlo

Franz Lehár - The Merry Widow - Titinger - Esteves - Sangiorgi - 2024

De temps en temps il y'a le siffleur des montagnes qui me rend visite. J'ai écrit cette musique à partir de son chant. Orchestre et chant interprétés par l'IA.

Le siffleur des montagnes

Nach einem Gedicht von Ludwig Bäumer (Geboren 1.9.1888 in Melle, gestorben 29.8.1928 in Berlin; Student, Schriftsteller, Kriegsteilnehmer.)

Uns ist keine Wiederkehr gesegnet und unserm
Weinen kein Amen
zärtlicher Munde, die einmal vor Süße brachen.

Wir sind längst mehr als dreimal verleugnet. 
In unseren Gebärden
fielen alle Sehnsüchte zusammen, alle die waren
in unsern Müttern und Vätern. Wir stehn vor
unsern Bahren
und fangen Tode auf, damit wir zu Ende werden.

Denn das ist unser Sinn: Wir sind Kinder einer
Zucht ohne das Sträuben
von Kindern gegen ihre Zucht. Stärkelos! Wir
haben die Augen
die im eigenen Gehirn wühlen und Schmerzen
saugen. 

Wir sind längst mehr als dreimal verleugnet
und müssen mehr als einen Gott betäuben.

Uns ist keine Wiederkehr gesegnet und unserm
Weinen kein Amen
zärtlicher Munde, die einmal vor Süße brachen.

Unsere Mütter versagten,
die uns beklagten:
Wir staunen über die, die den Weg der Mütter kamen.
Und das verlässt uns nicht. – Vielleicht wenn
wir einmal wissen,
dass wir Kinder des Irrtums sind und darum Unverzeihliche der Zeit. 

Vielleicht dann … Was? … Stärkelos …
Und viele fielen, und wir sehnen uns in reine Kissen.

Akt II Szene 3 Part 4 Dämmerung im Graben

Tassilo

Titel operette:
“De Dans der Draaikonten – een vaderlandse operette in vijf leugens”

Personages (voor de ouverture):

    Mevrouw Jesselus – sopraan, draait met flair

    De Brekelman – bariton, vermoeid maar vastbesloten

    De Verteller – tenor, cynisch en vlijmscherp

    Het Koor van Het Volk – zingt in mineur, stemt in majeur


🎼 Acte I – Het Grote Verliesbal
(op de melodie van een wals)

Jesselus (solo, met opgeheven vingertje):

“Ik sloot geen kiezer uit, geen partij,
Maar de uitslag sloeg me uit het rijtje erbij.
De fout, ach ja, een strategisch iets –
Wie alles openlaat, belandt op niets.”

Koor van Het Volk (spottend):

“Ze sprak voor een brug die nooit werd gebouwd,
Met woorden zo vaag, dat niemand haar vertrouwde.
En Wilders, die keek, en lachte minzaam:
‘Ach, als zij draait, dan neem ik het aan.’”

🎼 Acte II – Brutus in de Senaat
(begeleid door staccato strijkers)

Verteller (dramatisch):

“En daar was hij dan, de blonde Brutus,
Met zijn mes in het kabinet, zo zoet en knus.
Hij riep: ‘Voor het volk!’ en blies het op,
Terwijl hij stiekem zijn spiegel opstak tot zijn kop.”

Brekelman (verdedigend):

“Wij zijn niet verkeerd, slechts zoekend, vermoeid.
Ons kompas? Dat draait, maar nooit echt geboeid.
Klimaat? Dat was D66 hun klus.
En ja, Wilders... die krijgt toch de plus.”

🎼 Acte III – Het Danspaleis der Draaiingen
(lichte mazurka, dames dansen met draaiende jurken)

Jesselus & Brekelman (duet):

“We dansen met principes, licht als veren,
Vandaag dit, morgen dat, wie zal ons beweren?
Want fatsoen is elastiek, rekt met de tijd,
Tot niemand nog weet wat men eigenlijk strijdt.”

Koor van Het Volk (gelaten):

“Ze dansen, ze draaien, ze wijzen, ze spreken,
En ondertussen blijft het land gebreken.
Maar ach, zolang ze zingen, zolang ze glimlachen,
Zullen wij wel weer onze boontjes afbakken.”

🎼 Acte IV – De Grote Spagaat
(trage aria vol dissonanten)

Jesselus (met gebroken stem):

“Timmermans is ver van mij vandaan,
Maar toch... een normale man in het bestaan.
Wilders? Geen partij, geen lijst, slechts ik,
Maar hij laat me dromen van electoraal geluk.”

Verteller (ironisch):

“Zo gaat dat dus, in het polderbalet:
Eerst zeg je ‘nooit’, dan wordt het ‘misschien net’.
En als de kiezer vraagt: ‘Wat betekent dit?’
Dan fluistert men: ‘Wacht tot het echt begint.’”

🎼 Finale – De Val en de Vlucht
(bombastisch met koperblazers, vuurwerk, confetti)

Het hele gezelschap (unisono):

“Stemmen we op een toekomst of een façade?
Kiezen we visie of toch weer een parade?
Wie draait het mooist, wie zwijgt het best?
Het volk kijkt toe – en doet de rest.”
Thought Provoking

Thought Provoking
1:55
4:00


Thought Provoking

Arie des Grafen - Der Wildschütz (Lortzing)

Das Fischermädchen - Schwanengesang (F. Schubert)

🎵 Un idiot vous salue…
  
Mesdames, messieurs, voici l’innocent !  
Un saint tout neuf, un ange mal prudent.  
Il tend la joue, il tend la main,  
Alors qu’on lui vole déjà son pain.

Ils rient du saint, le prennent pour un clown,  
Un cœur trop pur, ça fait tâche dans le salon.  
La vertu, c’est joli… mais ça rapporte rien,  
Mieux vaut tricher, séduire, poignarder son voisin.
 
Regardez-le ! Qu’il est charmant !  
Un peu benêt… mais attendrissant.  
Et pendant qu’il rêve à sauver le monde,  
On lui pique ses sous, on lui roule dans l’ombre.

Ah ! Ah ! Dans ce monde brillant de miroirs cassés,  
L’idiot est roi, la bonté disqualifiée.  
On vend l’amour, on mise la vérité,  
Et la compassion ? Pfff… quelle absurdité !

Ah ! Ah ! Mesdames, messieurs, quel joli festin :  
L’idiot trinque, et les malins boivent son vin.  
La bonté ? Un costume de carnaval,  
Qu’on applaudit… avant de jeter aux ordures municipales !

L’amour ? Parlons-en, tiens, quelle farce !  
Un bal de jaloux, de vautours qui s’embrassent.  
On dit passion, ça sent la fumée,  
Ça finit souvent au couteau dans l’allée.

L’amour dévore, jalouse et puis détruit,  
On crie passion, mais c’est juste un appétit.  
Les saints se taisent, les salauds font carrière,  
À quoi bon pardonner quand le vice est populaire ?

Regardez-les ! Qu’ils sont fervents !  
Ils s’aiment à mort, oui, littéralement.  
Et pendant qu’on pleure sur la tragédie,  
Les banquiers encaissent, et tout le monde applaudit.

Ah ! Ah ! Dans ce cirque aux allures de bal masqué,  
L’idiot est roi, le juste relégué.  
On sacre l’orgueil, on prie l’hypocrisie,  
Et la tendresse ? Bah ! C’est pour les maudits.

Ah ! Ah ! Mesdames, messieurs, quel joli festin :  
L’idiot s’écroule, et les salauds mangent son pain.  
La vérité ? Un rideau de cabaret,  
Qu’on lève en riant, pour mieux la piétiner !

Folie ou sagesse ? Personne ne sait.  
Mais mieux vaut un poignard qu’un trop grand respect.  
Faut pas rêver, mes bons amis !  
Dans ce monde-là, la sainteté, ça paye pas.  
L’innocence, c’est une dette…  
Et la compassion, un gag de province !  
Non, non, non ! On préfère le cynisme chic,  
Le mensonge qui brille, et la bêtise en musique !

Ah ! Ah ! Dans ce monde où la vérité fait peur,  
L’idiot est roi, le cynique empereur.  
On brûle l’innocence, on s’agenouille au fracas,  
Et l’amour pur… personne n’en veut, voilà !

Ah ! Ah ! Mesdames, messieurs, on s’incline enfin :  
L’idiot vous salue, et le diable verse le vin.  
La vertu ? Un numéro de cirque bancal…  
Mesdames, messieurs… applaudissez le scandale !


Allez, riez, mesdames… souriez, messieurs,  
La farce est finie, le rideau est en feu.  
Les bons ont perdu, les lâches ont gagné,  
Et les poètes ? Bah, ils sont tous renvoyés.

Le monde est un bal, un carnaval de verre,  
Où l’on danse en talons sur des rêves en poussière.  
On embrasse l’ombre, on crache sur la lumière,  
On célèbre les rois… aux cœurs de pierre.
 
Et moi, l’idiot, je vous salue bien bas,  
Avec mes chansons pleines de faux débats.  
J’ai cru qu’un mot pouvait changer le décor…  
Mais les mots tombent, comme des corps.
 
Pardon, pardon d’avoir cru encore,  
Qu’un peu de beauté survivrait aux morts.  
Pardon d’avoir tendu la main — quelle erreur…  
Elle s’est refermée… sur la peur.
 
Alors santé ! Mes bons amis !  
Trinquons au mal, au vide, à l’oubli.  
Et si jamais l’amour frappe à votre porte…  
Dites-lui d’aller se faire foutre, c’est plus sûr… pour votre confort.

🎵 Un idiot… vous salue… et se tire.

Un idiot vous salue

PANKRAN WEERS

Je suis ce doux fantôme en coin,  
Muet au milieu des refrains,  
Tandis que vous chantez les vertus du vin  
Et des potins bourgeois du matin.  

Votre gaieté ? Un peu forcée…  

Mais moi, je vois sous vos œillades  
Les fêlures de vos mascarades.  
]
Je me tais, mes amis, car je vous entends trop,  
Vos silences crient plus fort que vos mots.  
Je me tais, c’est un acte d’amour raffiné,
Je vous laisse mentir en paix, quel respect exquis, n’est-ce pas ?  
(Oh mais oui… ne me remerciez pas.)

Je capte un soupir dissimulé,  
Une main qui tremble sous l’argenterie,  
Et dans vos rires, un air troublé,  
Le vernis craque sous la courtoisie.

La lucidité, mes chers convives,  
Est un don… que vous trouvez "passif-agressif".  
Mais c’est l’œil qui voit les fils des pantins  
Pendant que vous dansez sur vos refrains.

Oh, vous me trouvez distant ? Glacial ?  
C’est drôle, j’appelle ça : "ne pas devenir bancal".

Je me tais, car parler, voyez-vous,  
C’est risquer de devenir comme vous.  
Je me tais pour ne pas vous voler la scène,  
Je vous laisse briller dans vos peines sereines.  
(Quelle grâce, ces tragédies en porcelaine…)

Vous dites : "Mais exprime-toi donc un peu !"  
Très bien. Je vois vos vies comme des feux  
De Bengale : ça crépite, ça s’agite — puis pffuit.  
Moi ? Je suis la bougie. Discrète. Mais je luis.

Je ne fuis pas. Je m’économise.  
Chaque mot donné est une crise.  
Car ressentir tout, tout le temps, c’est un vice  
Que je soigne avec… un soupçon de malice.

Je ne m’éteins pas, je me concentre.  
Je ne vous fuis pas, je vous contemple.  
Du haut de mon silence choisi,  
J'observe l’humanité… et je ris.

Je me tais, car je suis l’empathie qui pense,  
Pas celle qui s’effondre en révérence.  
Je me tais, car parler serait trahir,  
Et dans vos bals de masques, moi, je préfère…   
Dormir.

…Ou du moins, ne pas applaudir.

Empathie silencieuse M

Empathie silencieuse F

This song is for everyone who wants to have its own backing Portal to be alone for a while.

Fuga Dentro Me

"Donnez-moi un bon orchestre et j’irai à la conquête du Monde".
Je suis auteur compositeur musicien. Je m'applique dans l’écriture et la composition en y mettant toute mon âme. Je joue avec les notes, je joue avec les mots.
Au fur et à mesure des années, j’avais tout laissé au fond d’un tiroir. 
 Maintenant, je destine mes morceaux à des interprètes ou maisons de disques qui seraient intéressés. Si vous êtes touchés par mes compositions, n’hésitez pas à me soutenir dans cette nouvelle aventure en les partageant un maximum.
YouTube https://www.youtube.com/@marcachy2251

Ich verbinde künstlerische Vision mit innovativer KI-Technologie. Meine Werke erforschen hybride Klangwelten durch Algorithmen, die kreative Grenzen erweitern und neue Genre-Synthesen ermöglichen. Dabei nutze ich KI als Werkzeug zur Effizienzsteigerung und Klangexperimentation – stets mit Fokus auf menschlicher Kuratierung. Ich versuche zugängliche, alltagstaugliche und zukunftsfähige Musik zu gestalten und freue mich über Eure Unterstützung bei diesem tollen Projekt.

I merge artistic vision with innovative AI technology. My works explore hybrid soundscapes through algorithms that expand creative boundaries and enable new genre syntheses. Here, I utilize AI as a tool for efficiency enhancement and sonic experimentation – always with a focus on human curation. I strive to create accessible, practical, and future-proofed music, and welcome your support on this exciting journey.

I want to show the World, that AI generated Songs can be good!
Ich will der Welt zeigen, dass KI generierte Lieder gut sein können!

Born in Castellón, Spain, lyrical baritone Javier Llidó studied music and classical singing at conservatories in Zaragoza and Valencia. He took vocal lessons from 1995-2021 with "maestro" José Cuéllar, continuing with Berthold Kogut from 1999 to 2003. From 2015 until now, he has studied with Marion Koch in Berlin. Since 2023, he has taken master classes with Vicente Ombuena.

At the start of his singing career in 2006, he participated in the international singing competition "Ciudad de Logroño". Javier studied stage acting at Canteatro-Berlin from 2008 to 2010. Since then, he has given numerous concerts and stage appearances throughout Berlin, Brandenburg and Spain.

During this time he has also recorded 16 full albums  including duets with sopranists Nerea Benavent, Sandra Mínguez, Angelina Billington and tenor Vicente Ombuena.

He sings baritone regularly with pianists such as José Madrid, Richard Doren, Inkyung Hilgert, Sean Barker, Kelly Wyse and Maria Schella.

Bookings only privat! Contact here or follow Instagram or Facebook link 

¡Shpiln di griln tantsn di vantsn!
The emptiness of various Corona lockdowns made Focke the Fockmaster. Musically, he tried out various styles to end up where everything once ended. Techno. 
With classical eight-year music training on the cello, pubescent excursions into New Wave music, everything followed a logic at the end of the 90s. Techno.

¡Shpiln di griln tantsn di vantsn!
Die Leere diverser Corona-Lockdowns machte Focke zum Fockmaster. Musikalisch probierte er sich stilistisch divers aus, um am Ende dorthin zu gelangen, wo alles einst endete. Techno. 
Mit klassischer achtjähriger Musikausbildung am Violoncello, pubertären Ausflügen in die New Wave Musik folgte Ende der 90er Jahre alles einer Logik. Techno.

Indescriptible

À travers des paysages musicaux ou des murmures d'espoir évoquant l'avènement d'un Nouveau Monde, j'explore la nature humaine au fil de mes expériences et perceptions, ouvrant ainsi une fenêtre sensible et généreuse sur l'immensité de notre univers.

Mes textes en français tracent le chemin subtil d'une transition des âmes, guidant l'humanité vers un Nouveau Monde, un paradigme où l'équité, l'harmonie avec la nature et la collaboration sincère deviennent les fondations d'une existence renouvelée.

Mes compositions musicales dessinent l'harmonie d'un projet philosophique, esquissant en notes délicates l'avenir de notre nature profonde et de notre univers infini, là où Nature, Science et Culture sociale s'unissent en un seul chant.

Au plaisir de partager l'épanouissement de vos émotions et l'accomplissement serein de vos espoirs.  

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Through musical landscapes or murmurs of hope evoking the advent of a New World, I explore human nature through my experiences and perceptions, thus opening a sensitive and generous window onto the immensity of our universe.

My French texts trace the subtle path of a transition of souls, guiding humanity towards a New World, a paradigm where equity, harmony with nature and sincere collaboration become the foundations of a renewed existence.

My musical compositions draw the harmony of a philosophical project, sketching in delicate notes the future of our deep nature and our infinite universe, where Nature, Science and Social Culture unite in a single song.

I look forward to sharing the blossoming of your emotions and the serene fulfillment of your hopes.

Dutch National Opera & Ballet creates, produces and presents both traditional and innovative opera and ballet productions of the highest quality.

Yo, yo, Freek in de building 
full video here https://www.youtube.com/watch?v=n6ADCa462_o
Virtual Jam Sessions Freestyle World @freek-banning-freestyle
Geen filter, geen MTV-shit
Allemaal nep, bro, luister goed!

[Hook]
🎵
Ze willen bling, midgets in de clip, bro (clip, bro)
TikTok dansjes, money in de zip, yo (zip, yo)
Ik zeg: fuck dat, ik doe m’n eigen ding (ding)
Freek Banning, snackcorner, ik ben de King!
🎵

[Verse 1]
Yo, de label zei: “Freek, doe wat MTV wil”
Ik zei: “Fok die shit, ik maak beats in m’n chill”
Iedereen wil fame, drugs en groupies in leer
Ik wil kroketten bij het tankstation om de hoek hier
(Snackcorner Love, yeah, die hit!)

Ze vragen: “Wie is jouw invloed, Freek?”
Ik zeg: “Mijn oma, en de kassajuf bij de supermarkt naast de kerk”
Iedereen doet raar met sciencefiction-haar
Ik rock gewoon m’n hoodie, oldschool klaar

[Hook]
🎵
Ze willen bling, midgets in de clip, bro (clip, bro)
TikTok dansjes, money in de zip, yo (zip, yo)
Ik zeg: fuck dat, ik doe m’n eigen ding (ding)
Freek Banning, snackcorner, ik ben de King!
🎵

[Verse 2]
MTV is reclame, muziek is nu een product
Labels pushen zangers met de looks, niet met de hooks
Ik kom met Rutte in Uniform op een beat zo fel
Terwijl jij playbackt in je clip met nep Chanel

Ze willen girl in de Lambo, boy in de club
Ik wil bitterballen in de regen bij de snackbar-pub
Zij willen trends, ik wil gewoon wat echt is
Ik ben progressief: alles wat geen prefab hit is

[Bridge – Gesproken, maar ritmisch]
Ze zeiden: “Freek, je moet veranderen”
Ik zei: “Waarom?”
Ze: “Je moet midgets in je video”
Ik: “Bro, ik heb geen midgets, ik heb vrienden, en een microfoon”

[Hook]
🎵
Ze willen bling, midgets in de clip, bro (clip, bro)
TikTok dansjes, money in de zip, yo (zip, yo)
Ik zeg: fuck dat, ik doe m’n eigen ding (ding)
Freek Banning, snackcorner, ik ben de King!
🎵

[Verse 3]
Alles is fake, man, niemand speelt live
Iedereen dezelfde beat, dezelfde vibe
Maar ik improviseer, elke show uniek
Mijn solo’s zijn freestyle, net als mijn kritiek

Ik maak muziek voor die mensen die snappen
Niet voor de massa die gewoon wil klappen
Dus fuck je filters, fuck je algoritme
Freek doet oldschool, tot de laatste snik, man!

[Outro]
Ja, marketing is de nieuwe muziek
Maar ik ben nog steeds die guy met de rauwe kritiek
Geen bling, geen bullshit, geen label chain
Freek Banning forever, onthoud die name! my Reddit page is here https://www.reddit.com/user/freekbanning/

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