
🌟Vous avez peut-être en tête des histoires de familles royales ou princières 👸 qui mettaient une pression énorme sur leurs membres pour produire des enfants 👶 : pour assurer la LIGNEE!
👉 Un petit exemple dans cet épisode avec en particulier la mère de Marie-Antoinette : l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, mère de 16 enfants, tout de même 💪


⁉️ Et qu'en était-il dans les classes plus modestes ?
👨‍👩‍👧‍👦 Et bien, les démographes ont relevé des comportements différents des couples selon 2 grandes régions Nord de la Loire ⚡ Sud de la Loire 
au Nord : l'héritage était partagé de façon égalitaire entre garçons et filles
au Sud : il était concentré sur le 1er enfant mâle


⏳ "Ancien temps!" me direz-vous! 
🕙 Et dans notre temps actuel? visiblement cette distinction a continué d'impacter le nombre d'enfant des couples encore dans les années 1980


Ca c'est pour la lignée côté héritage 💰, je pressens aussi l'existence d'une lignée plus personnelle, psychologique, affective 💕entre les générations mais il faudra un autre épisode pour en parler!


🚀Voilà donc un voyage dans le temps regarder notre présent : ferait-on des enfants pour la lignée familiale??


🤓 Nos sources : "Le pouvoir au féminin" d'Elisabeth Badinter (Flamarion) + "La vie sous l'Ancien régime" d'Agnès Walch (Perrin) + "Histoire de la population française" sous la dir. de Jacques Dupâquier (Puf)


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Des enfants pour la lignée?


⚡ Tout simplement l'intro du podcast pour ceux qui veulent savoir de quoi on parle ici en 45 secondes 😉
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Intro du podcast


⚡Episode 6 - Des enfants pour la guerre? cf. les Français au XIXe siècle.


🛡️Bien sûr, le poids démographique des armées a un impact majeur sur les victoires ✌️ ou les défaites.


Alors, fait-on (ou a-t-on fait) des enfants pour préparer une guerre ⚔️?


👉Au XIXe siècle, après la cuisante défaite de la France face à la Prusse (1871), il en fut question.


Alors, les Français ont-ils fait des enfants pour préparer la prochaine guerre avec l'Allemagne (1914)?


🎧Je vous laisse découvrir!... sur https://smartlink.ausha.co/des-enfants-pour-quoi


📕Notre source : Histoire de la population française, tome 3 De 1789 à 1914, sous la direction de Jacques Dupâquier, éditions PUF
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Des enfants pour la guerre?


⚡Ferait-on des enfants pour hériter ⁉️


Non pas pour transmettre un héritage, mais pour hériter soi-même?


👉Ce fut le cas en Europe, dans l'Empire romain!


🎧 Dans ce nouvel épisode, c'est aussi l'occasion de découvrir les mœurs des Romains en matière de natalité et de contrôle des naissances (âmes sensibles, s'abstenir!)


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Des enfants pour hériter?


👉Avez-vous déjà envisagé un enfant comme une plante 🌱 à choyer, à cultiver par ses parents, afin de l'amener vers un état de plénitude 🌳?
Dans la culture chinoise 🐉, il semble que ce soit la vision des enfants et du devoir de leurs parents.
Dans cet épisode, je vous propose un voyage en Chine 🇨🇳 et sa façon bien particulière de concevoir les enfants, de la grossesse à l'éducation, à la fois lointaine et proche des cultures occidentales.


Merci à notre référence pour cet épisode : "Au pays des enfants rares. La chine vers une catastrophe démographique" d'Isabelle Attané, libraire Arthème Fayard.


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Des enfants comme plante à cultiver?


👉Un voyage dans le temps : au XIXe siècle, les ouvriers en France 👨‍🏭 avaient une fécondité bien plus haute que celle des paysans et des bourgeois.
Ceux-ci jugeaient d'ailleurs avec sévérité les ouvriers les blâmant de mettre au monde des enfants qu'ils ne sauraient nourrir. Les ouvriers étaient taxés d'irresponsabilité.
⚡ Pourtant, était-ce réellement irresponsable pour des ouvriers français d'avoir une famille nombreuse? 
Leurs conditions économiques et sociales faisaient-elles du choix d'une grande fécondité un choix rationnel?
Bref, dans certaines circonstances, peut-on faire des enfants pour l'argent?
Et quels sont les changements qui mènent à ne plus faire d'enfants pour des raisons économiques?
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Des enfants pour l'argent?


Ferait-on des enfants pour les morts?
Dans cet épisode, on voyage dans d'autres cultures, non occidentales, notamment africaines. 
Ainsi, pour certaines cultures d'Afrique subsaharienne, les âmes des morts jouent un rôle déterminant dans la conception des êtres humains.
Parfois, c'est seulement après avoir eu de son vivant, ou après, un certain nombre de descendants que l'âme peut atteindre le statut d'ancêtre, statut enviable.
Alors oui, sous certains cieux, le rôle des morts est central et assumé comme tel!
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Des enfants pour les morts?

Rapports amoureux compliqués, libido en baisse, natalité et fertilité en berne, rien ne va plus en Europe. Les rapports entre hommes et femmes, y compris et surtout sur le terrain de la sexualité, sont fragilisés dans leur capacité à donner forme à une vie harmonieuse et à permettre, par-là même, le renouvellement des générations.

Cette récession sexuelle est le fruit d’une mutation et d’un déclin anthropologique sans précédent dans un Occident où les cadres traditionnels, les corps intermédiaires, les repères symboliques ne cessent de passer sous le rouleau compresseur du système de la marchandise et de la société managériale. Les nouvelles générations sont prises en tenaille entre, d’une part, une insécurité sociale et culturelle grandissante sur fond de déstabilisation des institutions qui codifient, traditionnellement, le rapport aux corps, et, d’autre part, l’omniprésence de discours transposant la vieille lutte des classes sous la forme d’une dialectique de la confrontation des sexes.  

C’est dans ce climat délétère, de perte de confiance en soi, de vide spirituel et de défiance pour les rapports charnels ou le plaisir réel, que la jeunesse européenne doit désormais trouver sa voie, assumer des rôles bien définis et tenter de s’épanouir.

Et, si elle est lâchée seule dans la guerre libérale du tous contre tous, elle ne peut pas compter non plus sur l’État nounou qui, à rebours du bon sens le plus élémentaire, laisse l’influence des nouveaux médias dénaturer une sexualité de plus en plus précoce et se contente de proposer des cours d’éducation sexuelle à des cerveaux encore immatures émotionnellement et déjà peuplés des images les plus dégradantes.

En prenant en compte la réalité des nouvelles sociologies, des nouveaux moyens de rencontres amoureux ou de fonder son foyer, le libre journal Vive la Civilisation européenne se propose de faire un état des lieux critique de la sexualité des Européens et d’esquisser les voies à explorer pour résoudre cette crise de fond. 

Pour en discuter, nous recevons Catherine Jongen, Floriane Jeannin et Hubert Calmettes.

Vous pourrez retrouver les chroniques des auditeurs de l’Iliade :
•  "Perspectives identitaires" de Raphaël Ayma, activiste provençal et auditeur de la promotion Frédéric Mistral de l’Institut Iliade.
•  Autour d'un vers, le rendez-vous poétique de Frédérique de Saint-Quio, auditrice de la promotion Homère.
•  Les chroniques musicales de Pierre Leprince, auditeur de la promotion Patrick Pearse de l’Iliade.
•  La boussole artistique de Gabrielle Fouquet, auditrice de la promotion Homère.

Écouter sur rc.fr

Sexualité. L’Europe en récession - Radio Courtoisie - 14/04/2025

Dans ce nouvel épisode du podcast Ipsos bva « À CONTRE/TEMPS », Youmna Ovazza, Partner Ipsos Strategy3, reçoit Maxime Sbaihi, économiste et directeur stratégique du Club Landoy, expert associé à l’Institut Montaigne, pour une discussion passionnante sur le recul de la natalité en France et ses conséquences économiques, sociales et politiques.

Pourquoi faisons-nous de moins en moins d’enfants ? Quelles en sont les causes économiques, culturelles et structurelles ? Mais surtout, quels impacts concrets cette transition démographique aura-t-elle sur notre société, nos entreprises et notre modèle social ?

Au fil de la conversation, Maxime Sbaihi revient sur :
- Le croisement inédit entre baisse de la natalité et vieillissement de la population, qui redessine en profondeur la pyramide des âges ;
- Les freins économiques et sociaux à la fécondité : crise du logement, stagnation du pouvoir d’achat, difficultés de garde d’enfants ;
- Les tensions sur le marché du travail, la question du financement des retraites et la transformation du rapport au travail ;
- Les trois voies possibles face à la dénatalité : les bébés, les immigrés… ou les robots.

Un épisode essentiel pour comprendre comment la question démographique, reléguée au second plan, est en train de devenir l’un des enjeux centraux de l’avenir de la société française.


À CONTRE/TEMPS - Episode #6 - Dénatalité et vieillissement : quel impact pour la société française ?

À l’occasion de la Journée mondiale des missions, l’Agence Fides a publié les statistiques mondiales de l’Église catholique pour 2023. Certes, ces chiffres accusent le léger décalage inévitable du temps nécessaire à leur collecte, mais ils demeurent d’une valeur inestimable pour comprendre les grands équilibres religieux et démographiques de notre monde. Nous vous proposons ici une mise à jour éclairante, pour mieux saisir les défis et les promesses de notre époque.
https://www.serviceproinfo.fr/analyse-decryptage/article/demographie-mondiale-et-demographie-religieuse-reperes-et-enjeux

Démographie mondiale et religieuse

À CONTRE/TEMPS, c'est le podcast d'Ipsos bva. L'objectif ? Aller contre l'injonction de vitesse permanente et prendre le temps, avec nos invités, d'analyser un sujet pour mieux comprendre ses implications à tous les niveaux de la société et donner aux marques et aux institutions les clés pour naviguer dans un monde en constante évolution.

Un podcast qui se demande pourquoi les gens ont-ils des enfants?

Les citoyens actuels de l’Europe mésestiment le rôle joué par leur civilisation dans l’histoire du monde. Cet effacement mémoriel anticipe l’acceptation d’une disparition collective.

Refusant une telle extinction, l’Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne entend œuvrer à l’affirmation de la richesse culturelle de l’Europe et à la réappropriation de leur identité par les Européens.

Par cette initiative, nous entendons participer de manière originale, novatrice et la plus décisive possible à un effort plus général – et impérieux : le réveil de la conscience européenne.

Concrètement, l’Institut ILIADE se donne pour vocation la transmission de la longue mémoire européenne.
Cette volonté de transmission passe par des actions de formation, de réflexion, d’information et de communication, afin de faire partager au plus grand nombre l’histoire et la mémoire de la civilisation européenne.

L’Institut traite de l’ensemble des aspects de la civilisation européenne, en insistant sur sa singularité, sa grandeur et son attrait toujours actuel. Il s’agit de fournir du sens et des repères, en particulier aux jeunes générations d’Européens qui seront confrontés aux conséquences vraisemblablement tragiques des événements en cours.

La vocation principale de l’Institut ILIADE est en effet de former des jeunes hommes et des jeunes femmes soucieux de leur histoire toujours à construire. Armés d’une forte culture relative aux traditions et aux valeurs européennes, ils apprennent à discerner ce que l’aventure qui les attend suppose de risques et d’abnégation, mais aussi d’enthousiasme et de joie. Ils sont les animateurs du nécessaire réveil européen, capables de donner à l’action civique ou politique la dimension culturelle et métapolitique indispensable. Leur mot d’ordre : se mettre au service d’une communauté de destin, qui risque de disparaître si elle ne se prend pas en main.

Dans la continuité de la pensée et de l’action de Dominique Venner, une place essentielle est accordée à l’histoire, à la fois matrice d’une méditation profonde de l’à-venir et lieu de l’imprévu, où tout reste donc possible.

L’originalité de l’ILIADE est, notamment par un travail de reformulation et d’actualisation des connaissances, d’allier le sérieux des contenus à leur facilité d’appréhension par le grand public, en particulier par l’usage du numérique. L’objectif est de faire preuve d’une authentique pédagogie, et d’agir en complémentarité ou en soutien des autres initiatives visant les mêmes objectifs.

L’Institut ILIADE s’attache fondamentalement à diffuser une vue du monde en rupture avec le moment mortifère que nous connaissons aujourd’hui, ainsi qu’une attitude d’insoumission à l’égard de la pensée conforme, et ce par tous les moyens disponibles (communication virale, livres, presse, formation, organisation de manifestations et d’activités culturelles, constitution et animation de réseaux…). 

Le Service pour les Professionnels de l’Information est un service du diocèse de Paris, créé à l’initiative de Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, en septembre 2018. Il est un service d’analyses et d’informations religieuses. Il étudie les enjeux du traitement médiatique des questions spirituelles et religieuses et de la connaissance des traditions et des pratiques religieuses dans la société française.
Le S.P.I est avant tout un lieu de véritables rencontres et de formations dédiées aux journalistes et aux acteurs de l’information. Il souhaite leur permettre de mieux connaître la foi catholique, de mieux comprendre son rayonnement social, éducatif et culturel et de valoriser la vie spirituelle de toute personne.

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