en sachet ft yannis

Ce podcast vous emmène dans les coulisses de l'addiction à Saint-Josse. Deux professionnels de terrain racontent ce qu'ils voient, vivent et affrontent chaque jour. Plongez-vous au coeur de la commune et de son côté obscur...

Face à la drogue : Saint-Josse témoigne

Dans l’espace public, au coin d’une rue ou dans un parc, les éducateurs de rue tissent des liens là où tout semble rompu. Leur mission : créer du contact, de la confiance, parfois de l’espoir. Dans ce podcast, nous partons à leur rencontre pour comprendre leur rôle face à un fléau silencieux mais omniprésent : l’addiction.

Comment ces travailleurs de l’ombre accompagnent-ils celles et ceux que la société oublie ? Quels sont les défis quotidiens auxquels ils font face ? Et surtout, que peut-on apprendre de leur regard humain, lucide et engagé ?

Educateurs de rue : en première ligne face aux addictions

27 - (Reprise 21 - AYMCE)

La meuf (Techno party music)

🔥 Démons dans la tête – Vox - Topic 🔥

Plonge dans un univers intense où les luttes intérieures prennent vie.
"Démons dans la tête" explore les batailles mentales, les doutes et les peurs qui hantent notre esprit. Un morceau puissant, à la fois sombre et libérateur.

🎧 Écoute, ressens, et partage si tu as déjà affronté tes propres démons.
N’hésite pas à laisser un commentaire, à liker et à t’abonner pour ne rien manquer des prochaines sorties !

Vox Topic - Démons dans la tête

FROƵEN - H2L

J’écris des textes, c’est dans ma tête 
Moi j’ai l’love j’ai pas besoin de meth 
J’ai pas besoin de frozen pas besoin d’cigarette 
Maintenant les gars a 12 pige ils fument des J 
Ils disent « c’est parce que ça va pas bien dans ma vie »
C’est juste une excuse pour faire grand, mais en vrai ils sont petit 
Ils savent pas que après tu tombe en dépression 
Que ta l’impression de plus avoir de maison 

de plus avoir de maison
de plus avoir aucun repère 
T’as juste envie de te foutre en l’air   
Quand tu s’ras grand tu te diras « Mais pourquoi j’ai pris cette merde »
« J’aurais mieux fait d ‘écouter ce que disais mon père » 

T’aurais mieux fait d ‘écouter ce que disais ton père
Lui il avait raison, il avait une maison
T’aurais pas du écouter ce que disait t’es potes
« T’inquiète prend ça ira mieux »
Mais la vérité c’est que tu finira comme eux 
Sans âme, sans liberté, d’épandant de ce putain de joins  
Alors maintenant qu’il est encore temps, je te conseille vraiment d’arrêter ou tu finiras dans un caniveau comme ces junky, et ça je pense pas que tu ais envie.
(et ça je pense pas que tu ais envie)

(Ref)
J’ai pas besoin de frozen pas besoin d’cigarette 
Maintenant les gars 12 pige ils fument des J 
Ils disent « c’est parce que ça va pas bien dans ma vie »
C’est juste une excuse pour faire grand, mais en vrai ils sont petit 

T’aurais du mieux écouter ce que disais ton père
Lui il avait raison, il avait une maison
T’aurais pas du écouter ce que disait t’es potes
« T’inquiète prend ça t’ira mieux »
Mais la vérité c’est que tu finira comme eux 
J’ai pas besoin de frozen pas besoin d’cigarette  
T’aurais pas du écouter ce que disait t’es potes
(T’aurais pas du écouter ce que disait t’es potes)
(Yeah)
(T’aurais pas du écouter ce que disait t’es potes)

Tout droits revervé - 2025

FROƵEN (Prod. BlueMorgan)


À propos de la chanson
Dans le clair-obscur d'une chambre d’adolescent figée par l’absence, un père chante.
Il ne crie pas — il n’en a plus la force. Il murmure, il pleure en silence, il se souvient.
D’un premier joint, anodin en apparence, mais qui fut la clef d’une porte qu’on ne referme pas.
Il revoit ce soir maudit où tout a basculé, où l’innocence s’est dissoute dans la fumée.

Depuis, son fils n’est plus là.
Peut-être quelque part, errant.
Peut-être déjà loin, trop loin.
Alors il chante pour ne pas sombrer, pour garder un fil, un souffle.

Et à chaque refrain, la même question lancinante, comme un écho qui ne revient jamais :

"Tu es où quand t'es comme ça ?
Comment tu es quand t'en as pas ?"

Ce refrain n’attend pas de réponse — il la redoute autant qu’il l’espère.
C’est une chanson de deuil avant même que la mort ne vienne.
Un chant d’amour désarmé, pour un fils emporté par l’ombre.
Et dans le silence qui suit…
C’est toute la tendresse d’un père qui continue d’exister, là, suspendue entre deux mondes.

Ce satané soir -- Magnifique chanson sur la dépendance

Un banger brutal et sans concession qui plonge directement dans le cœur noir du bitume. Sur une prod lourde aux basses menaçantes et aux hi-hats tranchants, les couplets claquent comme des rafales de Kalash. Les lyrics, imprégnés de coke, de lean et de paranoïa, décrivent la réalité sans filtre d’un quotidien où chaque regard peut être fatal, où l’arme est plus fidèle que les proches, et où les billets s’empilent au rythme des risques pris.

Chaque punchline suinte la rue : transactions nocturnes, sirènes dans le lointain, chargeurs pleins, visages fermés. C’est une immersion frontale dans une zone où l’on vit vite, fort, et souvent trop court. Flow glaçant, ego blindé, et regard froid comme l’acier : ce son ne cherche pas l’approbation, il impose le respect.

COEUR DE PIERRE

Paroles/Lyrics :

(Ouais ouais)
(Ouais ouais)
(Ouais ouais)
(Ah ah)

Putain j’me fais arrêter encore, normal
Bonjour monsieur, bien sûr que j’prends d’la drogue
Oui, évidemment j’prends d’la drogue
Bonjour monsieur, j’prends tout c’qu’il faut (t'inquiète je prends ce qu'il faut)
Oui, j’prends d’la drogue, j’prends tout ce qu’il faut

Opium, mescaline, LSD (LSD)
Champis, codéine, THC (THC)
Kétamine sur lit de MD (5 MAPB)
DMT dans un thé glacé (DMT ouai)
Nitrites pour la nuit dorée
Speed dans mon café serré
Et prozac pour pas paniquer

Il a vu ma gueule, il a dit : "Encore une tox"
J’lui ai dit : "J’ai le teint des prophètes maudits."
J’ai la dégaine d’un musée chimique
Mais j’suis toujours debout, c’est ça l’esthétique
J’suis skinny, ouais, mais plein d’idéaux cosmiques
J’ai des trips qui brillent, j’suis un classique

Tout le temps il me parle de sevrage
Moi j’lui parle de dosage
J’fais mes balances comme un sage
J’suis pas accro, j’suis engagé (mdr)
C’est pas du vice, c’est du collage
Ma vie est floue, mais ça fait une image
T'inquiète je préfère la légèreté des méthaphores (forte)

Et j’aime trop quand tout devient flamme
Quand j’mets d'la Mmh dans mon infâme
Quand la mescaline me fait des drames
Et qu’j’oublie qu’on vit dans un programme
J’suis là, perché, en pleine trame
Toujours classe, toujours créative yeah

J’suis IloBliss, ILO B L I SSSSSSS ILOBLISS faut d’la chimie pour que le bonheur persiste
Les anges tombent, mais les damnés dansent, sous cacheton et feu d'artifice (ces moutons qui bêlent beeeee)
Mon cœur sature, alors j’dilue, dans des mélanges pas très catholiques
J’prends l’amour sous forme liquide, j’fais des prières dans des sons lyriques, romantiques

Le monde est froid, j’me réchauffe à l’intérieur
J’trouve la paix dans les vapeurs
Si t’appelles ça fuir, j’appelle ça survivre
J’ai tatoué mes douleurs sur des lignes ivres

J’mélange l’alchimie avec mes cris
J’écris des poèmes sous anxiolytiques
J’crée des mondes avec mes trips
Et j’te regarde droit sans filtre ni fric

(Ouais ouais)
(Ouais ouais)
(Ouais ouais)
(Ah ah)

Putain j’me fais arrêter encore, normal
Bonjour monsieur, bien sûr que j’prends d’la drogue
Oui, évidemment j’prends d’la drogue
Bonjour monsieur, j’prends tout c’qu’il faut
Oui, j’prends d’la drogue, j’prends tout ce qu’il faut

Opium, mescaline, LSD
Champis, codéine, THC
Kétamine sur lit de MD
DMT dans un thé glacé
Nitrites pour la nuit dorée
Speed dans mon café serré
Et prozac pour pas paniquer

Il a vu ma gueule, il a dit : "Encore une tox"
J’lui ai dit : "J’ai le teint des prophètes maudits."
J’ai la dégaine d’un musée chimique
Mais j’suis toujours debout, c’est ça l’esthétique
J’suis skinny, ouais, mais plein d’cosmiques
J’ai des trips qui brillent, j’suis un classique

Tout le temps il me parle de sevrage
Moi j’lui parle de dosage
J’fais mes balances comme un sage
J’suis pas accro, j’suis engagé (ahahaha)
C’est pas du vice, c’est du collage
Ma vie est floue, mais ça fait image, une image (, une image mmh)

Et j’aime trop quand tout devient flamme
Quand j’mets dl'a mmh dans mon infâme
Quand la mescaline me fait des drames
Et qu’j’oublie qu’on vit dans un programme
J’suis là, perché, en pleine trame
Toujours classe, toujours créative
C'est IloBliss tu peux juste REST IN PEACE
fuck you david (poliiiice)

28 - Alex Gray

𒄭𒇻𒁉𒇻𒅖
zi gu-la du₁₀ šu-nigin-na, gu šud i₃-li₂, eme-gi₇ u₃ eme-kal-la
kur gal-ta igi-bar-re, me-lam₂ e₂-an-na igi-zu
nam-tar-bi in-gar-ra, inim-zi-zu ki-du₁₀ inim-nigin-na
lu ki-nu₂-a šeš-e-ne in-gu₇, inim-ma e₂-a in-nigin
šid-zi in-du₁₀, lugal-la la-ba-an-šid, izi-ma du₁₀
dingir kur-nun-zi, ama-abzu e₂-mu-un-zig₃-ga
e₂-nigin-na šu-du₁₀, ki-an-ab, a-maš-a ga-an-sum
šid-inim-bi a-ga, zi-na-zu-ta e₃-a, inim-dam-zi-zu
gu-ba du₁₀ ki-bar-ra u₃ ki-ul, šid e₂-an-na u₃ a-gub
ti-la-ka igi-bar-re : maš-gi, ni-dul, šid-tuku, u₃ ki-še₃
kur-gi-na igi-zu : giš-ki, eme-dur, zi-ma-ra, me-ma
IloBliss e₂-an-na u₃ ki-gal im-du₁₀, šeš e₂-a e₂-gal

Jeune rappeur passionné, je partage mon univers entre rimes percutantes et émotions brutes. Ici, c'est 100% vibes authentiques — freestyle, clips et projets originaux. Abonne-toi pour suivre mon évolution ! 🎤🔥

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