I Can't Get You Off My Mind(Remastered)

If I Never See U Again(Remastered)

Girl in Red(Remastered)

Can I Die In Your Arms(Remastered)

Bad Girl(Remastered)

Priceless(Remastered)

Thousand Miles(Remastered)

"Take It Easy" is the sound of letting the fog lift. A soulful escape from the anxiety loop, it beckons you into a mental space where the noise can finally fall away. This is not about letting go of control, but claiming the only control that matters: the action of the present moment. Press play, breathe deep, and let the easy begin.

Take it easy

Ce morceau est une berceuse moderne, un chant de réconfort et de tendresse. Portée par une mélodie douce et enveloppante, la chanson parle de la présence inconditionnelle que l’on offre à quelqu’un qu’on aime profondément. À travers des images lumineuses — une étoile qui guide, une flamme qui rassure, un sourire qui illumine la vie — le texte évoque la force tranquille d’un lien qui protège et apaise.

Les paroles invitent à fermer les yeux pour retrouver un havre intérieur, un espace où la peur s’efface et où l’on n’est jamais vraiment seul. Le refrain, presque murmuré, est une promesse de soutien constant ; le pont souligne combien ce sentiment précieux est rare, souvent ignoré dans l’agitation du monde.

C’est une chanson intime, chaleureuse, qui parle à l’enfant en chacun de nous. Elle célèbre la douceur, la confiance, et la beauté de se savoir aimé, même dans les moments de doute.

Voici le texte:

[Couplet 1]
Tu n’es jamais seul, je te berce entre mes bras
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux,
Je veille sur toi.
Quand vient la peine, j’efface les ombres et les pleurs,
Tout va bien…
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux.

[Couplet 2]
Tu es l’étoile qui fait danser tout mon ciel,
Une flamme douce au clair doré, éternelle.
Et quand ton rire éclaire l’air d’un souffle fin,
Je vois la grâce et la beauté de nos chemins.
C’est pour toi
Que je te tiens,
Il est une vérité que tu dois savoir…

[Refrain]
Tu n’es jamais seul, je te berce entre mes bras.
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux,
Je veille sur toi.
Quand vient la peine, j’efface les ombres et les pleurs,
Tout va bien…
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux.

[Pont]
Je regarde au loin,
Et qu’est-ce que j’y vois ?
(Ooh, qu’est-ce que j’y vois ?)
Tant de cœurs passent sans voir ce miracle-là.

[Refrain]
(Ooh, hey)
Tu n’es jamais seul, je te berce entre mes bras.
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux,
Ferme les yeux.

[Outro]
Quand vient la peine, j’efface les ombres et les pleurs,
Tout va bien…
Ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux,
Oui, ferme les yeux.

Ferme les yeux

Echoes on the Floor

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octave plateau – music by Gerhard Andreas Schreiber

Gerhard Andreas Schreiber. Since the 1980s,  composing and producing music under the name octave plateau. What began in the shadowed clubs of the post-punk era and the neon-lit pulse of the Neue Deutsche Welle has grown into a lifelong journey through diverse soundscapes and emotions.

Back then, working with artists like Markus, capturing the spirit of a generation in transition – between analog grit and melodic futurism. But the musical path didn’t stop there.

Today, octave plateau bridges four distinct yet emotionally intertwined genres:

Smooth Jazz – music like warm light on late-night streets; gentle grooves, atmospheric chords, and melodies that breathe and linger. It’s the sound of reflection and release, crafted with subtlety and soul.

New Wave – shimmering synths, melancholic harmonies, and rhythm-driven storytelling. A style rooted in the 80s, but constantly reinterpreted to reflect the tension and beauty of the now.

Deutscher Schlager – emotional, melodic, and lyrical. I approach this genre with both respect and reinvention – drawing from its traditions while reshaping its form for contemporary ears.

Neue Deutsche Welle (NDW) – raw, ironic, and rhythmic. NDW has always been the rebellious heart of octave plateau, combining German lyrics with electronic textures, punk aesthetics, and a dose of playful absurdity.

In 2024, these songs – some newly written, others rediscovered and reimagined – are being produced in the octave plateau studio in Berlin. Here, the past and the present meet in harmony and friction. Analog synthesizers hum alongside digital clarity. Stories unfold in every track – sometimes with a wink, sometimes with a sigh.

octave plateau is not just a musical alias. It’s a lifelong project, a personal archive, and a sonic playground. Welcome to a place where genres speak to one another – and where every note has a memory.

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