Paroles
 
J’en ai marre de tes textos mignons  
Et de nos rendez-vous galant...
Je veux un homme  
Qui sait écouter
.... 
Et tirer mes cheveux au bon moment.
 
Tu dis que je suis difficile
Tu dis que je suis trop fragile...
Mais c'est toi qui en fais pas assez!
  
J’veux du fond  
J’veux du feu  
Pas juste des fleurs
Mais des mains qui m’embrasent
Pas tes yeux figés dans le silence
mais l'amour 
Et un homme qui connaît la danse  

Je porte de la dentelle 
Du parfum selon mon humeur  
Je marche comme un secret  
Et t'as toujours pas trouvé l'erreur...

Tu dis que je suis dangereuse  
Mais tu oublis combien j’ai attendu  
Tu dis que je suis froide  
Mais tu n'a jamais su me réchauffer !

Je veux tes mains  
Et la sueur
Je veux tes mains  
Pas juste sur mon cœur
J'veux du feu
J'veux du bruit, du brut
...  
J'veux un homme!
Pas un numéro de charme.
 
Mon sourire cache un cri  
Et mes hanches parlent pour moi  
Je cherche pas l'homme parfait  
Juste quelqu’un qui fait pas semblant de m'aimer!
 
Nuits longues et fantômes 
Ils disparaissent tous  
Mais moi j’suis là  
Au corps à corps... 
Encore et encore
à attendre la pleine lune  
(Ahhouuuu)

Tu dis que j’suis trop exigeante
Tu fuis quand j’suis trop sauvage  
Mais tu sais pas ce que c’est... l’ennui  
  
J’veux du fond  
J’veux du vrai  
Du contact  
Et de l’âme dans chaque baiser  
J’ai pas peur  
J’suis pas timide  
J’suis juste prête à tout... ...pour vivre ! 
 
J’en ai marre de tes petits jeux habituels
J'veux tes mains
Et tes baisers
J’veux du feu  
Sans aucune gêne  
Ne fais plus semblant  
Tu me vois maintenant.

Corps à Corps

Tu veux qu’on s’aime loin du bruit  
Comme deux fantômes en harmonie  
Que le monde s’efface, s’écroule  
Qu’il reste que toi, que moi, et la foule  
Des silences qu’on impose  
Comme des murs qu’on referme  
Mais j’ai besoin d’ouvrir mes portes  
Pas de tourner le dos à la terre ferme  

Il n’y a pas que nous  
Je veux aimer, oui, mais debout  
Pas dans une bulle, pas dans une cage  
Je veux l’amour, mais pas l’otage  

Tu dis que l’amour, c’est s’abandonner  
Mais moi, je veux m’y retrouver  
Pas me perdre dans un "nous" trop grand  
Qui avale mes rêves lentement  
T’aimer, ce n’est pas tout quitter  
Ce n’est pas fuir, ni se cacher  
Je veux danser dans la lumière  
Et pas qu’on s’aime derrière des frontières  

Il n’y a pas que nous  
Je veux l’amour, mais pas à genoux  
Pas de guerre à faire au monde  
Juste une main douce, un cœur qui gronde  
 
Je ne veux pas être ton tout  
Je veux être moi, même avec nous  
Et si le monde fait du bruit  
Je veux qu’on chante avec, pas qu’on le fuit  
  
Il n’y a pas que nous  
Je veux aimer large, aimer fou  
Pas dans une bulle, pas dans un jeu  
Je veux le monde…  
Et toi, si tu veux

Nous Deux

Paroles

Tu dis que j’étais le feu  
Mais tu fuyais la lumière  
Tu dis que j’étais trop belle  
Mais t’as baissé les yeux  
Tu parles de peur, de vertige  
Comme si j’étais l’abîme  
Mais c’est ton cœur qui vacille  
Pas mes mains, ni mes rimes

Tu n’étais pas prêt  
À voir l’amour en face  
Tu m’as prise pour un rêve  
Juste assez flou pour qu’il passe  
Tu dis “avant elle”  
Mais t’étais déjà en fuite  
C’est pas moi que t’as perdue  
C’est ton propre équilibre

J’aurais tout donné, tu sais  
Sans faire semblant, sans détour  
Mais tu posais des barrières  
Entre nos silences, chaque jour
T’as cru que j’étais trop vaste  
T’as préféré le confort  
Moi j’aurais bâti des châteaux  
Toi, tu fermais les portes

Tu n’étais pas prêt  
À voir l’amour en face  
Tu m’as prise pour un rêve  
Juste assez flou pour qu’il passe  
Tu dis “avant elle”  
Mais t’étais déjà ailleurs  
Tu ne voulais pas aimer  
Tu voulais juste une lueur

Et maintenant tu chantes  
Comme si tu savais  
Mais moi je sais, moi je sens  
Ce que t’as laissé passer

Tu n’étais pas prêt  
Pas pour moi, pas pour nous  
Et peut-être qu’un jour  
Tu t’ouvriras, malgré tout  
Mais ce jour-là…  
Je ne serai plus là

Avant Toi

Paroles

J'étais le Capitaine de notre chaos
La tempête grondait, mais  
la coque résistait  
Et moi je disais : 
(Fermez les yeux... mes petits matelots)

On ira loin, très loin d’ici  
Là où les vagues sont douces et sans bruit  
Tant qu’on navigue, tous les trois  
La tempête ne nous coulera pas

J’ai serré leurs mains dans le noir  
Comme si je pouvais arrêter le soir  
J’aurais tout donné, 
Pour qu’ils n’aient pas à grandir blessés

Les assiettes volaient comme des boulets de canons.
Dehors Le vent frappait fort  
Mais dedans, on rêvait d’un autre port

On se racontait des histoires  
De sirènes et d’îles illusoires  
Et même si j’avais peur
Je tenais le gouvernail, la nuit

On ira loin, très loin d’ici  
Là où les jours brillent, même sous la pluie  
Tant qu’on navigue, tous les trois,
Loin d'ici 
La tempête ne nous coulera pas

Un jour j’ai sauté hors du bateau  
Pensant sauver ma peau,  
Mais j’ai laissé derrière le sable  
Le sel, vos yeux et nos idéaux
 
Aujourd’hui je construis des ponts
Et si l’orage revient un jour  
Je saurai tenir jusqu’au matin

Et maintenant qu’on tient debout  
Qu’on est devenus plus forts que tout  
Je revois nos visages d’enfants  
Je revois la mer dans le vent et nos espoirs.

On ira loin, très loin d’ici  
Vers un avenir qu’on construit  
Tant qu’on navigue, tous les trois  
La tempête ne nous rattrapera pas

Même naufragés, même blessés  
On s’est promis de ne pas sombrer  
Notre bateau tient encore debout  
C’est lui qui nous a rendus fous… et forts

On ira loin, très loin d’ici  
À bord du lit de notre vie  
Tant qu’on navigue, tous les trois  
La tempête ne nous coulera pas

Loin du Tumulte

Paroles

Le monstre vit derrière la porte blanche  
Il grogne quand maman s’éloigne  
Elle y entre, et l’air devient froid  
Je reste dehors, je compte jusqu'à trois...

J’entends l’eau couler comme des larmes  
Et le silence...
Elle ne revient jamais pareil  
Comme si le monstre l’avait mise en veille
(Tout ira bien ma fille...)

Mes mains frappent la porte  
Elle ne s’ouvre pas  
Je crie dans le noir  
Mais elle n’entend pas  
Le monstre l’avale  
Et je reste là

Ses yeux éteints, ses gestes lents
(Tout ira bien ma fille...)  
Moi, je souris pour faire semblant  
Je cache mon frère sous une histoire  
De pirates perdus dans le brouillard
 
Le miroir craque comme un secret  
La lumière clignote, puis disparaît  
Je déteste ce lieu silencieux  
Où maman revient, mais plus tout à fait pareille
(Non...ça ne va pas ma fille)
 
Mes poings cognent contre la porte  
Elle ne s’ouvre pas  
Je crie de désespoir 
Mais elle n’entend pas  
Le monstre l’avale  
Elle n'est plus là...

Je savais qu’un jour elle resterait dedans  
Et que le monstre refermerait ses dents  
Alors j’ai prié, sans avoir les mots  
Juste pour qu’elle sorte à nouveau
 
J’ai grandi avec cette serrure  
Qui ferme encore dans mes murmures  
Mais aujourd’hui, je la dessine  
Plus forte, debout… presque divine

Je frappe plus la porte  
Elle est ouverte en moi  
Je crie moins fort  
Car elle m'entend parfois  
Le monstre s'efface  
Quand je parle de toi
(Je t'aime maman)

Monstre

Paroles

Tu brilles comme un miroir  
Qui reflètes toutes mes blessures  
On dirait que tu dors 
Mais tu caches mes pires murmures...
(Et si... et si...)

Tu sembles si accueillant
Mais sous tes reflets tendres tu me tires dans des gouffres trop profonds...

Je n’ose pas me baigner  
Tu me regardes,  
Je sens tes vagues m’appeler  
Mais j’ai trop peur pour plonger

Tu gardes dans ton ventre  
Des secrets qu’on devine  
Des souvenirs coulés  
Et des promesses futiles...

Parfois tu m'enlaces 
Comme une peau tiède et douce  
Puis frappe sans prévenir 
Comme une mer qui se déchire.

Je m’assois près de tes rives  
Tu ne dis rien, mais tu m’attires  
Je te parles tout bas  
Et tu respires, respires, respires...
[PONT – murmurant]   Je crois te connaître depuis la surface  
Mais il faut sombrer  
Pour voir ton vrai visage

J'entends ton murmure...
(Tu peux me faire confiance)

Alors je ferme les yeux  
Et laisse le courant m'emporter...  
Ce n’est plus une peur  
Mais une douce lumière

Je nage sans me retourner  
Je sens que tu m’as adoptée  
C’est en toi que je me perds  
Et que je retrouve mes mystères...

Comme un Miroir

Paroles

Le soleil sur ma peau  
Un soupir dans le dos  
Ton rire qui s'envole  
Et mes hanches qui décollent  

(tu sens ?… ça vibre encore)
 
Un fruit m’éclate en bouche  
Ta main glisse, farouche  
Les heures fondent, tranquilles  
Comme un vin qui brille  

À la vie, à la danse  
À l’envie, à la transe  
À la peau, aux frissons  
À l’amour sans raison  

Un souffle sur ma nuque  
Une larme qui rebondit  
Même les chagrins  
Ont leur goût exquis  

(chut… encore un peu…)

Le monde tourne en boucle  
Mais je tangue en silence  
Dans le creux d’un regard  
J’ai trouvé la cadence  

À la vie, à la danse  
À l’envie, à la transe  
À la peau, aux frissons  
À l’amour sans raison  

Viens, respire avec moi  
Pas de promesse, pas de loi  
Juste ton cœur  
Contre mes doigts  

(juste là… ne bouge pas)

Un grain de sable dans le lit  
Et c’est l’été dans la nuit  
Un soupçon d’éternel  
Dans ce geste irréel  

À la vie, à la danse  
À l’envie, à la transe  
À la peau, aux frissons  
À l’amour sans raison  
À la vie… sans pardon  
 
Et si tout devait s’arrêter…  
je veux que ce soit là,  
entre une caresse…  
et un éclat de voix.

Amours

Paroles

J’ai crié ton nom sans raison  
À la lune, aux murs, à l’horizon  
T’étais pas là, mais j’t’ai aimé quand même  
Sans logique, sans schéma, sans thème

J’ai vu ton cœur comme une tempête  
Tout s’écroule, mais tout s’arrête  
Quand tu respires près de ma peau  
Même l’enfer devient plus beau

C’est pas des ailes qu’il nous faut  
C’est la chute qui rend vivant  
Aimer, c’est brûler sans repos  
Je veux t’aimer furieusement

Tu parles et tout devient silence  
Chaque mot, une délivrance  
T’es pas parfait, et tant mieux  
Moi non plus, mais je veux tes yeux

Un regard, et je redeviens flamme  
Pas besoin d’église ni de drame  
Juste ton souffle contre ma voix  
Et l’univers danse pour toi

C’est pas des ailes qu’il nous faut  
C’est les chaînes qui brillent longtemps  
Aimer, c’est plonger sans radeau  
Je veux t’aimer follement

Même si je tombe, je veux tomber vers toi...

Tu me manques même quand t’es là  
Comme une fièvre qui s’éteint pas  
C’est maladif, c’est animal  
C’est tout sauf banal

Je ne crois plus en les étoiles  
Mais j’te suivrai s’il faut les voir  
Même dans l’ombre ou le chaos  
Je dis ton nom comme un écho

C’est pas des ailes qu’il nous faut  
C’est des racines dans le vent  
Aimer, c’est se perdre pour de bon  
Je veux t’aimer éperdument

Je t’aime comme on défie la fin…

Sans Ailes

Paroles

Toutes ces flammes…  
Je les bénis, je les chéris.  
Même celles qui m’ont brûlée.
 
Y’a eu lui, y’a eu toi  
Des éclairs dans la voix  
Des départs en plein midi  
Et des retours sans alibi
 
Y’a eu des nuits sans fin  
Des “je t’aime” à contre-main  
Des promesses sous les draps  
Et des silences qui parlaient trop bas

À nos flammes, à nos cris  
À ces cœurs qui ont tout pris  
À ces amours qui font danser  
Même quand ils font pleurer
À nos fièvres, à nos vents  
À ce feu dans l’instant  
Je veux tout revivre encore  
Même ce qui fait mal, fait vivre fort

On a tout jeté au ciel  
Des serments artificiels  
Des baisers trop bien joués  
Et des corps à réapprivoiser

Et si c’était ça, la vérité ?  
Aimer comme on respire…  
Sans calculer les lendemains.

À nos flammes, à nos cris  
À ces cœurs qui ont tout pris  
À ces amours qui font danser  
Même quand ils font pleurer
À nos fièvres, à nos vents  
À ce feu dans l’instant  
Je veux tout revivre encore  
Même ce qui fait mal, fait vivre fort
 
J’ai pas peur des départs,  
Pas peur des regrets.  
Tant qu’il y a l’amour,  
Je suis vivante.

Flammes

Mes Petits Matelots

Somewhere between light and vertigo, my music travels through heartbeats, soul cracks and suspended moments.
Mixing pop, electro and emotional rhythms, I write songs that say what we often feel but rarely speak. Welcome to my world.

Entre lumière et vertige, ma musique explore les chemins du cœur, les fêlures de l’âme et les instants suspendus.
Entre pop, électro et mélancolie dansante, je compose des chansons qui racontent ce qu’on ne dit pas toujours, mais qu’on ressent tous. Bienvenue dans mon monde.

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