"Ce qui est juste," penned and performed by Xak Stahl, is a haunting exploration of moral ambiguity and the human quest for truth. This French indie-pop gem weaves a tapestry of ethereal melodies and introspective lyrics, creating a sonic landscape that mirrors the complexities of our inner worlds.

Stahl's evocative vocals float over a dreamlike blend of electronic beats and subtle instrumentation, perfectly capturing the song's themes of uncertainty and hope. The verses paint vivid pictures of a world in flux, where finding one's path is a constant struggle against the chaos of existence.

The chorus serves as the emotional core of the song, likening the interplay of good and evil to a strange, beautiful melody. This powerful metaphor resonates throughout the track, reminding listeners of the delicate balance we all navigate in our search for meaning.

From the juxtaposition of light and shadow to the perseverance of hope in the face of darkness, "Ce qui est juste" is a poetic journey through the human condition. Stahl's lyrics are both deeply personal and universally relatable, touching on the doubts, mistakes, and moments of clarity that define our lives.

The bridge offers a glimmer of optimism, suggesting that even in our darkest moments, the path forward is never truly lost. This message of resilience, coupled with the song's dreamy atmosphere, creates a listening experience that is both thought-provoking and emotionally stirring.

"Ce qui est juste" is more than just a song; it's a musical reflection on the nature of truth and morality in an increasingly complex world. Xak Stahl emerges as a skilled storyteller and composer, crafting a piece that lingers in the mind long after the final notes fade away.

Lyrics:

Le monde est fou tu sais
Trouver son chemin c'est pas facile
Les erreurs on les fait
Chercher la vérité c'est fragile

Le matin et le soir
Entre la lumière et les ombres
On cherche espoir
Même quand la nuit nous encombre

Ce qui est juste ce qui est faux
On cherche tout au long
Le bien le mal se mêlent beaux
Comme un étrange chanson

Les cœurs se trompent souvent
Quand on suit les mauvaises routes
Au-delà des vents
Trouver la paix dans nos doutes

Les étoiles brillent pour tous
Le chemin n'est jamais perdu
On avance sans repous
Même si la nuit est crue

Ce qui est juste ce qui est faux
On cherche tout au long
Le bien le mal se mêlent beaux
Comme un étrange chanson

Ce qui est juste

🎶 Louvéa – L’Essence de la Création et de la Liberté 🐺✨

“Louvéa, Louvéa, Louvéa… Louve de l’aube, lumière de soie.”

“Louvéa” est une chanson mystique et puissante, un hommage à la création, la liberté et la force intérieure. Inspirée par la figure de la louve, cette œuvre fusionne poésie et puissance musicale, portée par une ambiance envoûtante où métal, blues et beatboxing se rencontrent pour donner naissance à un univers unique.

🎸 Ambiance & Sonorités :

🔮 Dreamo & Stoner Metal – Une énergie brute et atmosphérique.
🎷 Spanish Blues – Des sonorités chaudes et profondes, comme une danse entre ombre et lumière.
🎤 Beatboxing & Bells – Un rythme organique, battement du cœur d’une artiste indomptable.

🎭 Une Ode à la Création :
🖌️ Chaque fil, chaque geste, une œuvre essentielle – Une femme qui façonne son propre monde.
🌑 Là où tout se termine, tout recommence – Un cycle éternel de renouveau et d’inspiration.
🔥 Son esprit voyage là où l’œil ne va – Une vision libre, loin des conventions.

Cette chanson est une exploration sonore et spirituelle, un cri de liberté porté par une musicalité intense et introspective. Une invitation à suivre sa propre voie, sans limites, sans chaînes.


#Dreamo #StonerMetal #SpanishBlues #Beatbox #PoésieMusicale #AlternativeRock #Mystique #Création #Liberté #VibesÉthérées

Louvéa

La nuit je mens – Ghost Of Maya
Ghost Of Maya s’attaque à l’un des monuments de la chanson française, La nuit je mens, et le transforme en un voyage sonore inédit. Fidèle à son style, elle enveloppe la chanson dans une atmosphère hypnotique, où des nappes électroniques et des percussions subtiles rencontrent une interprétation vocale poignante et personnelle.
Sa voix, à la fois fragile et puissante, donne une nouvelle profondeur aux mots de Bashung, explorant leurs zones d’ombre avec une intensité rare. Une ode à la nuit, au mystère et à la mémoire, revisitée avec audace et respect.

La nuit je mens (Alain Bashung Cover)

Sentiment est une immersion dans l'intensité émotionnelle pure. L’artiste y explore la complexité des sentiments humains, entre la fragilité de l’amour, la profondeur de la tristesse et la chaleur de l’espoir. Ce morceau, à la fois introspectif et poétique, capte cette palette infinie d'émotions avec une sensibilité rare. Les sonorités sont douces mais puissantes, comme une caresse qui révèle toute la richesse intérieure d’une âme en quête de sens.

Sentiment (EP Seul)

💭 Je suis là, au milieu d’eux. Mais je suis ailleurs. Ils me parlent, ils m’aiment — mais leur voix ne traverse plus. Je flotte dans une bulle invisible. Un espace entre le monde et moi. J’ai beau être entouré, je ne ressens plus rien. L’amour existe, mais je ne le capte plus.
Et ce qui m’achève, ce n’est pas la solitude — c’est l’incompréhension. Personne ne voit. Personne ne sait. Et cette distance-là, elle tue en silence.

🎧 Musique douce, presque planante. Une plage sonore cotonneuse, flottante. Le contraste avec la douleur du texte accentue le sentiment d’irréalité.

🎙️Voix retenue, éteinte. Big Down semble parler dans un nuage. L’émotion est là, mais distante. On devine l’épuisement intérieur à travers la neutralité.

🎚️Nappes lentes, rythmes diffus, textures floues. Tout semble s’effacer à mesure qu’on l’écoute. Comme si même le morceau avait du mal à exister.

🎬 Un visuel presque immobile, embrumé, au ralenti. Comme si le monde tournait sans nous. L’animation centrale crée un espace figé, presque hors du temps — suspendu dans une absence qui ne dit pas son nom.

📖 « Un ballon d’air dans un ciel bleu » Image d’une vacuité invisible. L’extérieur est parfait, mais l’intérieur est creux.
« Même quand j’suis là, j’suis loin de tous » Phrase centrale du morceau. Présence physique sans lien émotionnel. L’isolement n’est pas visible — il est d’autant plus cruel.

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-3 . Personne

💭 Il n’y a pas de feu visible. Pourtant, tout brûle.
À l’extérieur, tout semble figé. Mais à l’intérieur, c’est un chaos silencieux.
Je suis incapable de dormir, incapable d’agir. Je suis figé, mais consumé.
Chaque seconde est une gifle invisible, chaque pensée un court-circuit.
Et personne ne voit l’incendie. Pas même moi, parfois.

🎧 Beat sec et répétitif, comme une boucle mentale.
Ambiance électrique contenue, où la tension monte sans jamais exploser.

🎙️Voix fatiguée mais nerveuse. Big Down alterne entre calme apparent et accélérations nerveuses.
On sent la perte de contrôle en arrière-plan.

🎚️Sonorités étouffées, rythmique implacable.
Effets électroniques discrets mais intrusifs, qui imitent les flashs mentaux et les pensées parasites.

🎬 Trois volutes surgissent du bas de l’écran, désynchronisées, aux teintes différentes.
Leur trajectoire s’emmêle, puis disparaît, laissant celle du haut seule jusqu’à l’effacement final.
La pochette pulse sans coordination avec l’animation centrale, comme un corps déboussolé.
Un feu intérieur, invisible, dont il ne reste que les secousses.

📖 « Mais c’est pas calme, c’est un feu qui s’cache »
Contradiction apparente : l’immobilité extérieure masque l’embrasement intérieur.
« J’me lève, j’reste couché, j’existe sans le faire »
Formule limpide de l’état de blocage : l’envie d’agir existe, mais le corps ne suit plus.
On est en feu, sans mouvement.

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-2 . Lundi brûle

💭 Je suis vidé. Mais pas mort. Il reste quelque chose. Une trace. Une étincelle faible, qui se débat sous le poids du silence. Tout est trop. Trop lent. Trop lourd. Trop noir. Même les souvenirs heureux ne percent plus.  Je fais semblant. Pour les autres. Pour mes enfants. Pour ne pas sombrer.
Mais chaque nuit, je lutte contre ce poison intérieur.
Et chaque matin, je me demande si c’est ça, être vivant.

🎧 Lenteur, pesanteur, piano voilé, textures graves. L’atmosphère est crépusculaire. Tout semble avancer à travers un brouillard.

🎙️Big Down murmure presque. Chaque mot est tiré d’un gouffre. Sa voix est fatiguée, brisée, contenue. Il laisse transparaître la douleur sans l’exploser.

🎚️Piano minimal, nappes sourdes, rythme discret. Une production intime, sombre, sans effet de style : elle accompagne la sincérité du texte sans le maquiller.

🎬 L’image est décentrée. La pochette a disparu. Le vide avance depuis le ciel. Une croix transparente émerge lentement, comme une faille dans l’obscurité. Les volutes ne flottent plus, elles tombent. L’animation centrale en couronne d’épines tourne lentement, piégeant les battements dans une boucle sacrifiée.

📖 « Vidé d’émotion, ai-je le droit d’être vivant ? » Une question existentielle brutale. Quand la souffrance vide tout, peut-on encore parler de vie ?
« C’est pas qu’j’veux mourir, c’est qu’j’veux que ça s’arrête » Distinction cruciale. Il ne s’agit pas d’un désir de mort, mais d’un besoin vital de soulagement. Une des phrases les plus puissantes de l’album.

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-4 . Vivant...

NovaNic explore l'intime avec 'Rêves en Saphir', une œuvre hybride où spoken word et paysages sonores fluides s'entrelacent. Mélangeant poésie viscérale et mélancolie bleutée, ce morceau invite à plonger dans des rêves qui transcendent la réalité.

Rêves en Saphir

Xak Stahl: Alchemist of Sound, Architect of Emotion

Xak Stahl is a genre-blurring music artist, sonic storyteller, and relentless experimenter. Every track he creates is a new world—a kaleidoscope of indie folk, alt-pop, electronica, and global flavors—infused with raw emotion and boundless curiosity. Xak’s music isn’t just heard; it’s felt.

From Shadow to Spotlight

For Xak, music is metamorphosis. His journey began in the shadows, transmuting heartbreak and struggle into songs that glow with hope. Early anthems like “Neon Dreams” and “Rising Through the Darkness” invite listeners to find their own light. His newest project, Major Arcana, channels the mysteries of the Tarot—each song an archetype, each lyric a step along the path from the Fool’s first leap to the wisdom of The World.

More Than Music: A Multisensory Universe

But Xak isn’t confined to sound. As a visual artist and writer, he crafts immersive stories that spill across genres and languages—sometimes haunting, sometimes playful, always honest. Whether he’s conjuring lush soundscapes, weaving bilingual lyrics, or creating striking visuals, Xak’s art dares you to feel deeper and dream wilder.

An Invitation to Transformation

Join Xak Stahl on a sonic odyssey that blurs borders—between genres, between artforms, between you and the music. Each release is an invitation to explore, to heal, to become. For Xak, every song is a spell, every album a universe. The only question is: are you ready to step inside?

Je suis la voix de ceux qui ne trouvent pas les mots, le reflet de ceux qui vivent dans l’ombre. Mon rap est une bataille, chaque freestyle une confession. Laisse la tristesse et la mélancolie s'infiltrer dans tes veines, car ici, la douleur se transforme en art. Pas de filtres, pas de fausses promesses. Juste moi, mes rimes, et un univers où chaque note résonne comme une âme perdue. Écoute, ressens, et suis cette voie que peu osent emprunter. 🔥

🧬 NovaNic – L’artiste aux frontières du réel, imaginé par Zlormack
NovaNic, né de l’imaginaire de Zlormack, est bien plus qu’un simple projet musical : c’est une identité à part entière. Inspiré par des sonorités rock, pop, électro et des émotions brutes, NovaNic est une voix qui résonne entre les rêves brisés et les combats silencieux.

Adoptant l’énergie d’un ancien militaire fictif, porteur de vérités qu’on préfère parfois taire, NovaNic donne corps à une musique viscérale, parfois sombre, toujours authentique. Chaque titre est une mission, chaque parole une confession.

🎶 Ses inspirations : les riffs mélodiques des années 80-90, les ambiances cinématographiques, et la sincérité des artistes qui racontent leur vie sans filtre.

✨ Un projet solo... mais universel
Créé, écrit et imaginé par Zlormack, un artiste indépendant basé à Charleville-Mézières, NovaNic est un miroir où chacun peut voir ses propres combats, rêves et douleurs. Tous les morceaux sont conçus avec des outils modernes (IA générative, synthèse vocale, production assistée), mais portés par une âme bien réelle : celle de Zlormack.

📀 Pourquoi NovaNic ?
"Nova" pour la renaissance.

"Nic" pour la part humaine, le prénom brut, franc et direct.

NovaNic, c’est la résilience en musique. Un projet né pour donner une voix à ceux qui doutent, mais n’abandonnent jamais.

🔧 Zlormack t’invite à découvrir un monde où l’IA rencontre la passion humaine.
"Je ne suis pas musicien pro, je suis un rêveur qui croit que la musique peut naître d’un clavier, d’un logiciel et d’un cœur qui bat."

Passionné de musique depuis l’enfance, je la vis au rythme de mes émotions et de mes inspirations. Aucun style ne me définit, je navigue entre les genres, du rock épique au folk nordique, en passant par l’électro envoûtant et la pop lumineuse. Chaque morceau raconte une histoire, chaque note fait vibrer un instant. La musique accompagne mes trajets, mes souvenirs, et berce mes enfants, comme un fil rouge dans ma vie.

Maya Guzmania, alias Ghost Of Maya, est une artiste belge dont le parcours oscille entre l’ombre et la lumière. Avant de devenir autrice-compositrice-interprète, elle a longtemps œuvré dans la production musicale, sculptant les sonorités des autres sans jamais oser imposer sa propre voix.
À six ans, elle enregistrait déjà des bribes de mélodies sur de vieux magnétophones, convaincue que la musique était un langage secret. Adolescente, elle passait ses nuits dans les clubs underground de Bruxelles, absorbant les rythmes du breakbeat, du dubstep et de l’électro, en quête d’une alchimie sonore qui lui échappait encore. À vingt ans, elle plongeait dans l’industrie musicale en tant que productrice, affinant son art dans l’ombre des studios. Pendant des années, elle façonnait des morceaux pour d’autres artistes, effleurant l’idée d’écrire pour elle-même, sans jamais franchir le pas.
Puis, un soir, au détour d’un morceau inachevé, elle a compris que sa place n’était plus derrière la console, mais au cœur du son. La voix qu’elle modelait pour les autres devait désormais être la sienne. C’est ainsi que Ghost Of Maya est née, fruit d’un vertige et d’un besoin urgent de rattraper le temps perdu.
Aujourd’hui, elle prépare son premier album, une œuvre immersive où les spectres du passé rencontrent les pulsations du futur. Et demain ? Si le futur appartient aux âmes qui osent, Ghost Of Maya pourrait bien devenir l’un de ces mystères musicaux qui traversent les époques, insaisissables et hypnotiques.

Maya Guzmania, known as Ghost Of Maya, is a Belgian artist whose journey sways between shadow and light. Before becoming a singer-songwriter, she spent years behind the scenes as a music producer, shaping the sound of others while keeping her own voice in silence.
At six, she was already recording fragments of melodies on old cassette players, believing that music was a secret language. As a teenager, she wandered through Brussels’ underground clubs, absorbing the pulse of breakbeat, dubstep, and electro, searching for a sonic formula that remained just out of reach. By twenty, she had dived into the music industry as a producer, perfecting her craft in the shadows of recording studios. For years, she created for others, brushing against the idea of writing for herself but never taking the leap.
Then, one night, amidst an unfinished track, she realized her place was no longer behind the console but within the music itself. The voice she had shaped for others had to become her own. And so, Ghost Of Maya was born—from that moment of vertigo, from the urgency of reclaiming lost time.
Now, she is preparing her debut album, a hypnotic journey where echoes of the past merge with the rhythms of the future. And what lies ahead? If the future belongs to those who dare, Ghost Of Maya may soon become one of those musical enigmas elusive, timeless, unforgettable.

Big Down, c’est un nom tombé du haut.
 Un vertige, un battement trop fort pour se dire autrement.
 Un revers lancé au monde : “Big Down” comme on dirait “Big Up”,
 mais à l’envers, sans façade.
Big Down donne voix à ce qui vacille.
À ce qui pulse sans se maîtriser.
À ce qui cherche encore ses mots.
C’est un chant pour revivre.
Une écriture pour se comprendre.
Une musique pour ceux qui ressentent, sans toujours pouvoir dire.

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