mini v1

hier déjà

Une jeune femme bloquée par sa timidité d'aller vers les autres, se complique ses relations avec les personnes...

Le Mur de Verre

Partout où mes yeux se posent
J’entends ton rire, touche ta voix
Ce banc qui a vu notre osmose
Ruelle où résonnait nos pas
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire

Sur une chaise à côté de moi
Ta présence que je sens encore
Et ton parfum qui vient parfois
Pour égailler cette triste mort
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire

L’alcôve silencieuse désespère
Sans ton corps nu, mon bel amour
Je voudrais respirer ton air
Revenir à de si beaux jours
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire

Tout me parait si étrange
Délesté de toute substance
Cette vie, désormais ne mange
Que le pain noir de ton absence
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire
Dansent les ombres du monde, dans ma mémoire


Dansent les ombres du monde -AI

Au père Lachaise, dans une allée Fleurie
On voit toujours ce vieux chat qui roupille
Tous les habitués l’on prit en pitié
Le comble d’attention pour sa Fidélité
Mais lui, il s’en fout, il y a personne en dessous qui le fait venir se coucher
C’est juste qu’les pigeons et toutes ces attentions, il ne voit pas pourquoi s’en priver

Au fond d’un bois, il y a un chien qui aboi
Toute la journée, d’puis son maitre l’a quitté
Aux alentours, sauf peut-être les sourds
On vante les mérites de cette belle amitié
Mais lui, si il cri, c’est qu’son maitre n’est pas parti, juste en train d’se décomposer
Et qu’en friandise la seule pâtée promise, c’est de la viande faisandée

Sur mon trottoir, il y a une veuve toute en noire
Qui transpire la tristesse et impose le respect
Elle est célébrée dans tout le quartier
Sacrifice éternel au mari décédé
Mais moi, je m’en fous car à la nuit tombée, elle m’invite chez elle pour la consoler
Sa dévotion se transforme en passion que j’ai bien du mal à combler

Amis naïfs, ton anthropomorphisme
Ton besoin chez les autres de piété 
Les liens qui nous unissent sont bien souvent factices 
Et non dénués d’intérêts 
Mais la vie, s’en balance, la morale n’est pas sa trance, la vérité de nos motivations 
Lui importe en rien et nous triste humain voilant de moraline nos actions


La moraline-AI

Quand de vagues hirondelles dénoncent le printemps et se mettent à chanter en dépit de la pluie
Que seuls de tristes héros aux petits matins gris posent des barbelés sur de pauvres enfants
Un Monde sans soleil nous regarde et nous pleure, nous boulimiques gâtés aux égoïstes vies
Nous combl’rons nos envies en asséchant nos cœurs (bis)

Quand la Mer carnivore mange des continents, des peuples repoussés par la guerre, la folie
Que la flamme des morts portée par des bougies colore des aurores maculées de leur sang
L’Univers tout entier détourne son regard et s’en va reposer sa tête bien remplie
Dans de tranquilles nuits en asséchant nos cœurs (bis)

Oh l’hiver des hommes, Personne ne répond, L’amour Atone cherche son nom
Oh l’hiver des hommes, au-dessus des saisons, glace nos cœurs sans compassion.


Quand nous attendons tous, la solution des autres, de tristes politiques aux fausses attentions
Fabriquant par sondages leurs nouvelles passions, essayant l’émotion pour nous faire leurs apôtres
L’espace rétréci et l’empathie se meure pour d’éphémères pleurs, théâtrales contritions
Aux vertus de l’oubli en asséchant nos cœurs (bis)

Quand on voit dans le Ciel, le fou qui nous sauvera, en venant crucifier l’Amour du prochain
Pour toujours imposer un ordre inhumain, refusant que la Terre soit notre Paradis
Les cieux deviennent alors des bruloirs d’encens de martyrs imbéciles dynamite à la main
Par le souffle des morts en asséchant nos vies (bis)

Oh l’hiver des hommes, Personne ne répond, L’amour Atone cherche son nom
Oh l’hiver des hommes, au-dessus des saisons, glace nos cœurs sans compassion.


l'hiver des hommes-AI

Quand mes pas se promènent près du Mont Saint Michel sur le sable il n’y a que moi
Moi qui traine ma peine en cherchant dans le vent ta voix.
Mon ombre se déplace côte à côte l’on fait face au doux désire de ton corps 
Et ce cœur laissé que mes mots ont blessé si fort.
Par la peur que tu perdes une partie de ton âme 
Par la peur que les jours après les premières flammes, 
Ne voit dans ma présence que tristesse et malheur
Que je ne sois que souffrance et pleurs

Dans la baie si paisible mon amour comme une île, éloignée à jamais de toi
Cette mer qui me parle et dans de vagues à l’âme combats
Fait de moi l’amateur, le bourreau du bonheur que l’on savait depuis longtemps
Et sans même se voir dans d’imaginaires printemps
Par la peur de détruire ce qui était construit 
Par la peur de nuire à l’antique détruit
M’accrochant au passé et doutant d’un avenir 
Que tu m’offrais dans ton sourire 

Saint Michel me regarde, l’abbaye en cascade, si fragile dans cet océan,
Essuyant les tempêtes sans que jamais s’arrête le vent
Qui ne portera plus, les parfums ingénus que ta douce peau dévoilait 
dans la chaleur des nuits où nos corps blottis s’aimaient
Par la peur que tu perdes une partie de ton âme 
Par la peur que les jours après les premières flammes, 
Ne voit dans ma présence que tristesse et malheur
Que je ne sois que souffrance et pleurs

Quand mes pas se promènent près du Mont Saint Michel sur le sable il n’y a que moi
Moi qui traine ma peine en cherchant dans le vent ta voix.


Le Mont Saint-Michel-AI

Ca fait quelques années que je ne viens plus vous voir
Joseph je ne sais pas si vous êtes vivant
Mais votre Moulin coule en ma mémoire
Et vos vins brillent dans mon firmament

Vous habitez la Terre de ma plus belle enfance
Un paradis perdu que j’ai su retrouver
En séjournant chez vous et en venant goûter
Tous vos vins faits en votre âme et conscience

Moulin, Moulin, Moulin, Moulin de Breuil Ce n’est pas un Château mais ça le vaut bien
Pour mille Bordeaux pour Mille Bourgogne Pour tout l’amour qui est mis dedans

On pouvait se parler pendant des heures
Vous vous passionnez de tout et tout vous questionnez
Voulant tout comprendre et tout fabriquer
La curiosité comme unique moteur

Moi je me sentais bien à vos cotés
En goûtant les nectars de votre production
Vous aviez toujours belle conversation
Le verbe libre des hommes qui savent exister

Moulin, Moulin, Moulin, Moulin de Breuil Ce n’est pas un Château mais ça le vaut bien
Pour mille Bordeaux pour Mille Bourgogne Pour tout l’amour qui est mis dedans

Si un jour je reviens fouler vos terres
Permettez-moi Joseph de vous tutoyer
Ce n’est pas chez moi un acte vulgaire
Mais une marque de fraternité


Moulin de Breuil-AI

Y a comme un vent de folie
Qui souffle sur ma vie
Les morts ont plus de poids que celui des vivants
Je ne suis pas d’ce pays
J’ai vécu loin d’ici
Ma vie a continué sans moi depuis longtemps
J’respire le sirocco dans mes rêves les plus fous Je me mettrai à genou pour revoir mon pays
Et je te verrai rire, rire à en mourir Le bonheur était là, juste à côté de nous

Y a plusieurs décennies
Que mon cœur est meurtri
Mais je n’ai jamais su le dire à mes enfants
J’ai forgé ma douleur
Et asséché mes pleurs
En couvrant de tendresse tous mes petits enfants
J’respire le sirocco dans mes rêves les plus fous Je me mettrai à genou pour revoir mon pays
Et je te verrai rire, rire à en mourir Le bonheur était là, juste à côté de nous

Maintenant je suis parti
Retrouver mon mari
Alfred tu m’attendais depuis près de 17 ans
Je suis contente d’te revoir
On va attendre là haut
Ils viendront tôt ou tard reprendre le flambeau
J’respire le sirocco dans mes rêves les plus fous Je me mettrai à genou pour revoir mon pays
Et je te verrai rire, rire à en mourir Le bonheur était là, juste à côté de nous


Un vent de folie-AI

Toi qui étais dans l’inconscience, depuis des décennies je crois
Quelques flagrances dans l’existence et mon cœur battait que pour toi
Nos rencontres comme une insolence ne laissaient paraitre aucun signe
Tes yeux jouaient l’indifférence, je croyais mon amour indigne.

Puis l’on s’est perdu à jamais, jamais n’existe pas pour nous
J’ai refait ma vie à moitié, en pensant vivre l’amour fou
Et j’ai oublié tout ce temps, que le fil rouge existe encore
Que dans mes rêves d’enfants ton désir n’était jamais mort

Oh ma passion, mon bel amour, ma muse adorée
Pourquoi la vie, pourquoi le temps nous ont abandonné
Oh ma passion, mon bel amour, ma muse adorée
Il est écrit dans mes poèmes que je te retrouverai .. un jour 

En quelques phrases anodines dans nos mondes si différents
Tu es passée de simple copine à un amour toujours plus grand 
Mais il n’a pas fallu longtemps pour nous rendre à l’évidence
Tu résistais bien pourtant quand mes mots n’étaient qu’attirance

Il fallait que nous nous voyions, que nous goûtions enfin le fruit 
Partager avec Cupidon la chaleur de notre folie 
C’est dans la froideur d’un hiver que nos corps se sont enlacés
Je te chantais enfin mes vers quand tu caressais mes mollets
REF
Nous sommes arrivés aussi haut, presque aussi haut que le soleil
Notre ciel fut sans numéro, nous comptions toutes les semaines
Où nos yeux ne pouvaient toucher l’incandescence de nos corps
Nous attendions impatients ces quelques jours comme un trésor.
Oh ma passion, mon bel amour, ma muse adorée
Pourquoi la vie, pourquoi le temps nous ont abandonné
Oh ma passion, mon bel amour, ma muse adorée
Il est écrit dans mes poèmes que je te retrouverai .. c’est sûr


Le fil rouge-AI

Soyons, soyons des amants incertains qui malgré la distance n’ont aucun doute
De l’amour fou qui nous prend par la main bien que jamais nos corps se goutent
Soyons, soyons des amants incertains qui dans la nuit toujours s’écoutent
Rêvons nos vies jusqu’au petit matin, c’est nos écrits qui nous servent de routes

De tes baisers je ne connais rien, J’imagine qu’ils sont doux, qu’ils mettent en déroute
Qu’ils savent faire chavirer tous les marins, Que tu accueilles sur tes côtes et dans tes voutes

Soyons, soyons des amants incertains et que nos cœurs toujours s’enflamment
De la morale je ne comprends rien c’est dans tes yeux que brûle mon âme
Soyons, soyons des amants presque sûrs et qui un jour couvriront de tendresse
Le monde entier par la démesure de cette amour qui toujours progresse

De ton corps, je suis orphelin, Je le dessine souvent dans des nuits qui sont courtes
Tous les croquis et tous les dessins, Font de ma vie une terrible joute

Ne soyons pas des amants malheureux, nos sentiments ne sont pas condamnables
La vie un jour transformera ces aveux en de doux baisers adorables
Soyons, soyons des amants qui patientent il est écrit que nous sommes sur Terre
Pour que nos âmes qui sont dans la tourmente trouvent demain de quoi se satisfaire

De ton histoire je connais si peu, mais toutes tes larmes ont irrigué ma flamme
Je sais qu’un jour, nous serons heureux même si au Diable je dois vendre mon âme



Soyons des amants incertains-AI

On avait attendu l’automne, pour retourner à la maison
Tapis de feuilles monotone marquant au fer la saison
Toi tu avais gardé la robe que tu portais en pleine été
Imaginant par cet effort, conjurer un temps si pressé
Le Froid humide avait rempli, les pièces déjà bien vidées
Tiens tu as pris la Bergère, je croyais qu’tu la détestais
Les objets changent de valeur, quand l’histoire s’en va à grand pas
Le matériel devient le cœur, d’un amour qui vivait sans ça.

Et l’on croit que l’amour, vit éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment

Ma mère m’a donné pour toi, le pull que tu aimé tant
Elle a re-tricoté le bas, pour qu’il dure un peu plus longtemps
Tu crois que l’on aurait pu faire, la même chose de nos vies
Maille à l’endroit, maille à l’envers et tout serait reparti
Mon père ne veut plus me parler, depuis qu’il sait pour nous
Il est de la vieille école tu sais, ça durera un peu mais c’est tout
Pour lui le bonheur est un vice, seul le devoir est à citer
L’Enfer sur Terre est un délice, il faut savoir se sacrifier

Et l’on croit que l’amour, dure éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment

Tu refermeras la porte, je te laisse désormais les clefs
Les souvenirs des années mortes continueront de nous hanter
Peut-être qu’un jour par hasard, je croiserai ton Avenir
aux bras d’une ex future histoire, saura-t-on encore se dire

Et l’on croit que l’amour, vit éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment


Tout ce que l'on a senti ment-AI

Quand j’ouvre les yeux sur le matin d’automne
Et qu’un timide soleil vient rougir l’horizon
Qu’il ne reste qu’à peine quelques oiseaux aphones
Pour nous chanter l’amour dans toute sa déraison
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand je pars travailler et que sur le chemin
Je vois ces couples heureux de jeunes étudiants
Qui ont tout leur avenir et se tiennent par la main
Leur seule richesse se loge dans leur cœur d’enfant
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand il faut en journée parler à d’autres que toi
Et rester concentré ou du moins faire semblant
Je ne vois que ta bouche et entends que ta voix
Tous les mots qui unissent les incertains amants
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand je rentre chez moi tout seul bien souvent
Et que ma seule maitresse à pour prénom Guitare
Je la prends dans mes bras et comme unique amant
Elle me donne la musique que m’inspire ton regard
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques


Tu me manques-AI

Toi qui ne verras jamais ton iris comme je le vois
Changeant aux timbres de ma voix quand je suis à tes côtés
Un peu du bleu du ciel, une émeraude qui scintille, 
La couleur du jais pour la nuit et le jaune pour le soleil

Tes yeux sont ma souffrance, mon égérie, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds ... pour toi

Toi qui n’auras pas la chance de glisser sur ta peau
De t’allonger sur ton dos et de sentir la démence
De cette chaleur que j’aime, de ce grain particulier
De ce pays adoré où j’y consume ma peine

Ton corps est mon enfer, mon doux désir, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds … pour toi 

Toi, dont les doux poèmes ne sont écrits que pour moi
C’est à travers ta voix que j’aimerai qu’ils se promènent 
Qu’ils me fassent vaciller, être l’unique de ta vie
Et combler toutes mes envies et ne plus jamais pleurer

Tes mots sont un mystère, parfois terrible, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds … pour toi 




Toi qui ne verras jamais -AI

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De l'inspirant, de l'intemporel, du BAUME POUR LE COEUR et les cellules....

Flot d’humanité (2)

Comme une photo jaunie par le temps et la vie
Que l’on va rechercher pour nourrir sa mémoire
Pour revenir un peu dans cet autre pays
De l’enfance oublié tout au fond d’un tiroir

Comme cette fleur séchée que l’on ose toucher
Coincée entre 2 pages d’un livre qui nous lit
On l’avait oublié depuis bien des années
Ce parfum délicat qui à peine ne vit

Comme ces notes de musique qui viennent nous effleurer
Et font couler des larmes de douce nostalgie
Sur les joues amaigries de multiples été
Et de l’amour ancien que le son rajeuni 

Comme cette voix que j’entends aujourd’hui plus qu’hier
Et qui vient m’inviter à lui ouvrir ma porte 
Pour qu’entre nous il n’y ait à jamais plus d’hiver
Qu’un amour magique désormais nous transporte

 Ces détails arrêtés dans un passé lointain 
Ressurgissent parfois et animent sous nos yeux
Des scénettes charmantes ou la main dans la main
Nos serments amoureux avaient le goût de feu


Comme une photo jaunie-AI

Poussière d'étoile

Et si je n’étais plus qu’un trop vieux souvenir, une triste chanson, un refrain
Une voix qui t’a trop longtemps fait souffrir, oubliant la douceur de mes mains
Et si je ne devenais qu’une lumière éparse, dans une vie qui doit continuer
Tu as toujours eu la première place des femmes que j’ai su aimer

Et si au musée des « Amants incertains » je tenais ma place désormais
Que tes sentiments n’ont pas de lendemain, que tes yeux ont déjà trop pleurés
Que ton cœur a vidé notre belle histoire, sans qu’elle puisse nous ressusciter
De tous mes amours il faut me croire, tu es la seule que j’ai tant aimé

Et si ce roman écrit à 4 mains restait pour toujours inachevé
Que notre voyage n’avait plus de chemin et notre fil rouge brisé
Mes rêves et mes désirs se nourriront de toi et dans tous mes poèmes
Tu resteras la muse à coté de moi à qui je dédie mes « je t’aime »


Et si je n'étais plus.AI

Une chanson parue sur son album positif. De quoi bien se réveiller le matin...

Encore un matin (Jean-Jacques Goldman)

J’écris, compose, chante et joue à la guitare et avec mes mots  sur des rythmes Folk, Jazz, Rock, Bossa Nova et tous autres
Mes chansons sont inspirées de la poésie, elles peuvent être aussi bien humoristiques , romantiques ou réalistes.
Souvent inspiré par des « muses »,
 je mets la vie en chanson, souvent la mienne mais aussi celles des êtres qui me sont chers parce que je dois tout à l’amour celui que l’on m’a porté, celui que l’on me porte et celui que l’on ne m’a jamais donné.
Loïck

I write, compose, sing and play on guitar and with my own words on Folk, Jazz, Rock, Bossa Nova rhythms and all others
My songs are inspired by poetry, they can be humorous, romantic or realistic.
Often inspired by "muses",I put life in songs, often my own life, but also those of my loved ones, because I owe everything to love, the one I’ve received, but also the one I’ve never received 
Loïck

Duo de musiciens (2 guitaristes chanteurs) aux influences diverses (blues, pop, folk, classique, bossa, rock, etc ...). Nous reprenons des standards anglo saxons que nous adaptons en français et chantons nos compositions ainsi que des reprises de titres en français ou en anglais.
Contact : Michel : 06.31.37.99.69 / Philippe 06.65.34.85.11

Artiste Compositeur de musique, amateur, je compose des musiques, de différents styles, Pop, Dance, sentimentale, créée le 10/08/2020 à Angoulême en Charente, sur mon clavier Workstation Yamaha PSR-S770, accompagnée de Background_Vidéo libre de droit, toutes mes compositions sont déposées et protégées sur la plateforme GAIAR. 
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