PAROLES:

[intro]

Elle ressent du dégoût pour ces messieurs 
Des larmes de peur qui découlent de ses yeux 
Elle en revient même à ne plus prier les cieux 
À se demander si il existe vraiment un Dieu 
L’impression d’se faire toucher par qui le veut 
Ils étaient bien 4 mais s’en rappelle que de deux 
La police dira que c’est pas de leur faute à eux 
Qu’au vu de ses habits: "le méritait un peu"

Elle était sortie seule
Mais quelle putain de tristesse d’être protégée qu’avec un gun 
Au sein d’cette boîte parisienne 
Elle comptait bien s’en sortir indemne 
Ne savait pas qu’elle passerait la nuit inconsciente dans une ruelle  

Bientôt 4h
J’veux m’en aller 
J’marche de travers 
J’ai bu que 3 verres 

J’vomis par terre 
J’en mets partout 
Puis j’me promets
Que c’est la dernière 

Et j’me promène
Des voix derriere 
Dans mon oreille, j’entends «  ma belle, ce soir t’es mienne.» ( ce soir, t’es mienne)

Elle ressent du dégoût pour ces messieurs 
Des larmes de peur qui découlent de ses yeux 
Elle en revient même à ne plus prier les cieux 
À s’demander si il existe vraiment un Dieu 
L’impression d’se faire toucher par qui le veut 
Ils étaient bien 4 mais s’en rappelle que de deux 
La police dira que c’est pas de leur faute à eux 
Qu’au vu de ses habits: "le méritait un peu"

Qu’est ce que je fous dans cette soirée 
J’ai qu’une envie c’est de m’en aller (aller)
Plus jamais j’accepte d’être invité
Plus jamais j’me pointe 

Car, tous les jours j’pense à moi, ouais 
J’suis un humain comme les autres 
Et si j’me barre j’me dis « à qui la faute ?» 
Qui veut vraiment que j’sois là sur les photos ?
(Photos, photos)

J’me sens tout seul dans mes délires 
J’ai peut-être une tête de truand mais 
J’ai jamais commis aucun délit 

Puis j’regarde sur le trottoir d’à côté 
J’pensais que c’était qu’une prostituée 
Qu’elle était là pour se faire ses billets

10 secondes après, cette femme je l’entends crier 
Des grands gaillards et elle, déshabillée
Je la vois qui se fait emmenée dans la ruelle 

Au sol un talon et sa robe chanel (sa robe chanel)
S’en suit une violente "discussion charnelle" ("discussion charnelle")
J’étais pétrifié
J’étais terrifié
Un putain d’enfer (putain d’enfer..)
Du coup je les ai laisser faire…

Elle ressent du dégoût pour ces messieurs 
Des larmes de peur qui découlent de ses yeux 
Elle en revient même à ne plus prier les cieux 
À s’demander si il existe vraiment un Dieu 
L’impression de se faire toucher par qui le veut 
Ils étaient bien 4 mais s’en rappelle que de deux 
La police dira que c’est pas de leur faute à eux 
Qu’au vu de ses habits: "le méritait un peu"

[outro]

SOMBRE HISTOIRE

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