Laisse moi juste essayer
Braver l’sort 
Qu’est fatal, quand même
Marquer le coup
J’attend + que marquer le coup
J’gratte comme un gus, qu’a perdu sa cons,
son indépendance, yes, laisse lui s’cramer
À la base j’y songe
j’ai deux trois dièses disgraciés, et des reufs qui tombent
4000 tours vers la suite, mais j’ai les yeux fermés
j’envisagerais pas la fuite, tous mes chemins je les ai cernés

Laisse moi juste essayer 
Passer du temps avec ma mère, le temps qu’j’m’accorde avec moi-même
Je les vois fixer ma fenêtre du lampadaire
Attend qu’j’réponde avant qu’on s’pèta
Respecte tass 
Je galère à bosser à la maison
Ce soir, Je les abandonne ils feront d’la merde seul
Hustler j’garde les bons mais j’entretiens
J’les vois les vrais même entre 15
mais j’ai beau expliquer ils comprennent rien



Laisse moi juste essayer
Braver l’sort
Comme contre, et ça y est
On s’en sors, 
Imagine, Libre comme l’air
Je vous en prie, Je ne rêve pas d’une fin terrible ni sous emprise
final j’vise, p’tite com mec
Je n’lève plus l’ton pour être crédible, toi 
Tu sors d’tes gonds, tu prend la porte, pénible, han
C’pas un don d’se sentir très digne
Pour l’éthique j’ai juré 

Laisse moi juste essayer 
Libérer le jnoun, et m’prendre un p’tit été de doute
esclandre, injustifié et lourd, respect annexe mort
Et regrets de souvenirs détachés, j’reste près du confort, quoi qu’il
Faut pas, ça arrive plus vite que ce qu’on pense
Les miens ils ont mis 2 secondes 
S’agirait d’voir tout ce qu’on vie
S’agirait d’en voir le sens, jusqu’à la seconde vie



Laisse moi juste essayer
Braver l’sort, sans voix
Fermer l’store
Ne plus rien voir, les yeux ouverts
Let me Be lord dans c’bordel, les cieux gouvernent
Comme moi
Sans lucidité
Dans l’noir, j’rêve toujours de pouvoir m’endormir en tranquillité
Pense aux pensées que j’ai eu quand je pensais, rêver
Aucun sens actif, même sous opiacés, j’me pinçais
Laisse moi juste essayer

Communiquer avec moi comme j’use d’idées dans mes lois
je m’endormirais avec un sourire quelconque
Sans belle blonde ou substance
J’me laisse onze minutes sans tomber, 
Sous la cloche, entre la vie et la mort
Ne souffrant qu’au plexus, + qu’à 100, j’vous raccroche, tous
Le temps du temps est révolu
J’attend la suite comme avant

LMJE

De l’art brut jusqu’à temps de m’produire
Jusqu’à temps de trouver la force de - de prouver ma force
Perdre l’habitude de trop m’nuire
Déjà des remords.- de faire
du rap de faible pour l’effort, en fait 

Mon travail ne suffira p’t’être pas 
Pour leur parler comme leur foi
Mes yeux ne veulent qu’etre bas
Donc je comble leur pas, au lieu de les doubler
Car un premier ne regarde que droit devant seulement
De toute façon, j’suis beaucoup trop défoncé
Malgré tout dans mon droit s’lon mon serment

Importun, je reste à l’aise,
En fermant les yeux, un par un, je les entends me découvrir aveugle
J'apaise leurs peurs en un couplet d’aveux
Pourtant, ils n’ont qu’un dédit une fois mis sous leurs yeux, 
Où sont donc leurs coeurs ?

Il faudrait en vivre plus d’une pour toute ces pensées 
Aucun scrupule à danser
Qui va m’empêcher d’danser ?

Ma pause est infinie sur ma montre cassée
Ma prose manque d’un milimètre de tranché
Je suis invisible mais je n’suis plus caché 
Je prône l’indicible art de parler

Art brut

Ma peine s’en va reculant  
À l’abri des regards prudes qui s’en plieraient

Tout n’est que maintenant
Plutôt étudier le cas que l’empirer

C’est parti, Wthc  j’tiens mon joint (comme) la plume de dieu
Tiens mon zin, plein d’phases orgueilleuses -
D’un merdeux pieux fonç qui a 
des flows d’une mer d’eau profondes et des airs de renoncement
J’gratte ma peine mais ça vient pas ça empire, comme
Dans la plaie remuer le couteau mais en pire, ouais
J’ai dormi afin d’éviter le pire, ouais
Au réveil je r’perd encore mon empire, ouais
C’est le shit, sa mère, han
J’repense à - l’idée d’biz d’la veille
Putain, 1 quart de couille 3 thunes et une putain pour la route 
J’pars en fourgon vendre au rendez-vous des troubadours hebdomadaire
J’leurs met des douilles en leur souhaitant bon courage
Tu peux pas t’en plaindre quand c’est toi le rouage
Con d’sa mère j’ai pas les ouvrages
Pour l’savoir, tous ces connards 


Je puise tout à survivre, comment faire plus ?
J’ai le vice facile l’esquisse comme excuse
Mon aube me méprise et me juge

Ma peine s’en va reculant 
À l’abri des regards prudes qui s’en plieraient

Tout n’est que maintenant
Plutôt étudier le cas que l’empirer


Wthc c’est r’parti, baise le monde moche comme un bon vivant
Un fond d’poche comme fin d’mois mon shit en main
Il est fan d’moi, ne ment pas très bien, je l’excuse
Un autre baladin, du moment qu’il suce, bien
Ma mère me répète de reprendre l’école
J’épuise le rap dont je m’approprie les codes
Mon dessein plein de mots que j’découpe propre et recolle
Des fois j’hésite à rompre la corde, j’avoue
À la vue d’une caméra, des envies de luxure
On s’en ira je te le jure 
Cash washing puis j’achète une Time machine
Rev’nir sur les fois ou j’parle Noi-chi
On s’est soigné grâce aux rêves, lucide
Malappris, gros j’ai pas sommeil, tu piges ?
J’décroche pas j’mal à l’oreille
Passe par e-mail ou boite au lettres (futile)


Je puise tout à survivre, comment faire plus ?
J’ai le vice facile l’esquisse comme excuse
Mon aube me méprise et me juge
Qu’on me concilie la suite

Ma peine s’en va reculant 
À l’abri des regards prudes qui s’en plieraient

Tout n’est que maintenant
Plutôt étudier le cas que l’empirer

Étudions

Mes cernes se nourrissent de c’que j’oublie
J’passerai pour la ride, celle qui les creuse encore un peu

Je découvre des couleurs dans le noir
Personne ne saura jamais, - tout, c’qui, s’trame -
La suite arrive comme la redescente, - 
J’ai l’art des sens
J’reviens du travail fort, j’connais rien d’+ sport, 
Que l’enjoy qu’on s’exhorte,
payez-moi, que je puisse rêver dignement
J’gère mal la fatigue et l’temps qu’on me laisse pour vivre vraiment
- Des redemandes
D’extases plein d’amis et d’gens qu’on kiffe vraiment
C’est tout tracé, sont tous cramés sous douzes grammes hein
Ça coutera si tu soudoie des excuses pour les coupables
J’vois tout en double
C’est l’défouloir, mon dévouloir
J’sème, la panique, j’t’aime, y’a vla d’pertes putain

Faut qu’on s’aime avec les mots, 
faut pas qu’on perde, les morts, faut voir, plus loin

Faut qu’on s’aime avec les mots, 
faut pas qu’on perde, les morts, faut voir, plus loin

Faut qu’on s’aime avec les mots, 
Faut voir, LSdLS, W_Thc 2 2 0 2 et 1
Du 13, à l’Atlantique, et toujours plus loin

À ceux qui me poussent et aux autres, 
À ceux qui lorgnent 
À ceux qu’ont écoutés, à ceux mornes
Assez d’bornes pour écouter tout l’album
À ceux qui s’déforment, et qui le voient
À ceux qui la perde
À ceux qui m’croient


J’ai pardonné ce que j’ai vu, mes sens te communiquent tous, ami

Du mal à mettre des mots sur c’que t’aimes pas, je les ai

J’veux tous vous bénir
J’ai pas de chance ou j’suis choisi,
Gars, j’ai le smile quand tout est moisi
Je cours dans la foule en fougue en furie, 
J’ai pas de pass pour vos soirées vos sales rêves sans sortie
Stress, face à la mise à la mer
J’rêve tous les soirs devant l’soleil qui s’couche 
Encore l’effort qui met en jeu ma fierté
Faut rendre à ma mère et sublimer c’que j’touche

Mais 

A quoi bon 
Si je vois aucune de ces foutus portes
Je m’assois sur le pallier, j’en roule un autre
Ça va de soit, la haine, c’est fou tu portes l’œil
Je serai plus calme si j’en voyais le bout, 
À notre jeu de fou 
À nous
Ouais

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