On Nous Dit

Gamin de Montmartre, Thomas Pradeau (né en 1985) grandit dans ce quartier typique et commence dès l'âge de six ans à faire ses premières gammes au piano et ses cours de chant. 
Quelques années plus tard il forme son premier groupe de pop française, Kohinor, dont il est le chanteur et guitariste.

Très vite Thomas vit de sa musique en jouant dans les cabarets de la Place du Tertre, où il interprète des standards français.
Auteur-compositeur, passionné par la culture musicale francophone, Thomas quitte le groupe Kohinor et plonge corps et âme dans la création de textes emplis de poésie et de légèreté, jonglant entre une écriture impressionniste et réaliste qui donne rapidement naissance à une patte originale et personnelle.

Ces textes, mis en mélodie et interprétés avec passion sont remarqués par Michael Goldman.
Il en résulte la sortie du premier album " A deux pas de ma rue " en  2010 avec le label My Major Company.
Thomas donne alors de nombreux concerts parisiens (Scène Bastille, L’Européen, Le Café de la Danse) ainsi que de nombreuses premières parties (Irma, Joyce Jonathan)  sur les routes de France jusqu’à la scène mythique de l’Olympia.
En parallèle Thomas est sollicité par plusieurs artistes en tant qu'auteur-compositeur et réalisateur.
En 2012 il participe aux Rencontres d'Astaffort, crées par Francis Cabrel et parrainée cette année-là par Grand Corps Malade. 

De la richesse de toutes ces rencontres, de Astaffort à celles de la vie quotidienne, nait plusieurs collaborations : « T’aimer tue » avec Ben Ricour, « Elena » avec Nicolas Boisnard (Archimède)
Vivement encouragé par ces derniers il décide de solliciter à nouveau son public afin de créer un nouvel opus. 

« Le voici me voilà » met en exergue toute l’inventivité de Thomas Pradeau. 
On y trouve des chansons raffinées conçues avec de vrais arrangements, les plus observateurs remarqueront l’influence de Queen, de Gainsbourg ou d'Higelin, des maîtres qui ont toujours inspiré Thomas Pradeau.

On voyage, on essuie une larme, on rit… tantôt nostalgique, tantôt ironique, tour à tour tendre et sournois, « Le voici me voilà », c’est tout ça à la fois.
