Cease Fire Now! Protesters occupied US Congress on Wednesday, October 18, demanding a ceasefire in Gaza, where Israeli airstrikes have killed thousands of Palestinian civilians, many of them children, and people have limited or no access to water, food, electricity, communications, or medical supplies. This track samples their direct demand: Cease Fire Now! Free, free Palestine!

Cease Fire Now!

Oblivion to Ascension

o número π

A bold multilingual album featuring songs in Dutch, Nordic (Bokmål), and Tajik. It fuses urban hip-hop/reggae-dub with desert-born alt-hardrock and a hint of Hunnu-rock grit: tight, dry grooves and hand-played percussion, deep rolling bass, and a split-guitar palette—acoustic upstroke skanks against punchy overdrive and widescreen echoes—glued by warm electric-piano pads. Dutch tracks bring street-grit, Nordic cuts feel icy and expansive, Tajik songs add dune-drone color. Chant-led hooks, baritone depth, and haloed harmonies make it cinematic yet immediate—built for late-night drives and big rooms alike.

I dag er

Het leven nu

Liba nu

Coproducer: Lille van den Borst
Lyrics:
Vandaag: het leven.
Vandaag: de nacht.
Vandaag: de gloed.
Vandaag: boven mij.
Vandaag: het niets.
Vandaag: het al.
Vandaag: de breuk.
Vandaag: het licht.

We vinden de maat, we bewaren rust.
De adem stroomt in, het hart slaat in de ziel.

(Houd vast) (Ga!)
Soms samen (Samen!) (Samen!) (Samen!) (Samen!)
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles

Vandaag: het leven.
Vandaag: de nacht.
Vandaag: de gloed.
Vandaag: boven mij.
Vandaag: het niets.
Vandaag: het al.
Vandaag: de breuk.
Vandaag: het licht.

We staan hier, we kijken vooruit.
Het niets—en het al—in éénzelfde lied.

(Houd vast) (Ga!)
Soms samen (Samen!) (Samen!)
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles

Vandaag: de storm, vandaag.
Vandaag: de vrede, de rust, vandaag.
Vandaag: de wind, vandaag.
Vandaag: mijn hart, vandaag.
Vandaag: de hoge toon, vandaag.
Vandaag: de diepe toon, vandaag.
Vandaag: de eenheid, vandaag.
Vandaag: de stem, vandaag.

Vandaag: het vuur, vandaag.
Vandaag: de as, vandaag.
Vandaag: de zee, vandaag.
Vandaag: de aarde, vandaag.
Vandaag: de hemel, vandaag.
Vandaag: de donder, vandaag.
Vandaag: de bliksem, vandaag.
Vandaag: het licht, vandaag.

Rust… adem in—laten we alles los.

We schreeuwen, we zingen: samen, nu!
We breken—we helen—we staan op.

(Houd vast) (Ga!)
Soms samen (Samen!) (Samen!)
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles
Alles en alles en alles en alles

ALLES—EN—ALLES—!

Alles en alles

Coproduced by: Lille van den Borst
Lyrics:
La vie, aujourd’hui
La nuit, aujourd’hui
La tiédeur, aujourd’hui
Au-dessus de moi, aujourd’hui
Le rien, aujourd’hui
Le tout, aujourd’hui
La rupture, aujourd’hui
La lumière, aujourd’hui

On trouve le rythme, on garde le calme
Le souffle entre, le cœur bat dans l’âme

Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout

La vie, aujourd’hui
La nuit, aujourd’hui
La tiédeur, aujourd’hui
Au-dessus de moi, aujourd’hui
Le rien, aujourd’hui
Le tout, aujourd’hui
La rupture, aujourd’hui
La lumière, aujourd’hui

Nous tenons ici, le regard devant
Le rien — et le tout — en un seul chant

Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout

Aujourd’hui, l’orage, aujourd’hui
Aujourd’hui, la paix, l’accalmie, aujourd’hui
Aujourd’hui, le vent, aujourd’hui
Aujourd’hui, mon cœur, aujourd’hui
Aujourd’hui, l’aigu, aujourd’hui
Aujourd’hui, le grave, aujourd’hui
Aujourd’hui, l’union, aujourd’hui
Aujourd’hui, la voix, aujourd’hui

Aujourd’hui, le feu, aujourd’hui
Aujourd’hui, la cendre, aujourd’hui
Aujourd’hui, la mer, aujourd’hui
Aujourd’hui, la terre, aujourd’hui
Aujourd’hui, le ciel, aujourd’hui
Aujourd’hui, le tonnerre, aujourd’hui
Aujourd’hui, l’éclair, aujourd’hui
Aujourd’hui, la lumière, aujourd’hui

Calme… inspire — expirons tout

Nous crions, nous chantons : ensemble, maintenant !
Nous brisons — nous guérissons — nous nous levons

Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout
Tout et tout et tout et tout

TOUT — ET — TOUT — !

Aujourd’hui, la lumière, lumière, lumière

Tout et tout

Lyrics:
Demain ressemble à hier — et hier à aujourd’hui,
Deux fois une seconde chance — est-ce trop pour la vie ?

Il y a un an — j’échouais au même point,
Sans savoir si quelqu’un — m’offrirait d’essayer, enfin.
Étiré, fané — le regret colle au verre,
Mon nom tinte partout — chaque mot rouille et se serre.
Seul, sous les arbres d’appels bourdonnant aux carreaux,
Je mime l’habitude — mon cœur reste en repos.

Je tiens mon souffle, j’attends le bon signal —
Qu’un mot déchire l’ombre, simple et fraternel.

Demain porte l’habit d’hier — et hier prête aujourd’hui,
Deux fois une seconde chance — est-ce trop, dis, pour la vie ?
L’an fait sa ronde — me laisse au même carrefour,
Qui viendra me reprendre — croire en mon retour ?

Demain comme hier… aujourd’hui me suit.

Voler ou se dissoudre — la poussière est légère,
À chaque pas le fardeau chute — le souffle devient prière.
Berce-moi dans tes bras — jusqu’à ce que tout se taise,
La nuit craque — je suis seul — brebis des landes françaises.

Aube pâle sur la vitre — mon nom glisse et se tait,
Sous les décombres, pourtant, une étincelle naît.

Demain porte l’habit d’hier — et hier prête aujourd’hui,
Deux fois une seconde chance — est-ce trop, dis, pour la vie ?
L’an fait sa ronde — me laisse au même carrefour,
Qui viendra me reprendre — croire en mon retour ?

Je repousse le réveil — comme si le temps cédait,
J’inscris mon nom en buée — il retombe et confidait.
Si demain questionne hier — je réponds : « aujourd’hui ».
Je lève l’ancre, tends la voile — et pars sans bruit.

Sous les ruines — une braise qui luit.

Demain ressemble à hier — et hier à l’aujourd’hui,
Une seconde, seconde chance — oui, c’est ce que je prie.
L’an tourne encore — mais je quitte l’ancien point,
Sachant que, moi aussi, j’accorde l’essai enfin.

J’attache mon nom au jour — j’enfouis l’ancre au fond,
Je rends au temps sa course — plus de cercles, mais un rond.
Je sors de la nuit — droit devant, sans détour,
Et j’ouvre grand la porte — pour un nouveau retour.

Deux fois une seconde chance

Lyrics:
Modus, mode, beau, sincère — aucun homme n’est moins que rien
Pleurer près de l’ascenseur — comme si c’était péché — je me retiens
Deux, trois vies — tu gardais ton cap dans le froid — transi
Je dis ton nom — la ville, jalouse ou fière, s’immobilise — transie
Tic-tac — les marches montées — petit chaton mort — un cri
Lumières, regard devant — ta volonté de vie

Deux ou trois vies dans l’année — qui devine ce tour ?
L’appui, poignée de poussière — se dissout dans la brume du jour

Rouge — coquelicots, primes sensations
Si ce n’est pas maintenant — je le fais — autodétermination
J’avance encore — dur au front — obstination
Le poids de qui j’étais — plus d’ego — abolition

Pourtant tu y parviens — parce que tu restes qui tu es
Tu peux ce que tu peux — tu t’habitues à ce que tu connais
La ville est un miroir, chaque marche est un combat
Mais toi tu prends la clarté — tu refuses l’appât
Tu comptes tes pas, tu tranches l’accord
Tu le poses là — et tu vas encore

Là où perle le doute et où le silence siffle — triste
Tu tiens droit, au soleil comme dans la brume — réaliste
Mode et courage — lumière dans le manque — humaniste
Deux, trois vies — personne ne l’a su — pas sur la liste

Rouge — coquelicots, primes sensations
Si ce n’est pas maintenant — je le fais — autodétermination
J’avance encore — dur au front — obstination
Le poids de qui j’étais — plus d’ego — abolition

Une sœur — si petite, si grande — tu rougis
Grande dame — moi, le frère de Roos
Du coin fêlé de ville aux hauteurs de France
Chanel, Coco — hardiesse — œil dans l’œil
On porte des cartons — jour après jour
Il est quelle heure ? Quatre heures — moi, une heure moins quart
J’arrive en retard — tu le vois d’emblée
Où donc ? Ici — je marche à tes côtés
Je porte le sac — tu gardes la porte entrouverte, deux par deux
Coquelicot pris — l’automne qui tient
Beau ce que tu es — et ce que tu bâtis
Tu ne te plies pas — tu plies ta volonté

Rouge — coquelicots, primes sensations
Si ce n’est pas maintenant — je le fais — autodétermination
J’avance encore — dur au front — obstination
Le poids de qui j’étais — plus d’ego — abolition

Dame — étudier à A’dam — luxe d’abord incompris
Maintenant c’est clair : c’est ta mesure — sans masques, sans artifices
Toujours mal comprise — mais tu es ce qui est juste
Tu hausses la norme — tu montres ce qu’est l’audace, la juste
Jouer aux soldats, danger des vers — tu offres patience
Tu remplis la mesure que l’horloge d’autrui ne compense
Un homme, pas un héros — toi tête blessée, relevée
Veillant près du lit — la famille — abandonnée
Une maison qui porte, un cœur qui sait
Tissage de soins qui n’oublie jamais
Coke ou l’Espagnol — les récits planent
Longue distance — à demi oubliés, à demi pardonnés
Coup dans la nuit — ni araignée, ni cuir
Un flic ou quoi que ce soit — qu’on les fasse l’absoudre et s’enfuir
Qu’ils aillent tous se faire foutre — ou revivre le cancer

Rouge — coquelicots, primes sensations
Si ce n’est pas maintenant — je le fais — autodétermination
J’avance encore — dur au front — obstination
Le poids de qui j’étais — plus d’ego — abolition

I dag er

trisiz

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