Zgodnie z wcześniejszą zapowiedzią prezentujemy kolędę na Boże Narodzenie, które zbliża się wielkimi krokami. Słowa kolędy napisała jak zwykle moja kochana żona. Zapraszamy do odsłuchu. Napiszcie w komentarzach, czy podoba się Wam nasza twórczość i czy chcecie abyśmy tworzyli więcej takich kompozycji. 

W Betlejem dziś cuda ...

Entre Sable et Sel, Chroniques d'Oléron" est le premier album de Lene Couneau, une artiste virtuelle née de l'imagination de Guillaume, passionné aux racines oléronaises.
Cet album est une déclaration d'amour à l'île d'Oléron, surnommée "La Lumineuse" pour sa lumière si particulière. À travers diverses chansons, Lene Couneau explore les multiples facettes de ce joyau de l'Atlantique : la mélancolie poétique de ses plages en hiver, la douceur de vivre de ses villages, l'énergie festive de ses soirées d'été, et la beauté sauvage de sa nature préservée.
Naviguant entre une folk-pop acoustique intime et une pop estivale légère et sophistiquée, l'album est une invitation au voyage, à la contemplation et au rêve. Les mélodies, portées par des guitares délicates, des pianos chaleureux et des touches de saxophone aérien, créent une atmosphère unique, à la fois nostalgique et lumineuse.
"La Lumineuse" est plus qu'un simple album ; c'est une expérience immersive, une balade sonore au cœur d'une île qui ne cesse de fasciner et d'inspirer.
Crédits :
Musique et paroles par Guillaume, avec l'assistance de l'IA.
Voix et interprétation par Lene Couneau, artiste virtuelle.

Marais et secrets

Dans le monde futur,
les êtres humains avaient établi une culture dans laquelle ils achevaient leurs derniers instants ensemble—
〈Le Test en Pair〉.

Là, mourir seul n’était pas considéré comme un « échec »,
mais comme rien de plus qu’une tristesse.

De même qu’on ne peut pas vivre entièrement seul,
on ne peut pas porter la mort seul.
Le monde futur chérissait cette vérité simple.

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Pourtant—

Lorsque Satan Claus tourna son regard vers l’époque présente,
une inquiétude agitée s’éleva dans sa poitrine.

Les gens fixaient leurs téléphones,
les conversations s’éteignaient,
la douleur était portée en silence,
et d’innombrables vieillissaient sans personne sur qui compter.

À cette vue, il ressentit quelque chose entre l’étonnement et la colère,
et réalisa alors :

« Les humains sont si proches les uns des autres,
et pourtant pourquoi sont-ils si éloignés… ? »

Avec sa colère,
une ombre légère de tristesse se répandit en lui.

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Restaurer la « bonne fin »

Pour Satan Claus, la « bonne mort » était un moment partagé avec un autre,
un moment où l’on pouvait ressentir :
« Parce que tu étais là, je suis resté humain jusqu’à la fin. »

Le Test en Pair était le rituel destiné à faire naître une telle mort.

Mais il comprenait aussi—
ce n’était pas une simple instruction, ni un ordre.

« Peut-être que les humains sont faits pour avoir besoin les uns des autres. »

Un souhait pour l’humanité commença à grandir en lui.

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Pour combler la solitude du faucheur

Satan Claus était un observateur des âmes.
Pourtant, à travers le temps infini,
il avait rarement touché un autre cœur.

Ainsi, les émotions nées du Test en Pair—
peur, proximité, courage, pardon, gratitude—
brillaient si intensément qu’elles transperçaient son propre cœur.

« Les humains… comment peuvent-ils posséder des cœurs si beaux ? »

Il choisit Noël,
car c’était le seul jour où les gens pouvaient devenir un peu plus doux.

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Sa décision

« Personne ne désire vraiment une mort solitaire.
Ils ne savent simplement pas comment tendre la main.
Alors… je vais leur rappeler. »

Il ressuscita les sages du passé et imposa des Tests en Pair impossibles.
Non pas pour les conduire à la mort, mais—

pour créer une chance de tendre la main à un autre.

« Avoir besoin de quelqu’un n’est pas une faiblesse.
C’est la preuve d’être en vie. »

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Après le Test en Pair

Lorsque les épreuves prenaient fin,
Satan Claus marchait toujours seul dans la ville.

Illuminations scintillantes.
Les gens fixant leurs téléphones.
Certains riaient, d’autres pleuraient—
leurs cœurs intérieurs invisibles pour quiconque.

Il s’arrêta et murmura :

« Peut-être… c’est la douleur elle-même qui pousse les humains à se chercher. »

Ses mots ne portaient ni colère ni mépris.
Seulement une compréhension douce de l’humanité,
même de la part d’un faucheur.

Et il sourit doucement.

« La bonne mort se trouve au terme de la bonne vie.
S’ils peuvent s’en souvenir, cela suffit. »

L’ourlet de sa robe noire ondulait dans le vent,
et il disparut dans l’obscurité.

Comme s’il était lui-même une ombre née pour sauver la solitude.


RADWIMPS - Is There Still Anything That Love Can Do

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