Encore et Toujours

(Style : Zouk Love / Slow )

[Auteurs : Arnold Masirika ft. Mubaks]


[Couplet 1]

Je n’ai connu l’amour que par ton regard,

Un souffle doux, un ciel sans hasard.

Ton nom a dansé dans mes silences,

Depuis, mon cœur bat en cadence.


[Pré-refrain]

On a connu les pleurs, les nuits sans voix,

Mais chaque battement me ramène à toi.

À travers le doute, j’ai vu la lumière,

Ton amour m’élève, me rend sincère.


[Refrain]

Encore et toujours, je t’aimerai,

Sous le soleil, même s’il disparaît.

Même si le monde devient désert,

Je garderai ton nom dans mes prières.

Encore et toujours, je te le promets,

Mon cœur t’appartient à jamais.


[Couplet 2]

Tu n’es pas parfaite, mais tu l’es pour moi,

Déborah, ma force, mon émoi.

Même à ton plus bas, tu brillais quand même,

C’est toi mon “All Of Me”, celle que j’aime.

J’ai flippé, pleuré quand t’étais malade,

Mais ton sourire chassait mes balades.

Et dans mes prières, chaque nuit je criais,

Que ton souffle demeure, que tu me souries.


[Couplet 3]

J’ai toujours été là et je le serai toujours, je te l’avais promis.

Pour le meilleur et pour le pire, l’engagement est déjà pris. 

J’ai revu notre passé et j’en ai eu les larmes,

Bien des hauts et des bas, on a connu les drames.

On a remonté le temps et recousu nos âmes,

Main dans la main, loin de tous les vacarmes.


[Refrain]

Encore et toujours, je t’aimerai,

Sous le soleil, même s’il disparaît.

Même si le monde devient désert,

Je garderai ton nom dans mes prières.

Encore et toujours, je te le promets,

Mon cœur t’appartient à jamais.


[Pont musical]

Si l’amour est un combat, je rends les armes,

Car dans tes bras, je perds mon alarme.

Je veux veiller sur ton sommeil tranquille,

T’aimer en silence, loin des profils.


[Outro]

Encore et toujours…

Déborah, mon amour…

“All Of Me”, c’est toi…

Pour la vie, pour la foi.


[Refrain]

Encore et toujours, je t’aimerai,

Sous le soleil, même s’il disparaît.

Même si le monde devient désert,

Je garderai ton nom dans mes prières.

Encore et toujours, je te le promets,

Mon cœur t’appartient à jamais.

Encore et Toujours (Zouk love - Passion)

Encore et Toujours (Zouk love - Tendresse)

Source de bénédictions

A/C : Mubaks

[Verse 1]
T’as grandi dans l’ombre, avec des blessures profondes,
Mais t’as survécu, t’as tenu tête au monde.
Même si chez toi y’a des absents sur la photo,
Ton Père céleste t’aime plus que tu ne crois, tu vaux gros.

Les nuits sont froides, les regards lourds parfois,
Mais t’as dans le cœur un feu que rien n’éteindra.
Ce monde essaie d’effacer ta foi,
Mais tu tiens bon, le ciel combat avec toi.

[Pre-Chorus]
Quand t’es à bout, lève les yeux,
Un ange veille, même quand t’as les yeux en feu.
Résiste au mal, sois fort et fidèle,
T’es pas seul, ton nom est inscrit au ciel.

[Chorus]
Garde ton cœur, c’est la source de la vie,
Marche dans la foi, même quand tout est gris.
Tu es lumière, t’es la voix, le chemin,
T’es une bénédiction, dis “amen” et tu tiens.

Déclare haut : “J’suis fort, j’suis béni, j’suis prêt !”
Rien ni personne ne brisera mes projets.
J’avance avec Dieu, pas à pas, jour après jour,
Coach céleste me guide par amour.

[Verse 2]
La tentation frappe comme une vieille habitude,
Mais toi t’as choisi la haute altitude.
T’as des rêves, des livres, des prières dans la main,
Et des frères qui veillent sur ton lendemain.

Prie pour l’autre, c’est ça l’armée,
Unis dans l’amour, personne peut nous plier.
La pression monte ? Lève ta voix,
Déclare la victoire, c’est ton droit !

[Bridge – Spoken Word Mentor]
Écoute-moi mon enfant, t’es plus qu’un combat,
T’as la graine du ciel, t’es pas né(e) par hasard.
Quand les autres doutent, lève les yeux vers le Père,
Son regard sur toi vaut plus que toute la terre.

Si tu tombes ? Relève-toi, t’es fort(e) dans la promesse,
Tu n’es pas une erreur, tu portes la richesse.
Et même si ton passé a raturé des pages,
Ton avenir à toi, c’est Dieu qui le ménage.

[Chorus]
Garde ton cœur, c’est la source de la vie,
Marche dans la foi, même quand tout est gris.
Tu es lumière, t’es la voix, le chemin,
T’es une bénédiction, dis “amen” et tu tiens.

Déclare haut : “J’suis fort, j’suis béni, j’suis prêt !”
Rien ni personne ne brisera mes projets.
J’avance avec Dieu, pas à pas, jour après jour,
Coach céleste me guide par amour.

[Outro – Affirmations]
Je suis béni(e), je suis protégé(e).
Je suis une lumière, je suis né(e) pour régner.
Je pardonne, je prie, je m’élève en esprit.
Je suis un enfant du Roi, libre, fort, et uni.

Chaque jour est un don, chaque souffle est victoire,
Je trace mon destin dans la foi, dans l’espoir.

[ OUTRO PARLÉ – Voix mentor] 
T’as été choisi(e).
T’es une bénédiction — pour toi, pour les tiens,
Pour ce monde qui attend ta lumière.
Debout, soldat de l’espérance. T’as déjà gagné.

[Chorus]
Garde ton cœur, c’est la source de la vie,
Marche dans la foi, même quand tout est gris.
Tu es lumière, t’es la voix, le chemin,
T’es une bénédiction, dis “amen” et tu tiens.

Déclare haut : “J’suis fort, j’suis béni, j’suis prêt !”
Rien ni personne ne brisera mes projets.
J’avance avec Dieu, pas à pas, jour après jour,
Coach céleste me guide par amour.

Source de bénédictions

La vie m’a cogné… Dieu m’a relevé

A/C : Mubaks


[Couplet 1]
J’avais seize ans, les yeux pleins de lumière,
Mais l’estomac vide, les poches en galère.
Mon père est parti quand j’avais encore les genoux sales,
Et maman priait fort, même quand y’avait plus de sel.
On vivait à cinq dans deux pièces sans carrelage,
Quand il pleuvait, c’était la douche dans le salon, lavage sauvage.
J’partais à l’école avec des godasses qui râlaient,
Et un devoir griffonné sur des feuilles déjà froissées.
À la pause, les autres sortaient des sandwichs et rires,
Moi j’sortais mes silences, mes pensées, et mes soupirs.
Mais j’rêvais… frère, j’rêvais grand :
Un job stable, un compte en banque, un amour décent.
Un jour j’aurais une caisse, j’emmènerai maman voir la mer,
Mais pour l’instant c’est la marche, le soleil, et la poussière.


[Refrain]
Oui, la vie m’a cogné, j’ai saigné, j’ai fléchi,
Mais Dieu m’a relevé, au milieu de la nuit.
J’ai pleuré sans bruit, j’ai prié sans mot,
Et Il m’a dit : “Mon enfant, debout… vas-y, marche à nouveau.”


[Couplet 2]
J’ai failli tout lâcher, même Jésus j’l’ai boudé.
J’lui ai dit : “Tu vois pas comment j’suis fatigué ?
J’t’écoute, j’t’obéis, mais mes rêves font que mourir…
C’est quand Tu réponds, là ? J’vais finir par pourrir !”
Mais cette nuit-là, j’suis tombé sur un verset…
Pas par hasard. Jean 11: _“Si tu crois, tu verras…”_ 
Ça m’a frappé comme un coup dans le cœur,
Pas magique, non… mais assez fort pour allumer une lueur.
J’ai pas reçu l’argent, ni le visa, ni l’amour,
Mais j’ai reçu la force de tenir un jour… puis un autre jour.
J’ai écrit mes rêves sur les murs de ma chambre,
Et chaque matin, j’les lis comme des psaumes pleins de flammes.


[Refrain]
Oui, la vie m’a cogné, j’ai saigné, j’ai fléchi,
Mais Dieu m’a relevé, au milieu de la nuit.
J’ai pleuré sans bruit, j’ai prié sans mot,
Et Il m’a dit : “Mon enfant, debout… vas-y, marche à nouveau.”


[Pont]
Si t’es là, jeune frère, jeune sœur,
Si t’as connu la honte, le manque, la peur…
Sache que t’es pas seul dans ton coin de douleur.
Y’a un Dieu qui voit dans l’ombre, qui connaît ton cœur.
T’es pas foutu. T’es en chantier.


[Refrain final]
Oui, la vie t’a cogné, t’as fléchi, t’as pleuré,
Mais Dieu peut te relever, te laver, t’renouveler.
Même si le monde t’oublie, que tes proches se moquent,
Le ciel te connaît, et son amour te débloque.
Marche encore, même lentement,
Chante encore, même en tremblant.
Rêve encore, même en noir et blanc…
Parce que Dieu est fidèle, même quand t’as plus de vent.

La vie m’a cogné… Dieu m’a relevé

Allô, allô, tu m’ouvres tes portes

A/C : Mubaks feat. Bradelvie

(Style : Pop/Hip-hop, tempo doux et entraînant, voix féminine enfantine)

[Intro – doux, guitare et claps légers] 
Allô… allô… 
Tu m’ouvres tes portes… 
Allô… allô… 
C’est moi qui t’appelle encore…

[Couplet 1] 
Je t’appelle, tu réponds, mon chouchou 
Quand tu souris, j’te réponds, oui, oui, oui 
Dans nos mots, on se parle doucement 
Et ça fait chaud, ça fait du bien vraiment

Même si chacun continue sa vie 
Je t’interdis pas de venir par ici 
Tu restes là, quelque part dans mon cœur 
Comme un cadeau, un rayon de douceur

[Refrain] 
Allô, allô, je te vois maintenant 
Allô, allô, je te connais vraiment 
Tu m’as ouvert tes portes, 
Et j’ai franchi le seuil du temps 
Allô, allô, plus rien comme avant 
Allô, allô, le monde est plus grand 
Quand tu m’ouvres tes portes, 
Je sais que je peux être moi tout le temps

[Couplet 2] 
On partage des secrets, des histoires 
Comme deux étoiles qui brillent le soir 
On se confie nos rires, nos chansons 
Et nos silences ont le même ton

Tu m’écoutes, et je t’écoute aussi 
On construit un chemin pour la vie 
Et même quand les nuages reviennent 
Je sais qu’au bout, tes mains me retiennent

[Refrain] 
Allô, allô, je te vois maintenant 
Allô, allô, je te connais vraiment 
Tu m’as ouvert tes portes, 
Et j’ai franchi le seuil du temps 
Allô, allô, plus rien comme avant 
Allô, allô, le monde est plus grand 
Quand tu m’ouvres tes portes, 
Je sais que je peux être moi tout le temps

[Pont – ambiance aérienne] 
Parfois le monde tourne trop vite 
Mais toi, tu restes là, sans limite 
Un regard et je comprends tout 
C’est comme danser au milieu des flous

[Refrain – final x2] 
Allô, allô, je te vois maintenant 
Allô, allô, je te connais vraiment 
Tu m’as ouvert tes portes, 
Et j’ai franchi le seuil du temps 
Allô, allô, plus rien comme avant 
Allô, allô, le monde est plus grand 
Quand tu m’ouvres tes portes, 
Je sais que je peux être moi tout le temps

[Outro – instrumental fade out, soft and warm, slowly decreasing volume until silence] 
Allô… allô… 
Signé Bradelvie...

Allô, allô, tu m’ouvres tes portes

🎵 DOUCEUR QUI INSPIRE

(RnB / Gospel inspirant – Hommage à Maman Laetitia Ngimbi)

A/C : Mubaks & Friends
 

[Verse 1]  
Tu n’élèves pas la voix, mais ton cœur parle fort,  
Tu sèmes la paix, tu donnes encore et encore.  
Quand quelqu’un tombe, tu tends la main,  
Tu restes vraie, simple et bien.  

Ta présence calme même les vents,  
Ton sourire fait taire le temps.  
Ton âme est un reflet du ciel,  
Un écho d’amour essentiel.  

[Chorus]  
Douceur qui inspire, femme de foi,  
Ton calme rassure, ton regard donne la joie.  
Dieu te garde, Il marche avec toi,  
Du matin jusqu’au soir, Il est ton Roi.  

Douceur qui inspire, lumière du jour,  
Ton nom respire l’amour.  
Tu vis pour donner, tu vis pour bénir,  
Et ton cœur ne sait qu’aimer.  

[Verse 2]  
Tu parles peu, mais chaque mot touche,  
Tes gestes parlent, ta foi s’écoute.  
Même quand la fatigue veut t’arrêter,  
Ton âme choisit d’aimer.  

Tu ne gardes rien pour toi,  
Tout ce que tu as, tu donnes avec foi.  
Tu portes les autres dans ta prière,  
Et Dieu te couvre de lumière.  

[Bridge – avec chœurs doux]  
Il te porte, oui, depuis toujours,  
Il te bénit jour après jour.  
Son regard veille sur ton chemin,  
Et Sa paix habite tes mains.  

Zéro peur, zéro douleur,  
Sa grâce t’entoure à chaque heure.  
La terre du Congo te sourit,  
Car Dieu vit à travers ta vie.  

[Final Chorus – gospel, intense]  
Douceur qui inspire, femme de foi,  
Ton calme rassure, ton regard donne la joie.  
Dieu te garde, Il marche avec toi,  
De la jeunesse à la vieillesse, Il est ton Roi.  

Douceur qui inspire, lumière du jour,  
Ton nom respire l’amour.  
Maman Laetitia, bénie sois-tu,  
Ta vie chante la bonté de Jésus.  

[Final Chorus – reprise, avec chœurs puissants]  
Douceur qui inspire, femme de foi,  
Ton calme rassure, ton regard donne la joie.  
Dieu te garde, Il marche avec toi,  
De la jeunesse à la vieillesse, Il est ton Roi.  

Douceur qui inspire, lumière du jour,  
Ton nom respire l’amour.  
Maman Laetitia, bénie sois-tu,  
Ta vie chante la bonté de Jésus.  

[Outro – parlé, apaisé]  
Tu es ce rayon que Dieu a déposé parmi nous,  
Un souffle de paix dans nos jours les plus lourds.  
Que ton cœur reste plein de lumière,  
Et que ton âme continue d’aimer. 🌸

Douceur qui inspire

🎵 𝙎𝙊𝙐𝙎 𝙇𝘼 𝙋𝘼𝙄𝙇𝙇𝙊𝙏𝙀

Titre : Sous la paillote
Auteur – Compositeur : Mubaks
Texte original écrit par : Serge 𝙈𝘽𝙆
Genre : Zouk-soul / Ballade émotionnelle
Langue : Français
Durée estimée : 4:28


[Couplet 1]
Sous la paillote, un soir de lune,
Le vent portait nos cœurs à l’unisson.
On s’était promis la transparence,
De se dire vrai, sans faux-semblants.
Je t’avais dit : “si un jour on s’aime,
Ce sera sans masque, sans dilemme.”
Et dans tes bras, j’ai cru entendre
Que ton âme savait m’attendre.

[Pré-refrain]
Mais le temps, sournois, a tout changé,
Les mots ont pris d’autres sentiers.
Dans ton regard, j’ai vu des ombres,
Et ton sourire devenait sombre.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Ni la méfiance, ni les pleurs.
Tu as gommé nos traces d’amour,
Mais pas les blessures des jours.
Sous la paillote, tout s’est brisé,
Là où nos âmes s’étaient juré
Que la vérité serait la clé…
Tu as menti, et j’ai saigné.

[Couplet 2]
J’ai vu ton écran, le vide des lignes,
Les silences lourds, les mots indignes.
Tu disais “non”, mais je savais,
Ton regard trahissait ce que tu taisais.
Un flirt caché, un souffle volé,
Des mots qu’on n’aurait pas dû donner.
Et même si je ne sais pas tout,
Ce que je sais me suffit, c’est trop pour nous.

[Pré-refrain 2]
Pourquoi j’ai cru qu’aimer protège ?
Pourquoi penser qu’on tient ses promesses ?
J’ai voulu croire en ta lumière,
Mais j’ai trouvé l’ombre derrière.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Ni la méfiance, ni les pleurs.
Sous la paillote, tout s’est brisé,
Mais de mes cendres, je vais me relever.
Tu as choisi le mensonge pour fuir,
Moi j’ai choisi de ne plus souffrir.
Car la vérité, quand bien même crue,
Guérit mieux que les mots perdus.

[Pont]
Je ne veux plus haïr, ni me défendre,
Je veux guérir sans me répandre.
J’apprends à vivre avec mes failles,
À faire la paix sous les entailles.
Et si demain tu regrettes un peu,
Je ne serai plus le même qu’avant sous tes yeux.
Car j’ai compris que l’amour sans clarté
N’est qu’un mirage qu’on veut garder.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Mais j’en fais une graine de valeur.
Sous la paillote, le rêve s’est tu,
Mais l’homme blessé s’est enfin souvenu.
J’ai laissé partir l’amour perdu,
Pour ne plus mourir d’un cœur déçu.

[Refrain final]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Mais j’en fais une graine de valeur.
Sous la paillote, le rêve s’est tu,
Mais l’homme blessé s’est enfin souvenu.
J’ai laissé partir l’amour perdu,
Pour ne plus mourir d’un cœur déçu.

[Outro]
Sous la paillote, un soir de lune,
Je t’avais cru pure, je t’avais crue une.
Mais le vent emporte les illusions,
Et laisse l’âme nue, sans confession.
Alors je marche, sans amertume,
Vers d’autres horizons, sous d’autres lunes.
La vérité m’a fait tomber,
Mais c’est debout que je vais aimer.

Sous la paillote

🎵 𝙎𝙊𝙐𝙎 𝙇𝘼 𝙋𝘼𝙄𝙇𝙇𝙊𝙏𝙀 (𝘾𝙊𝙑𝙀𝙍)

Titre : Sous la paillote (cover)
Auteur – Compositeur : Mubaks
Texte original écrit par : Serge 𝙈𝘽𝙆
Genre : Zouk-soul / Ballade émotionnelle
Langue : Français
Durée estimée : 4:17


[Couplet 1]
Sous la paillote, un soir de lune,
Le vent portait nos cœurs à l’unisson.
On s’était promis la transparence,
De se dire vrai, sans faux-semblants.
Je t’avais dit : “si un jour on s’aime,
Ce sera sans masque, sans dilemme.”
Et dans tes bras, j’ai cru entendre
Que ton âme savait m’attendre.

[Pré-refrain]
Mais le temps, sournois, a tout changé,
Les mots ont pris d’autres sentiers.
Dans ton regard, j’ai vu des ombres,
Et ton sourire devenait sombre.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Ni la méfiance, ni les pleurs.
Tu as gommé nos traces d’amour,
Mais pas les blessures des jours.
Sous la paillote, tout s’est brisé,
Là où nos âmes s’étaient juré
Que la vérité serait la clé…
Tu as menti, et j’ai saigné.

[Couplet 2]
J’ai vu ton écran, le vide des lignes,
Les silences lourds, les mots indignes.
Tu disais “non”, mais je savais,
Ton regard trahissait ce que tu taisais.
Un flirt caché, un souffle volé,
Des mots qu’on n’aurait pas dû donner.
Et même si je ne sais pas tout,
Ce que je sais me suffit, c’est trop pour nous.

[Pré-refrain 2]
Pourquoi j’ai cru qu’aimer protège ?
Pourquoi penser qu’on tient ses promesses ?
J’ai voulu croire en ta lumière,
Mais j’ai trouvé l’ombre derrière.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Ni la méfiance, ni les pleurs.
Sous la paillote, tout s’est brisé,
Mais de mes cendres, je vais me relever.
Tu as choisi le mensonge pour fuir,
Moi j’ai choisi de ne plus souffrir.
Car la vérité, quand bien même crue,
Guérit mieux que les mots perdus.

[Pont]
Je ne veux plus haïr, ni me défendre,
Je veux guérir sans me répandre.
J’apprends à vivre avec mes failles,
À faire la paix sous les entailles.
Et si demain tu regrettes un peu,
Je ne serai plus le même qu’avant sous tes yeux.
Car j’ai compris que l’amour sans clarté
N’est qu’un mirage qu’on veut garder.

[Refrain]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Mais j’en fais une graine de valeur.
Sous la paillote, le rêve s’est tu,
Mais l’homme blessé s’est enfin souvenu.
J’ai laissé partir l’amour perdu,
Pour ne plus mourir d’un cœur déçu.

[Refrain final]
Tu as effacé les mots, pas la douleur,
Mais j’en fais une graine de valeur.
Sous la paillote, le rêve s’est tu,
Mais l’homme blessé s’est enfin souvenu.
J’ai laissé partir l’amour perdu,
Pour ne plus mourir d’un cœur déçu.
Sous la lune, tout s’éteint sans bruit,
Et la paix revient, dans la nuit.

[Outro]
Sous la paillote, un soir de lune,
Je t’avais cru pure, je t’avais crue une.
Mais le vent emporte les illusions,
Et laisse l’âme nue, sans confession.
Alors je marche, sans amertume,
Vers d’autres horizons, sous d’autres lunes.
La vérité m’a fait tomber,
Mais c’est debout que je vais aimer.

Sous la paillote (𝘾𝙤𝙫𝙚𝙧)

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Je suis Serge Mubakire, passionné par la musique qui élève, rassemble et transforme. À travers le zouk, la rumba gospel ou l’afrobeat, je compose des morceaux enracinés dans la foi, la résilience et l’humain.

Chaque titre ici porte une histoire vraie, un hommage, un cri d’espérance ou une prière chantée. J’accompagne aussi des jeunes en quête de sens à travers La Relève – Atelier des Leaders, où musique et leadership se rencontrent.

Entrepreneur engagé, je développe des solutions sociales et digitales pour l’Afrique. SoundCloud est pour moi un espace vivant, où la voix devient pont, et le rythme, moteur d’impact.

🎶 Bienvenue dans mon univers.

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