Tu m'avais dit mais j’ai pas compris
Je suis retombée dedans le piège me sourit
Putains de tabac qui ronge mes nuits
Je me noie je suffoque je perds qui je suis

Cendres au vent
Un goût brûlant

Putains d’enfer je veux briser ce fer
Ces chaînes serrées autour de ma chair
J’étouffe je hurle mais personne ne m’entend
Putains d’enfer je veux briser ce fer

Les jours s'effacent les ombres s’étendent
Des promesses en l’air des excuses qui pendent
La fumée danse elle me prend en otage
Une prison douce un cruel mirage

Le temps s’effrite
Un cœur en fuite

Putains d’enfer je veux briser ce fer
Ces chaînes serrées autour de ma chair
J’étouffe je hurle mais personne ne m’entend
Putains d’enfer je veux briser ce fer

LES MORCEAUX KI ME TOUCHES LE PLUS

MORCEAUX DE LA SEMAINE 3

LÉGÈRETÉE

Tu m'avais dit mais j’ai pas compris
Je suis retombée dedans le piège me sourit
Putains de tabac qui ronge mes nuits
Je me noie je suffoque je perds qui je suis

Cendres au vent
Un goût brûlant

Putains d’enfer je veux briser ce fer
Ces chaînes serrées autour de ma chair
J’étouffe je hurle mais personne ne m’entend
Putains d’enfer je veux briser ce fer

Les jours s'effacent les ombres s’étendent
Des promesses en l’air des excuses qui pendent
La fumée danse elle me prend en otage
Une prison douce un cruel mirage

Le temps s’effrite
Un cœur en fuite

Putains d’enfer je veux briser ce fer
Ces chaînes serrées autour de ma chair
J’étouffe je hurle mais personne ne m’entend
Putains d’enfer je veux briser ce fer


TU M'AVAIS DIT

J'ai toujours marché contre le vent
Les bottes usées
Le cœur battant
Je vois vos murs
Vos chaînes rouillées
Mais ma liberté
Vous l'avez ratée

Je suis révolte
Je suis fierté
Antifasciste
Je vais crier
Vos jugements
Je m'en fous
Je ris
Traditionnel
C'est ma vie

Vos regards pleins de mépris
Ne brisent pas l'âme que j'ai choisie
Peau dure
Esprit d'acier
Unité dans chaque quartier

Je hais vos frontières
Vos idées froides
L'amour brûle
Mais la haine dégrade

Je suis révolte
Je suis fierté
Antifasciste
Je vais crier
Vos jugements
Je m'en fous
Je ris
Traditionnel
C'est ma vie

Là où la musique fait trembler les rues
On danse ensemble
On n'est jamais perdus
La discrimination
Qu'elle brûle en enfer
Un monde égal
C'est ce que je préfère

JE SUIS UN TRADITIONNEL !!!! version oi

ANTIFA JUSQU'À LA MORT

Toujours debout sous les coups de la nuit
Le poing levé face à l'ennemi
Ils nous traquent
Nous jugent
Mais on s'en fout
On brise leurs chaînes
On brise tout

Le feu dans les veines
Prêt à brûler
L'histoire écrite
Mais pas à plier

Antifa jusqu'à ma mort
Le cœur qui bat
Le cœur qui mord
Dans la rue
Dans les corps
Antifa jusqu'à ma mort

Marre des regards qui pèsent comme des murs
Leurs mots tranchants
Leurs pensées impures
Je porte les couleurs de l'insoumission
Chaque cri
Chaque pas
Une révolution

On avance
On danse
Au bord du chaos
Le monde s'effondre
On garde le flambeau

Antifa jusqu'à ma mort
Le cœur qui bat
Le cœur qui mord
Dans la rue
Dans les corps
Antifa jusqu'à ma mort


ANTIFA JUSQU'À LA MORT !!!!!

Crâne rasé sous la lumière
Bretelles tendues comme des prières
Jeans délavés usés par la guerre
Mes Docs brillent d’un éclat sincère

Je dis oui à l’ouverture
Aux couleurs qui se mélangent
C’est sûr
Non à l’intolérance qui nous dure
Oui à l’avenir
Oui à la rupture

Poings serrés
Mais cœur ouvert
Face à ce monde
Trop souvent désert
La justice
Je la veux entière
Même si elle brûle comme un éclair

Je ne plie pas
Je me tiens droit
Mes valeurs marchent dans mes pas

Je dis oui à l’ouverture
Aux couleurs qui se mélangent
C’est sûr
Non à l’intolérance qui nous dure
Oui à l’avenir
Oui à la rupture

À la vie
À la mort
Je tiens le flambeau
Pas de chaînes
Pas d’enclos
Le monde est vaste
Brisons les murs
C’est notre cri
C’est notre futur


OUI A L'OUVERTURE

MADAME  C
Oh Madame C tu sais j’ai crié
Des nuits noires des rêves brisés
Le sol glissant sous mes pieds
Toi t’étais là à me relever
Pourquoi toi pourquoi pas eux
Pourquoi ton cœur si lumineux
Oh Madame C t’es mon phare
Dans l’orage dans le brouillard
Toi et ta clique vos cœurs ouverts
Des éclats d’amour dans l’univers
Des mots durs gravés dans l’air
Des regards froids des éclats clairs
Mais toi t’es là dans la tempête
À chaque chute à chaque défaite
Et si demain je perds encore
Si mes pas s’effacent dans l’aurore
Toi tu resteras un cri
Un feu un souffle un abri
Oh Madame C t’es mon phare
Dans l’orage dans le brouillard
Toi et ta clique vos cœurs ouverts
Des éclats d’amour dans l’univers.    
Oh Madame C tu sais jai dérapé
Des mots bruts des gestes cassés
Mais toi t’es restée là debout
À m’aider à chaque rendez-vous
Toi et ta clique vos cœurs ouverts
Des éclats d’amour dans l’univers
Merci merci Madame C
Tes ma lumière dans lobscurité
Merci merci toi et les tiens
Vous êtes ma maison dans mes chemins
Votre table déborde de chaleur
Des rires qui guérissent mes erreurs
Vos regards tendres sans jugement
C’est un refuge c’est apaisant
Des violons dans ton âme qui chantent
Un feu doux une flamme vivante
Merci merci Madame C
Tes ma lumière dans lobscurité
Merci merci toi et les tiens
Vous êtes ma maison dans mes chemins

MADAME  C

Soirée feutrée
Lumière cassée
Des ombres dansent
Rien à cacher
Retrouvailles
Attendue
Inattendue
Un miroir brisé
Un passé confus

Contente de te revoir
Après tant d'années
Un sourire fissuré
Mais je suis de ton côté
Ermite
Ermite
Se suffire à soi-même
Voici le maître mot
On brûle ce système

Des discussions
Des éclats perdus
Des mots qui piquent
Des silences crus
Administrative
Tout s’efface
Une autre époque
Un autre espace

Je suis là
Et toi aussi
Des souvenirs
Trop enfouis

Contente de te revoir
Après tant d'années
Un sourire fissuré
Mais je suis de ton côté
Ermite
Ermite
Se suffire à soi-même
Voici le maître mot
On brûle ce système

Agréable
Oui
Mais tranchant
Des vérités qu’on crache en hurlant
Tu vois
On n’a jamais changé
Juste des murs qu’on a déplacés


SOIRÉE FEUTRÉE

Il est temps que j’arrête
Les nuits noires qui m’obsèdent
Je glisse dans l’ombre
Trop de dégâts
Un cri qui se perd
Personne ne le verra

Je m’enferme
Je m’efface
Dans ma cage
Je me fracasse

Machine infernale
Je brûle
Je déraille
Encore un tour
Encore un jour
Machine infernale
Je suis le feu qui s’emballe

Je danse sur les braises
Mes chaînes
Mes malaises
Chaque pas
Une fissure
Un naufrage
Mais je reste là
Pris dans l’engrenage

Le métal crie
Je me tais
Le chaos tourne
Je le fais

Machine infernale
Je brûle
Je déraille
Encore un tour
Encore un jour
Machine infernale
Je suis le feu qui s’emballe


MACHINES INFERNALES

Il y a des ombres qu'on ne chasse jamais
Des échos qui crient dans nos silences
Chaque cicatrice
Une histoire à conter
Le temps caresse
Le temps dévore
Mais la douleur danse encore
Chaque larme versée
Un pas de plus
Une vérité
S’apprivoiser
Se relever
Les larmes qui dansent
Jamais brisées
Le miroir reflète des fantômes passés
Des batailles perdues
Des victoires volées
Savoir plier sans jamais céder
Le vent hurle
La peau se tend
Mais le feu brûle au-dedans
Chaque larme versée
Un pas de plus
Une vérité
S’apprivoiser
Se relever
Les larmes qui dansent
Jamais brisées

LES LARMES QUI DANSENT

S'ÉLOIGNER

Complètement déconnecté
Mon esprit perdu dans l’obscurité
Chaque pas
Un faux mouvement
Je chute encore
Toujours
Constamment

Je me fais honte
Je me dévore
Je m’affronte
Je me tords

Complètement déconnecté
Je me perds dans mes propres regrets
Complètement déconnecté
Je subis
Mais je ne peux qu’accepter

Mon corps
Lourd comme de la fonte
Chaque battement
Un écho qui monte
Je ne comprends pas
Je m’effondre
Toujours le même cercle
Je succombe

Recommence encore
À faire de la merde
Le prix fort
Je le paye
Ça me blesse

Complètement déconnecté
Je me perds dans mes propres regrets
Complètement déconnecté
Je subis
Mais je ne peux qu’accepter

DÉCONNECTÉES

le zaz (DJZ)