Call me · Tử Du - 梓渝

Cầu Phật - Tử Du (Guitar Cover) | 求佛 - 梓渝 | Revenged Love 2025 | Nghịch Ái | 逆愛

♪ Khó Sinh Hận · Lễ Việt || 难生恨 · 礼越 - Revenged Love 2025 || Nghịch Ái || 逆愛

Tử Du - Sa lầy 《梓渝-泥潭》

(live) I can - Ziyu 《我可以 · 梓渝》

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Ziyu - Say it before sunrise [Tử Du-Hãy nói yêu trước khi bình minh đến]  【梓渝·趁黎明来临前说爱吧】

ZiYu/Tử Du - Sau Cơn Mưa Trời Lại Sáng #雨后晴天.mp3

I am a fish - Ziyu 《我是一只鱼·梓渝》 Tôi là một chú cá - Tử Du

Dans le monde futur,
les êtres humains avaient établi une culture dans laquelle ils achevaient leurs derniers instants ensemble—
〈Le Test en Pair〉.

Là, mourir seul n’était pas considéré comme un « échec »,
mais comme rien de plus qu’une tristesse.

De même qu’on ne peut pas vivre entièrement seul,
on ne peut pas porter la mort seul.
Le monde futur chérissait cette vérité simple.

---

Pourtant—

Lorsque Satan Claus tourna son regard vers l’époque présente,
une inquiétude agitée s’éleva dans sa poitrine.

Les gens fixaient leurs téléphones,
les conversations s’éteignaient,
la douleur était portée en silence,
et d’innombrables vieillissaient sans personne sur qui compter.

À cette vue, il ressentit quelque chose entre l’étonnement et la colère,
et réalisa alors :

« Les humains sont si proches les uns des autres,
et pourtant pourquoi sont-ils si éloignés… ? »

Avec sa colère,
une ombre légère de tristesse se répandit en lui.

---

Restaurer la « bonne fin »

Pour Satan Claus, la « bonne mort » était un moment partagé avec un autre,
un moment où l’on pouvait ressentir :
« Parce que tu étais là, je suis resté humain jusqu’à la fin. »

Le Test en Pair était le rituel destiné à faire naître une telle mort.

Mais il comprenait aussi—
ce n’était pas une simple instruction, ni un ordre.

« Peut-être que les humains sont faits pour avoir besoin les uns des autres. »

Un souhait pour l’humanité commença à grandir en lui.

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Pour combler la solitude du faucheur

Satan Claus était un observateur des âmes.
Pourtant, à travers le temps infini,
il avait rarement touché un autre cœur.

Ainsi, les émotions nées du Test en Pair—
peur, proximité, courage, pardon, gratitude—
brillaient si intensément qu’elles transperçaient son propre cœur.

« Les humains… comment peuvent-ils posséder des cœurs si beaux ? »

Il choisit Noël,
car c’était le seul jour où les gens pouvaient devenir un peu plus doux.

---

Sa décision

« Personne ne désire vraiment une mort solitaire.
Ils ne savent simplement pas comment tendre la main.
Alors… je vais leur rappeler. »

Il ressuscita les sages du passé et imposa des Tests en Pair impossibles.
Non pas pour les conduire à la mort, mais—

pour créer une chance de tendre la main à un autre.

« Avoir besoin de quelqu’un n’est pas une faiblesse.
C’est la preuve d’être en vie. »

---

Après le Test en Pair

Lorsque les épreuves prenaient fin,
Satan Claus marchait toujours seul dans la ville.

Illuminations scintillantes.
Les gens fixant leurs téléphones.
Certains riaient, d’autres pleuraient—
leurs cœurs intérieurs invisibles pour quiconque.

Il s’arrêta et murmura :

« Peut-être… c’est la douleur elle-même qui pousse les humains à se chercher. »

Ses mots ne portaient ni colère ni mépris.
Seulement une compréhension douce de l’humanité,
même de la part d’un faucheur.

Et il sourit doucement.

« La bonne mort se trouve au terme de la bonne vie.
S’ils peuvent s’en souvenir, cela suffit. »

L’ourlet de sa robe noire ondulait dans le vent,
et il disparut dans l’obscurité.

Comme s’il était lui-même une ombre née pour sauver la solitude.


🎄 Test de paire (le dieu de la mort du futur appris, _la douleur du cœur des gens_)(1)

The song is a modern indie, lo-fi ballad about living with the absence of someone who is gone forever, without ever stating exactly who or what they were. The narrator moves through quiet, everyday moments—an untouched coffee cup, empty streets, fading photographs—while feeling that this presence still lingers “in the quiet left behind.” Grief is shown as something soft and ongoing rather than dramatic, and the final image of a trumpet “calling out my pain” turns that emotion into sound.Full lyrics (no instrumental notes)The morning breaks without a sound,
Your cup still waiting by the door.
I keep the lights half down,
Like you might come back once more.Every breath feels half-alive,
Every room hums your goodbye.You’re still here in the quiet left behind,
(In the quiet left behind)
In the glow of screens, in the spaces we designed.
(In the spaces we designed)
Every word I try comes out the same —
You’re the whisper in the static of my name.
(Of my name)I drive where we forgot the time,
A song plays slow through broken speakers.
There’s beauty hiding in the grime,
And memory becoming weaker.Every night folds in too soon,
You still linger in the tune.You’re still here in the quiet left behind,
(You’re still here)
In the glow of screens, in the spaces we designed.
(In the spaces we designed)
Every word I try comes out the same —
You’re the whisper in the static of my name.
(Of my name)The photographs don’t look the same,
Their colors fade like distant dreams.
I touch the frame to say your name,
And it shakes somewhere in between.The air outside tastes like regret,
The sky too wide for what remains.
I walk the line where we first met,
Under quiet lights that know your name.No clean break, just echoes,
(No goodbye)
No goodbye, just a fade.
(I still stay)
I talk to what’s missing,
Like it might still stay.You’re still here in the quiet left behind,
(You’re still here)
In the breath between the notes we couldn’t find.
(Between the notes)
Every word I write turns into rain —
You’re the trumpet calling out my pain.
(Calling out my pain)

© 2025 Martin Oliver Beinersdorf. All rights reserved.  
Lyrics and concept by Martin Oliver Beinersdorf. Do not reproduce, distribute, or adapt without explicit permission.

The Quiet Left Behind

I am a fish - Ziyu 《我是一只鱼·梓渝》 Tôi là một chú cá - Tử Du

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