Ce premier épisode interroge les notions d'utilité et d'inutilité, d'envies et de besoins, à partir d'une simple observation : des chaussures en mauvais état. A travers cette première lettre, se pose également la question de son sentiment de richesse : pour juger de son train de vie, doit-on s'intéresser à son ressenti, se comparer aux autres placés dans une situation similaire à la sienne ou accorder de l'importance à des données économiques (le SMIC par exemple) et tout relativiser ? Existe-t-il une justification à la honte ? 

1# De l'importance de porter des chaussures en bon état

10 octobre 2020 : en octobre 2020, lorsque j’écrivais « covid » dans mon monteur de recherche, la plupart des médias affichait « le » ou « du » covid mais peu « la » covid ou « de la » covid. Peu de temps auparavant, j’apprenais pourtant que le mot « covid » devait être employé au féminin et que cela avait déjà fait l’objet d’un grand débat en mai 2020. « Du coronavirus au féminin » trouve son fondement dans ce constat très simple et interroge le quotidien, l’orthographe et la grammaire, la place et l’emploi du féminin dans la société. 

Musiques libres de droit : Alone Lonely Instrumental de Michael McQuaid et Afraid of Destiny de Denis Stelmakh sur Fugue

4# Du coronavirus au féminin

Sans Timbre est un recueil de lettres peuplées de personnages et de récits fictifs qui m’ont été inspirés par mon entourage, mon quotidien, mes rêveries, mon imaginaire...
Une fois par semaine, jusqu'à l'été, je vous en propose la lecture. Il est en général lu "sur le vif" alors soyez indulgents sur ma diction parfois hésitante. 
Vous pourrez retrouver les transcriptions des lectures sur la page Facebook du podcast " Sans Timbre" et me suivre sur le compte instagram sans_timbre.
N’hésitez pas à me faire part de vos impressions et surtout, belle écoute !
Ça se passe par là 👇🏼

Musiques : Alone Lonely Instrumental de Michael McQuaid et Afraid of Destiny de Denis Stelmakh

4# Du coronavirus au féminin

Sans Timbre

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