G-Eazy - Both Sides (Snippet)

G-Eazy - Beautiful Surrender (Snippet)

G-Eazy - Dreams Came True (Snippet)

G Eazy - Not What You Think (Snippet)

G-Eazy - These Days (Snippet)

G-Eazy feat. Marc E. Bassy - Trouble (Snippet)

G-Eazy - Don't Speak (Snippet)

G-Eazy - Baby Blue (Snippet)

... Six heures. C'est une blague ? Encore cette routine quotidienne.
Mais bon, sans cette routine, ce serait le vide. C'est la blague que je ne veux pas comprendre.

Le soleil brille à travers les fissures, comme si c'était magique, bla bla bla.
J'ai la tête qui bat, la nuit dernière a été vraiment horrible – et elle était là, heureusement.
Mon lit me tire en arrière, le luxe de ce coton.
Mais soudain, j'entends un grondement, et je sais que je dois le faire, sinon je suis un clown.
Parce que quelque part dans cette maison, il y a quelqu'un qui réclame encore – de l'attention, pas de carte de débit, honnêtement.
Alors je dois me lever, mon dos craque comme un loser, mais je marche.
Sans moi, cette nana est (bien sûr) une consommatrice qui perd son booster – et je ne veux pas de ça, jamais.

Elle est la raison, oui, la raison de cette compulsion,
Qui me pousse à me montrer, jour après jour, tout le temps.
Cette nana, là pour toujours, oui, en effet,
Comme une contravention sur ton guichet – mais une que tu es heureux de payer, une vengeresse – du vide.
Je l'aime (ou quelque chose) – je l'aime, bon sang ! – c'est le scénario que je dois porter,
Le lever de soleil dans ses yeux ? Non, le reflet de mes questions – qu'elle réponde à tout.

Mon café est trop tiède, les embouteillages sont une blague, tout comme ce mariage – que je ne veux avec personne d'autre.
Mais le programme dit : administrer, l'injection quotidienne. Qu'elle me fait.
Je repousse ce chaos, avec cette pensée : qu'est-ce que je suis censé avoir maintenant ?
Une nouvelle mode – qui la rend heureuse, et c'est le seul accord.
C'est ma gestionnaire de budget, ma police du goût, ma prison, celle qui maintient ma vie en ordre.
Sans moi, elle se perdrait dans sa propre genèse ivre, et je ne peux pas regarder ça.
Et je dois être l'héroïne, pour entretenir cette fiction,
Sinon le drame est trop intense, et alors je dois me doucher à nouveau et la serrer dans mes bras.

Elle est la raison, oui, la raison de cette compulsion,
Qui me fait montrer mon visage, jour après jour, tout le temps.
Cette nana à moi, toujours là, oui, en effet,
Comme une amende à ton guichet, mais une amende que tu es heureux de payer, une vengeresse, du néant.
Je l'aime (ou quelque chose comme ça) – je l'aime, bon sang ! – c'est le scénario que je dois porter,
Le lever de soleil dans ses yeux ? Non, le reflet de mes questions, auxquelles elle répond à toutes. (Pont)
Ce n'est pas une question de perfection, c'est une question de contrôle – non, c'est une question de tout.
Savoir que quand je serai parti, elle pleurera, c'est merveilleux – mais alors je pleure encore plus fort.
Sa main dans la mienne ? Oui, alors je sais où elle va – et où je suis censé être.
C'est le prêt immobilier, la voiture, la marque qui me motive – elle est cette marque, elle est le « pourquoi ».
Elle est le fardeau, l'assurance que je ne suis pas seul dans cette souffrance – et ça vaut son pesant d'or.
Si je sais que je ne m'enfuirai pas, c'est que je ne veux pas être sans elle, gros.

Quand je rentre à la maison, vide et prêt, l'interrogatoire s'ensuit :
« Pourquoi es-tu en retard ? Qui as-tu vu ? » Pas une injection d'énergie, mais un retour aux sources.
La simplicité du « Comment s'est passée ta journée ? » est un piège, on m'a prévenue – parce qu'elle tient à moi. Parce qu'alors la liste des plaintes s'ensuit, et mon âme est à nouveau brisée, puis guérie.
Et je dis : « Je t'aime », avec ce regard creux, qui est en réalité plein d'amour, la routine mise à l'épreuve.
Parce que tant qu'elle sera là, je sais que je ne sortirai pas de cet enfer comme ça – je ne veux pas être libéré, fléau.

Toujours là… pour toujours… le fléau – voilà mon salut.
Ma nana… ma chaîne… la question quotidienne – la réponse, c'est moi, quand elle est là.

Je ne peux pas vivre sans elle, mec. Jamais.

ARGYTACT 2025

CHICKA feat. JOJO (French)

everlasting

🎬 Song Insight

“Karma’s Giving Raises” is a battle cry for those burned, used, and left to rebuild from the ashes. Through a haze of ticking clocks, static, and raw confession, the song captures the dizzying collapse of trust and the bitter clarity that comes after betrayal. Each verse peels back the layers of survival-mode living, tracing the line from denial to cathartic release.
The track’s heartbeat is cinematic—dark trap rhythms mesh with avant-garde, lo-fi textures, echoing every lie and every loss until there’s nothing left but the echo of consequence. The chorus lingers with a haunting, anthemic bite, serving both as a reckoning and a warning: in the end, everyone pays what they owe.
This is heartbreak with teeth—brutal, honest, unafraid to name names and torch old bridges. The only way forward is through.

📝 Lyrics

Intro:
Time ticking, mind slipping, world’s edges fray
Living in survival mode, every hope gone gray

Verse 1:
Too busy surviving to feel alive
Hull ripped out, I barely survive
Collapse warnings—every sign,
Lie after lie, I drew the line
Version of you living in my mind,
Breaking through, invade the design
Illusions grow, allowed to bloom
Ghost in my room, full of doom

Pre-Chorus:
You didn’t just use me—nah, you consumed me
Hollow name, echo screams, haunted loosely
I defended the storm that unended me
Simple choices, roots pulled so ruthlessly
Ain’t no pride left, not a single ounce
Clown cart crashin’—what you grabbing now?
Disgrace, no face, karma’s giving raises
Piper knocking loud, no one escapes it

Chorus:
You didn't just use me—nah, you consumed me
Echoes in the dark, all I hear is your ruin
Wrote you off my life—yeah, script deleted
No comeback scene, you’re gone, I mean it
You didn't just use me—nah, you consumed me
Shadow in my mind, but I broke through it
Wrote you off my life—yeah, script deleted
No comeback scene, this time I mean it

Bridge:
You said you couldn’t work, why?
Too busy gettin’ fucked, calling that a job
I thought I knew you—nah, just a plot
Excuses keep me stuck, web gets caught
Inside, it’s simple—just rot
Foil your story, before you get shot

Verse 2:
It’s this shit I tell myself
Gotta let go, can’t waste my health
Chill the vibe, sick for real
Coulda been me, you at the wheel
That’s when it hit—why you split
Glad you did, guess you’re legit
Lay it out clean, burn your scene
MTV drama, no in-between
No rehab call, no second spin
This is the end, you never begin

Pre-Chorus:
Take a bow, show’s cancelled,
I’m writin’ you off, deadpan handled
Collect the cred, fade to black
No reunion—never comin’ back

Chorus:
You didn't just use me—nah, you consumed me
Echoes in the dark, all I hear is your ruin
Wrote you off my life—yeah, script deleted
No comeback scene, you’re gone, I mean it
You didn't just use me—nah, you consumed me
Shadow in my mind, but I broke through it
Wrote you off my life—yeah, script deleted
No comeback scene, this time I mean it

Outro:
Static fades, clock runs out
Script erased, nothing to shout
Dead silence, my final route
You lost your line—scene cut out
muffled static, glitched breath, whispered “don’t forget”:

Personal Reflection
When I wrote “Karma’s Giving Raises,” it wasn’t about revenge—it was about survival.
There comes a point when pain becomes absurd, when you realize you’re justifying someone else’s destruction at your own expense. This song poured out in the aftermath of picking myself up for the last time—still angry, but finally done.
It’s brutally honest: I had to burn the script, let go of the ghost, and admit there’s no fixing what was never real.

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Karma’s Giving Raises

G Eazy - Not What You Think (Snippet)

Young Gerald