Reactive Ensemble:
Céline Papion, cello
Gabriele Mastrototaro, flute
Remmy Canedo, electronics

Premiere performance:
Delian Academy For New Music 2024
Cultural Foundation of Tinos, Greece
13 June 2024

Mixed at Reactive Studio, Berlin

In search of lost time (2024) for amplified flute, cello and electronics - Reactive Ensemble

Pac-Man (2024) for percussion sextet
Total Duration 9' minutes

Ensemble Holophony Project
Preview Full Score at www.panayiotiskokoras.com/compositions/
Studio edited mix © Panayiotis Kokoras

Pac-Man [percussion sextet]

APE (2019) for fl, b.cl, perc, pno, vln, vc, cb, elec. 
Duration 11’ 30 minutes.

Ensemble Holophony Project
Preview Full Score at www.panayiotiskokoras.com/compositions/
Studio edited mix © Panayiotis Kokoras

APE [fl, b.cl, perc, pno, vln, vla, vc, db & elec]

Guitar and custom software

All sounds are from two computer-controlled flutes.

Percussion+Guitar, for two computer-controlled flutes

eChOlapse (2025)
Acousmatic composition for 8-channel polyphonic diffusion Commissioned by the PROSSESES festival, Athens 20-21 September 2025

eChOlapse presents itself not as a narrative but as a sonic drift — a non-linear environment where sound moves through states of fracture and erosion. The work suggests a broken ecosystem, a broken system, even a collapse continually replayed. Repetition does not function as return, but as residue; loops falter and fold back into themselves, echoes collapsing into echoes. Forgetting becomes a way of renewal, while recalling appears as a destructive fixation — the urge to recover what sound has already erased. In its multichannel presentation, the listener neither begins nor ends but is suspended in a field of resonance, ambiguity, and attrition. Diffusion operates not as projection but as composition itself, where collapse takes the form of structure and disappearance asserts itself as presence.

à Vassiliki Legaki & “Gotye”

eChOlapse (2025)

Atelier-Concert Cursus 1 -IRCAM. April 15, 2016. Centre Georges Pompidou.
Marina Ruiz (soprano). Grégoire Lorieux (encadrement pédagogique Ircam).
À l'origine pour 8 canaux, reduction binaural.  Photo :  © Hervé Véronèse-Centre Pompidou. 



[...] il y aura toujours un reste, un supplément, un lapsus, un non-dit qui se désigne lui-même : la voix.
Roland Barthes, « La musique, la voix, la langue »

Une voix persiste au travers. Mais au travers de quoi? De la gorge de la chanteuse qui essaie d’aller vers sa propre voix microscopique ? Des sons des paroles que lit la poète quand elle récite son texte traduit dans différentes langues étrangères ? Ou est-ce la voix de la machine, qui persiste à s’immiscer dans la traversée de ces différentes vocalités ?

C’est la rencontre inattendue avec la poète Irène Gayraud, dont le poème "À l’enfant du crépuscule" m’a intéressé notamment pour ses sonorités et rythmes, qui a ouvert la porte à la recherche constituant cette pièce. À cela s’ajoutent les différentes propositions de traduction homophonique (traduction du son et non du sens) du texte original (français) en trois langues (espagnol, anglais, italien) réalisées par le groupe Outranspo (Ouvroir de translation potencial). C’est finalement la découverte, puis l’utilisation du laryngophone (microphone pour larynx) lors des improvisations vocales de la chanteuse Marina Ruiz sur le texte multilingue final, qui ont suscité les matériaux définitifs avec lesquels cette œuvre a été imaginée. Elle est la première version d’un projet à mi-chemin entre une pièce vocale et une pièce de théâtre radiophonique, dont le protagoniste est finalement la voix elle-même, la réalisation de sa propre corporalité – le grain de la voix dirait Barthes – et ses résonances, décuplées par l’électronique.


Une voix persiste au travers (2015-2016) (Binaural version, headphones only)

Àphones (2011), for 17 musicians
Orchestre du Conservatoire de Paris
conducted by Tito Ceccherini

In search of lost time (2024) for amplified flute, cello and electronics - Reactive Ensemble

Chung Ching Lam (Mavis)