SEDNA

Purle Atlas

"Reverse Motion Dream" is a continuation or evolution of the concept introduced in "Slow Motion Dream." While the first title explores the beauty of slowed-down moments, where time stretches and every detail is magnified, "Reverse Motion Dream" takes the audience deeper into the surreal realm by reversing the flow of time and motion entirely. It represents a shift from observing slow, dreamlike moments to experiencing an inverted, otherworldly journey where reality defies its natural order.

This progression suggests a deeper dive into the subconscious, where dreams not only slow down but begin to unravel and reverse, challenging perceptions of time, space, and motion.

Reverse Motion Dream

"FKTML v.3" by RIF KIF Dubman takes his iconic track to new heights. While it may initially feel similar to previous versions, the artist sees it as a completely new transformation. This third iteration continues the journey of his signature bass and drum interplay, enhanced by unique sound effects recorded directly from the natural landscapes of the Rif mountains. A raw and organic experience where every sound resonates with the spirit of the region.

FKTML v.3

Wild Earl presents his groundbreaking new album titled "2070 Arabian Motor Man Playing Dangerous Distortion Game But Jumping And Enjoying Another Abstract Sunset Away At Ameder With Music". This ambitious project takes listeners on a journey through a futuristic, surreal, and emotionally charged soundscape.
Set in the year 2070, the album explores a dystopian world where humanity faces the consequences of its technological obsessions. Tracks like Arabian and Motor evoke the relentless hum of machines and the mystique of desert landscapes, while Man reflects on the human condition in an increasingly artificial world.
The energy shifts with Playing and Dangerous, capturing the thrill of risk and the tension of living on the edge, before plunging into the chaos of Distortion, where reality begins to warp. Game then pulls listeners into a labyrinth of choices, where every move carries weight.
The album’s emotional core lies in moments of introspection, like But, a pause between hope and uncertainty, and Jumping, a bold leap into the unknown. Tracks like And and Enjoying weave together fleeting moments of connection and joy amidst the chaos.
As the journey continues, Another opens the door to alternate realities, while Abstract and Sunset paint vivid, surreal landscapes of endings and new beginnings. Away offers a sense of escape, leading to At, the point of convergence where everything comes together.
The enigmatic Ameder stands as a symbolic destination, shrouded in mystery, while With and Music remind us of the universal bonds that transcend time and space.
Wild Earl’s "2070 Arabian Motor Man Playing Dangerous Distortion Game But Jumping And Enjoying Another Abstract Sunset Away At Ameder With Music" is a sonic adventure that challenges, inspires, and captivates, leaving listeners eager to explore its depths again and again.

Un poème chanté, une prière pour l’éternité. La voix caresse les mots comme un fil tissé entre mémoire et avenir. L’amour et l’exil se fondent en une seule entité, inséparables, immortels. Ghost Of Maya nous offre ici une ode intemporelle, où chaque lettre semble gravée dans le vent.

Lyrics :
Elle était et demeure
Tes yeux sont une épine au cœur, Ils me blessent… et je les adore. Je les protège du vent jaloux, Je les cache aux nuits et aux douleurs, Mais leur plaie éclaire l’aube pâle, Et mon présent s’écrit en leur futur.
Je t’ai vue hier, au port brumeux, Seule, sans bagage, sans adieu. J’ai couru vers toi, comme un enfant, Interrogeant l’écho des temps : Pourquoi l’olivier, que l’on déracine, De geôle en exil, de port en lointain, Garde-t-il toujours sa sève divine, Et son feuillage d’émeraude ancien ?
Tu fus mon jardin dans l’exil, Mon seuil interdit, mon ciel fragile. J’ai frappé aux portes de ma peine, Mais seules les pierres m’ont répondu.
Je t’ai vue suspendre au fil du vent Les orphelines de ton chagrin. Je t’ai vue emplir la mer et le sable, Belle comme la terre… l’enfant… le jasmin.
Et je jure… De mes cils, je tisserai un voile, J’y broderai des vers pour tes yeux, Et lorsque mes pleurs l’auront sacré, Il flottera aux rameaux silencieux. J’écrirai une phrase plus pure que l’aube : "Elle était et demeure."

Elle était et demeure (Original version)

Rider in the Storm

Martil Tango Experience

Tikchbila Tiwliwla est une chanson qui danse entre l’absurde et le sérieux, entre le rêve et la réalité. À travers des images décalées et des situations improbables, elle pose une question simple mais universelle : et si la vie n’avait pas besoin de toujours faire sens ? 
Avec son rythme entraînant et ses paroles intrigantes, Tikchbila Tiwliwla invite à lâcher prise, à rire de l’absurde et à trouver un peu de beauté dans le chaos du quotidien. Une chanson qui amuse, mais qui fait aussi réfléchir sur notre façon de vivre, de rêver et de chercher un sens à tout. 
Tikchbila Tiwliwla is a song that dances between absurdity and seriousness, between dreams and reality. Through quirky imagery and improbable situations, it asks a simple yet universal question: what if life didn’t always need to make sense? 
With its catchy rhythm and intriguing lyrics, Tikchbila Tiwliwla invites you to let go, laugh at the absurd, and find beauty in the chaos of everyday life. A song that entertains while making you reflect on how we live, dream, and search for meaning. 

Paroles: 
Tikchbila Tiwliwla 
(Couplet 1)
J’ai trouvé ma clé dans une boîte sans serrure,
Un pigeon me l’a rendue, il voulait que je jure.
"Promets-moi", qu’il dit, "de marcher à reculons,
Car le temps va trop vite pour les petits poissons."
Je croise un type sérieux qui vend des arcs-en-ciel,
Il me parle d’amour, mais il n’a pas de sel.
Dans sa main, une montre arrêtée depuis mille ans,
Il me dit : "Regarde, c’est ici que vit le présent."

(Refrain)
Tikchbila, Tiwliwla,
Un pas en avant, deux pas en bas.
La vie c’est bizarre, mais c’est comme ça,
On rit, on pleure et puis voilà.
Tikchbila, Tiwliwla,
Un chat qui danse, un chien qui dort là.
Le monde est sérieux, mais moi je n’sais pas,
Alors je chante Tikchbila.

(Couplet 2)
J’ai vu un miroir qui m’a fait un clin d’œil,
Il m’a dit : "Regarde, t’as du soleil dans l’œil."
Mais moi j’ai répondu : "C’est juste un reflet,
J’attends la pluie, elle sait mieux m’éclairer."
Un enfant m’a tendu une pièce trouée,
"Tu peux t’acheter un rêve", il m’a murmuré.
Alors j’ai fermé les yeux, j’ai compté jusqu’à trois,
Et j’ai vu que le monde dansait sous mes pas.

(Refrain)
Tikchbila, Tiwliwla,
Un pas en avant, deux pas en bas.
La vie c’est bizarre, mais c’est comme ça,
On rit, on pleure et puis voilà.
Tikchbila, Tiwliwla,
Un chat qui danse, un chien qui dort là.
Le monde est sérieux, mais moi je n’sais pas,
Alors je chante Tikchbila.

(Pont)
Et si tout ça n’a pas de sens, tant mieux,
Parce qu’au fond, personne ne sait ce qu’il veut.
Un pigeon, un miroir, un rêve ou une clé,
C’est juste la vie qui cherche à s’amuser.

(Refrain final)
Tikchbila, Tiwliwla,
Un pas en avant, deux pas en bas.
La vie c’est bizarre, mais c’est comme ça,
On rit, on pleure et puis voilà.
Tikchbila, Tiwliwla,
Un chat qui danse, un chien qui dort là.
Le monde est sérieux, mais moi je n’sais pas,
Alors je chante Tikchbila.



FKTML v.3

90dB Project