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Go here: https://schnautzi.net/
And here: https://argentsale.bandcamp.com/

ENGLISH:
Dirty Money. Noble intentions. SCHNAUTZI aka André Joye has been heating up the dancefloor since 1998 and has more caps than an 80s American trucker. Programmer at Zoo de Genève from 2006 to 2010, then Électron Festival from 2010 to 2014, as well as booker, radio show host with La Sélection on Nova Lyon and producer from the outset, he launched his own label in 2009. DIY in its blood, SCHNAUTZI is ironic, energetic, sharp, offbeat and terribly sincere. Labels? He has fun with them and turns them on their head. Sweaty Dancehall, polished House, wild Drum and Bass and hangar Techno, SCHNAUTZI cranks up the intensity with mastery, knowledge and authenticity. With the dance floor always in his sight, and his sense of party finely honed, an evening with our friend for the night is a Space Mountain of emotions. Tropical. Erogenous. Insolent. Call 911! We’re going down.

The story of André Joye and SCHNAUTZI began long before the internet and could well have ended in 2021, following a serious illness. But our favourite moustachio had not said his last word. Back on his feet, SCHNAUTZI the Warrior decides to reopen his computer and creativity returns! Uninhibited, revitalised, underground and open, especially and above out of passion, SCHNAUTZI composes tracks in his own image: full of energy, knowledge and the desire to make his world dance.

And… It’s a BANGER! Surrounded by talented people, he now dares to knock on the doors of those in the know to glean feedback and sound advice.

Having passed the age of 45, the Tom Selleck of the Rhône moved with his family to Lyon, where he has found a setting in his image, all freshness, inventiveness and sharing. Now, more than ever in full creative rebirth, SCHNAUTZI is busy with mixes and parties, and is personally in charge of the graphic design and curation of his label ARGENT SALE; a classy, no-holds-barred outlet for bold, fearless producers such as Psycho Weazel, Nic As Well FKA Lemonick, Submarine FM, Bauchamp and TANZ/TANZ, to name a few.

FRANCAIS:
Argent Sale. Intentions nobles. SCHNAUTZI aka André Joye fait chauffer le dancefloor depuis 1998 et possède plus de casquettes qu’un routier américain des 80’s. Programmateur au Zoo de Genève de 2006 à 2010, puis d’Électron Festival de 2010 à 2014, mais aussi booker, animateur d’émission radio avec La Sélection sur Nova Lyon et producteur depuis ses débuts, il lance son label en 2009. DIY dans le sang, SCHNAUTZI est ironique, énergique, coupé, décalé et diablement sincère. Les étiquettes ? Il s’en amuse et les détourne. Dancehall suant, House léchée, Drum and Bass sauvage et Techno de hangar, SCHNAUTZI triture les intensités avec maitrise, connaissance et authenticité. La piste de danse toujours calée dans le viseur, le sens de la fête savamment aiguisé ; une soirée avec notre ami pour la nuit c’est un Space Mountain d’émotions. Tropicales. Érogènes. Insolentes. Call 911 ! We’re going down.

L’histoire d’André Joye et de SCHNAUTZI commence bien avant internet et aurait bien pu s’arrêter en 2021, à la suite d’une grave maladie. Mais notre moustachu préféré n’avait pas dit son dernier mot. Remis sur pied, SCHNAUTZI le Warrior décide de rouvrir son ordinateur et la créativité revient ! Décomplexé, revitalisé, underground et ouvert, surtout et avant toute chose pour la passion, SCHNAUTZI compose des tracks à son image : pleines d’énergies, de knowledge et d’envie de faire danser son monde. And… It’s a BANGER ! Entouré de gens talentueux, il ose désormais toquer à la porte de ceux qui savent pour glaner retours et conseils judicieux.

Passé le cap des 45 ans, le Tom Selleck des bords du Rhône s’est expatrié avec sa famille à Lyon où il a trouvé un cadre à son image, tout en fraîcheur, inventivité et partage. Aujourd’hui, et plus que jamais en pleine renaissance créative, SCHNAUTZI enchaine les mixes et soirées, s’occupe personnellement du graphisme et de la curation totale de son label ARGENT SALE ; un outlet classieux et sans barrière, aux signatures hétéroclites, pour producteurs audacieux et sans peur tels que Psycho Weazel, Nic As Well FKA Lemonick, Submarine FM, Bauchamp ou TANZ/TANZ, to name a few.

Basée à Paris, à Londres et partout dans le monde avec ses plateformes en ligne, Rinse est une radio mais pas seulement : label, management, curation, événements culturels... www.rinse.fr
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Based in Paris, London and all over the world with its online platforms, Rinse is a radio station but not only: label, management, curation, cultural events ... www.rinse.fr

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Avec ce troisième album, Disparue Juliette, le duo toulousain De Calm continue de regarder droit dans les yeux la pop mélancolique des ainés, tout en remuant une vase singulière qui fait d’eux des outsiders à l’élégance constructive. A l’heure où la notion d’album n’est souvent qu’un prétexte, Guillaume Carayol (écriture et chant) et Mickaël Serrano (composition) veillent au contraire à lui rendre son lustre. Outre le plaisir de bâtir un ensemble où toutes les chansons sont abordées avec un soin équitable, ils envisagent aussi les souterrains qui mènent d’un album à l’autre.

Pour eux, faire un album, c’est retrouver un plaisir enfantin même si le vernis a une apparente gravité. Cette réjouissance et l’ironie qui se dégagent de l’ensemble, on peut l’observer dès la pochette avec cet alligator en laisse, à la recherche d’une hypothétique Juliette.

Produit avec Mako, l’un des fidèles collaborateurs de Daho et avec la section rythmique de ce dernier, cet album vise à étendre l’harmonie amorcée avec les deux précédents : Le Film Définitif  et Amour Athlétic Club. Le premier absorbait le travail de réalisateur de Guillaume tandis que le second, agitait son passé de footballeur sentimental. Tous deux avaient été accueillis favorablement par les médias et les radios, avec notamment la chanson « Un Jour de Mai » largement playlisté. Ils leur avaient permis d’être distingués lors d’un concours des Inrocks ou encore de figurer dans la sélection du Prix Moustaki, tout en se produisant aux quatre coins de la France.

S’il existe des liens tangibles entre les albums, le petit dernier se distingue par la présence généralisée de claviers. On pourrait rapidement le classer dans la pop synthétique actuelle sauf qu’ici les batteries sont jouées, les basses sont véritables et les guitares servent parfois à fabriquer des sons artificiels.

Pendant plus d’un an, Guillaume et Mickaël ont travaillé avec Mako en essayant de se surprendre l’un l’autre, et en n’excluant pas que ça groove. Ce mot peu usité dans le langage de la chanson à texte a été plutôt bien accueilli à Saint Jean de Luz, au Studio Drop-In où l’album est né. Là-bas, ils ont cherché l’harmonie en redessinant, à leur façon, les frontières de la chanson et de la pop.

Disparue Juliette, ce sont les derniers mots écrits lors de l’enregistrement, pour le final de la chanson Alligator. A l’âge où l’on remarque plus facilement les disparitions autour de soi, c’est aussi un peu « Disparue Jeunesse ». Car il faut bien dire que le thème de la disparition rôde un peu partout : la disparition amoureuse qui hante la plupart des chansons, des pays qui s’apprêtent à disparaître en sautant d’une falaise (Au bord des falaises) ou encore des frères qui s’esquivent alors qu’ils sont voisins (Les Rues Qui Nous Séparent).

L’ensemble peut sembler désespéré alors qu’en réalité, c’est gorgé d’espérance. De par la musique et de par les lueurs qui sommeillent dans chaque texte (« Il existe quelque part un geste amical, un espoir ») mais aussi à travers la poésie humaniste des clips que réalise Guillaume pour eux et pour d’autres artistes.

A l’image de ce travail de réalisateur, il y a toujours cette volonté d’être à bonne distance, à bonne pudeur comme sur La Bonté Est Bizarre inspirée par les événements tragiques du Bataclan ou comme dans Il fait froid qui conserve jusqu’au bout le mystère qu’il renferme.

Au bout du compte, de la noirceur apparente des textes se dégage toujours une euphorie colorée qui trouve son équilibre dans les mélodies pop. Cet album n’a qu’une seule vocation : faire du bien.

Purple Studio vibe: Apollo , Dangerous, Neve, Neumann, Focal...
Muscial plans from scratch
Compo-textes - melos(top line) - recording - mix-master.

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