Name: River Styx (Piano Solo) by Cecilia Muylaert
Duration: 2 min 24 s
Description: © Cecilia Muylaert 2020, All Rights Reserved.

This strpped down version is no less enthralling than its more orchestal variety .. So continually impressed! Again, nice work!

Very haunting piece and fluid performance. Love the distant and analog-like sound of the recording, it really adds to the atmosphere

Beautiful in a very haunting way... Love it!

Gorgeous piece and performance. The recording space seems almost to be an instrument itself, creating a texture that fits the music wonderfully.

Composed & Produced by: Chivicke 
HomeStudio Productions ©2022
Photography: Cottombro

Enigma

I have again an immense pleasure to share with you another piece by my good friend Jean-Pierre Dubois (JiPé )....

The title of Senar is related to the names of Sergei and Natalia Rachmaninoff, and the art picture shows their villa which was constructed in 1929 at Hertenstein, located in the municipality of Weggis (LU) on Lake Lucerne, Switzerland.

I hope you will enjoy listening and like my interpretation of this beautiful piece...

Senar by Jean-Pierre Dubois (Performed by Liz Dicker)

This is the last song in my Trilogy. My Character has now " Washed his soul in the River " he has become a " Better Man " and now he is heading " Into the Light " 
Rejuvenated and free from his burdens, oh if only it was so easy..ha ha ha 
I hope you like this one its a Re-mix of a song i wrote 2 year ago. 

Written and performed by : Johnny Mc Farlane

Into The Light

Wrote this looking for shells on the Ormond-by-the-Sea beach.

Singer of My Life

A rock song about a man searching for his true direction in life. 
Songwriting, 6 and 12 string guitars, and vocal - Rich O'Brien
Bass - David Hynes
Drum Track and Mastering - Roy Blake
AI Imagery - Rich O'Brien

If you would like to see something of the development of this song, please check out this solo acoustic version on Youtube www.youtube.com/watch?v=0rFXkvtoJqg.

For You And You Alone

“finding the melody”

art work: Pexels via Pixabay

喧噪に埋もれたうたの節回し
掘り当てようと
街をさまよう

Someone told me that melodies are buried in the hustle and bustle of the city. Since then, I have been walking around the city trying to dig out melodies.

finding the melody

Finding The Melody

« Orphée et Eurydice »
Completed on Monday, September 11, 2023
« Orphée avait reçu de sa mère le don merveilleux
de la musique, alors les dieux lui avaient fait cadeau d'une lyre. Depuis, il jouait de l'instrument au gré de ses envies ou de sa mélancolie, pour le plus grand plaisir des êtres qui l'entouraient. 
Le poète n'avait aucun ennemi, pas même les bêtes féroces : charmées, elles finissaient toujours par s'étendre à ses pieds. Bien sûr, aucune jeune fille ne pouvait résister aux notes tendres et apaisantes que faisait naître Orphée, mais aucune ne trouvait grâce à ses yeux, jusqu'au jour où il rencontra l'envoûtante Eurydice. Leur amour était si profond et si pur qu'ils décidèrent très rapidement de se marier. Mais ce bonheur fut de courte durée... 
   Le mariage fut une fête pour tous les invités, 
chacun se réjouissant du bonheur des jeunes époux. Mais tandis qu'elle prenait l'air avec ses amies, Eurydice fut mordue par un serpent, et dans la prairie résonnèrent les cris des jeunes filles épouvantées.
Bientôt, Orphée parvint auprès de sa bien-aimée, inanimée. Le visage du jeune homme était transformé ; il ne pouvait laisser échapper ni larme ni cri tant sa douleur était grande. Comment pouvait-il perdre son épouse le jour même de leurs noces ? Et comment pouvait-il vivre sans celle qu'il aimait avec passion ? 
Cette idée lui était insupportable, aussi décida-t-il de descendre aux Enfers – le Royaume des morts – pour en ramener sa bien-aimée.
 Les Enfers étaient peuplés de créatures 
terrifiantes, toutes soumises à Hadès, le dieu des profondeurs de la Terre. C'est lui qui régnait sur les morts, interdisant à quiconque ayant pénétré dans son royaume d'en ressortir vivant. Ce dieu était si terrible, que les vivants n'osaient pas même prononcer son nom ! L'entrée de son royaume était gardée par Cerbère.
Certains disent qu'il avait 
trois têtes, d'autres cinquante, et d'autres encore, plus de cent ! Ce chien effroyable restait enchaîné devant la porte des Enfers pour terrifier les âmes qui cherchaient à s'y introduire. Mais Orphée n'eut aucun mal à adoucir le monstre... Une simple mélodie suffit à l'endormir, et il put passer la porte sans souci. Ce qu'il découvrit ensuite n'était guère réjouissant : les Enfers étaient un monde sombre, où coulaient de larges fleuves sans fond, un monde où les menaçantes Érinyes semaient la discorde, terrorisaient et punissaient à leur guise... Mais jamais Orphée ne fut inquiété. Il progressait, protégé par le son de sa lyre, et bientôt vit apparaître le palais d'Hadès et de son épouse Perséphone. Il entra sans peur et se présenta devant les dieux. « Que viens-tu faire ici ? » demanda Hadès de sa voix forte. Alors, pour toute réponse, Orphée entonna un chant incroyablement triste. Les notes de sa lyre emplissaient toutes les salles du palais, d'abord douces et mélancoliques, puis fortes et vibrantes, semblables à la douleur du poète. L'ensemble, bien sûr, était si enchanteur que les divinités infernales s'apaisèrent.
Hadès et Perséphone consentirent à laisser partir Eurydice. Mais ils y mirent une condition : tant qu'il serait dans le Royaume des morts, Orphée ne chercherait pas à voir celle qu'il était venu quérir. Le jeune homme acquiesça avec joie et se mit en marche, suivi de sa jeune épouse. 
Orphée aperçut rapidement la lumière du jour : ils 
allaient enfin quitter les Enfers. Mais, tandis qu'il songeait au bonheur qui les attendait, le jeune homme oublia sa promesse, et il se retourna pour contempler sa bien-aimée... Pour son plus grand malheur, car la jeune fille retomba aussitôt dans les abîmes. Orphée avait vu Eurydice pour la dernière
fois ! Le pauvre garçon en fut désespéré. Il tenta à nouveau de convaincre Hadès de lui rendre son aimée. Mais il n'eut pas de seconde chance ; le dieu resta insensible à ses supplications. Le poète se retira alors dans un lieu isolé où il chanta sa peine. Et nulle jeune fille ne put jamais le consoler ».

« Orphée et Eurydice » my new piece for flute, harp & recitant

Solo Piano - Chris Bright

reaching for the edge - 5:10:24, 6.17 PM

The Remaining Time

River Styx

River Styx (Piano Solo)

can’t say goodbye, just good riddance to this year and glad for the departure. no fond farewell, au revoir, wiedersehen or さようなら to 2020. in the words of Ray Charles, just hit the road and don’t you come back no more, no more.

in spite of quarantine lockdowns and turmoil i’m grateful to have had the inspiring music of so many wonderful soundcloud musicians who kept on playing and creating music throughout a difficult year. special thanks to hitoshi yasui of chairhouse for his daily musical gems and for allowing us to create our versions of his beautiful piano music. looking forward to a better 2021 and wishing everyone a happy, healthy, peaceful and musical new year. play on friends. 

this orchestration and mix is by guillaume pearson, guitar arrangement & SFX by naldo, original song written by hitoshi yasui of chairhouse. his lovely piano version can be heard here: https://soundcloud.com/chairhouse/cant-say-goodbye-yet-419

close your eyes, it's a movie without pictures. the intro voice is Celia Johnson from the film Brief Encounter directed by the great David Lean. the cover art is Celia Johnson and Trevor Howard in their goodbye scene at a 1945 London train station.

Can't Say Goodbye

Cecilia Muylaert is a Brazilian pianist and composer based in Paris. 
After studying classical piano at the École Normale de Musique de Paris and graduating in Music and Musicology from Paris-Sorbonne, she turned to
composition following her studies in film scoring and contemporary composition at the University of Leeds, UK.

A versatile composer, Cecilia Muylaert composes for concert, theater, cinema and multimedia. Her concert music has been performed in the United States, England, Scotland, Germany, Mexico and Brazil by various soloists and chamber music ensembles.

She draws inspiration from various musical genres, often mixing orchestral writing, inherited from her classical training, with contemporary electronic
elements.

River Styx (Piano Solo)

Cecilia Muylaert

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