The Morning

Reprise du morceau "Je Mens", de Emma Peters.
Par Cha

#cover #rap #rapfrançais 

Cover  "Je mens", Par Cha

When the Quiet Comes

Under the faded glow of desert suns and distant stars, “Cadillac Lights” tells the story of a long drive across miles of memory, chrome, and hope. With warm analog textures, reverb-soaked slide guitars, and an aching vocal at its heart, the song captures the feeling of chasing something just out of reach - freedom, closure, or the love waiting on the other side of the highway.

Blending cinematic Americana with indie rock atmosphere, it moves like the road itself: steady, open, and restless. The verses breathe with quiet reflection; the choruses rise like dusk winds sweeping over empty fields. Every note carries the scent of leather seats, the sting of nostalgia, and the weight of everything unspoken.

For anyone who's ever driven toward something they couldn’t forget - or away from something they never stopped loving.

Cadillac Lights

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Deeper Blue

„So ist das“ erzählt von einer Liebe, die vergangen ist – aber nicht spurlos.
Der Song blickt zurück, ohne zu verklären, und beschreibt mit stiller Ehrlichkeit, was bleibt, wenn jemand nicht mehr dazugehört. In drei Strophen und einem eindringlichen Refrain tastet sich der Text durch Erinnerung, Alltag und leises Weitergehen. Keine großen Gesten, keine Schuldzuweisungen – nur Beobachtung, Klarheit und das stille Fazit: So war das. So ist das.

“So ist das” tells the story of a love that has ended – but not without leaving a trace.
The song looks back without romanticizing and captures, with quiet honesty, what remains when someone no longer belongs in your life. Across three verses and a haunting refrain, the lyrics move through memory, routine, and the quiet act of moving on. No grand gestures, no blame – just observation, clarity, and a calm conclusion: That’s how it was. That’s how it is.


So ist das

Where the War Birds Sleep

Chaque morceau est une pièce d’un labyrinthe intérieur, chaque personnage un masque tombé dans le puits. L’Âne Flûte n’est pas un autre. Ni le corbeau. Ni le roi des rats. Tous parlent d’un même lieu, d’un même cœur fendu par les années, par le doute, par l’épuisement d’être. Ce projet est le récit d’un seul être qui s’est éparpillé pour mieux se rassembler.

Il a fallu deux années pour oser cette traversée. Deux années à visiter chaque recoin de la caverne : la peur, l’égo, la honte, la colère, mais aussi la lucidité, l’éclat d’une étoile dans la nuit, les murmures d’un espoir sans nom. C’est une cartographie de l’âme, un théâtre peuplé d’ombres qui sont toutes un seul corps.

L’intelligence artificielle n’est pas une coquetterie ici, mais un choix essentiel. Elle sert à ôter la voix de l’auteur pour révéler la voix de l’œuvre. Ce n’est pas lui que l’on écoute, c’est ce que ça dit en lui, et peut-être en chacun. La musique devient alors canal, les voix des archétypes, et l’auteur, un passeur anonyme qui délègue l’incarnation pour que l’essence passe sans entrave.

C’est un opéra intérieur, un carnaval de symboles, un murmure d’enfant vieux.
Un seul être se cherche — dans mille visages.

17-L'horizon ne tient qu'à un fil

Lamorna's Lullaby

Une immersion poétique dans l’univers de Jean-Pierre Parra, où l’amour se fait souffle et lumière.
Chaque mot, porté par la musique, évoque le frisson des lèvres offertes et des cœurs ardents.
Entre rêve éveillé et ivresse du monde, les images se tissent en mélodie.
Les vers se déploient comme un fleuve d’émotions, guidant l’auditeur vers l’aventure intérieure.
Un voyage intime, vibrant, où la tendresse devient chant.



So ist das

BRO